Un nouvel accord de transport aérien de type "ciel ouvert" vient d'être conclu avec le Costa Rica, une excellente nouvelle pour les voyageurs et les entreprises canadiennes, ont annoncé aujourd'hui le ministre canadien des Transports, M. John Baird, et le ministre du Commerce international, M. Stockwell Day.
"Ce nouvel accord est bénéfique à tous, aussi bien à l'industrie de voyages aériens qu'aux consommateurs canadiens", a déclaré le ministre Baird. "Cette annonce démontre bien la détermination de notre gouvernement à créer des partenariats avec d'autres pays, à offrir des services aériens aux voyageurs à des prix concurrentiels et à stimuler notre économie."
"Cet accord permettra au Canada et au Costa Rica d'atteindre un nouveau niveau de coopération économique", a indiqué le ministre Day. "Il contribuera à créer de nouveaux emplois pour notre économie, à accroître le potentiel de marché pour nos entreprises et à établir des liens pour les Canadiens. Cet accord est une autre preuve de l'engagement que notre gouvernement souhaite
prendre envers les Amériques."
L'accord de transport aérien conclu entre le Canada et le Costa Rica permet aux compagnies aériennes d'exploiter des services réguliers à l'aide de ses propres appareils et de partage des codes de vol entre toutes paires de villes bilatérales. Le partage des codes de vol est un type de service aérien qui permet à une compagnie aérienne de vendre des sièges en son nom sur les vols d'une autre compagnie. Cet accord permet aussi aux compagnies aériennes d'avoir une plus grande souplesse quant à l'horaire des vols et en matière de tarification. En plus de ces services, les compagnies aériennes auront la possibilité de desservir l'autre pays et des pays tiers.
La croissance du marché aérien canadien et costaricain est telle, qu'il intéresse désormais les nombreuses parties concernées du Canada. Les droit que comporte ce nouvel accord n'entreront pas immédiatement en vigueur pour laisser le temps aux compagnies aériennes des deux pays de bien prendre en compte des possibilités qui sont offertes et de planifier en conséquence. Les gouvernements des deux pays se sont engagés à répondre aux exigences relatives à la mise en oeuvre de l'accord ainsi qu'à mettre en vigueur les nouveaux droits dans le meilleur délai possible.
"Ce nouvel accord est bénéfique à tous, aussi bien à l'industrie de voyages aériens qu'aux consommateurs canadiens", a déclaré le ministre Baird. "Cette annonce démontre bien la détermination de notre gouvernement à créer des partenariats avec d'autres pays, à offrir des services aériens aux voyageurs à des prix concurrentiels et à stimuler notre économie."
"Cet accord permettra au Canada et au Costa Rica d'atteindre un nouveau niveau de coopération économique", a indiqué le ministre Day. "Il contribuera à créer de nouveaux emplois pour notre économie, à accroître le potentiel de marché pour nos entreprises et à établir des liens pour les Canadiens. Cet accord est une autre preuve de l'engagement que notre gouvernement souhaite
prendre envers les Amériques."
L'accord de transport aérien conclu entre le Canada et le Costa Rica permet aux compagnies aériennes d'exploiter des services réguliers à l'aide de ses propres appareils et de partage des codes de vol entre toutes paires de villes bilatérales. Le partage des codes de vol est un type de service aérien qui permet à une compagnie aérienne de vendre des sièges en son nom sur les vols d'une autre compagnie. Cet accord permet aussi aux compagnies aériennes d'avoir une plus grande souplesse quant à l'horaire des vols et en matière de tarification. En plus de ces services, les compagnies aériennes auront la possibilité de desservir l'autre pays et des pays tiers.
La croissance du marché aérien canadien et costaricain est telle, qu'il intéresse désormais les nombreuses parties concernées du Canada. Les droit que comporte ce nouvel accord n'entreront pas immédiatement en vigueur pour laisser le temps aux compagnies aériennes des deux pays de bien prendre en compte des possibilités qui sont offertes et de planifier en conséquence. Les gouvernements des deux pays se sont engagés à répondre aux exigences relatives à la mise en oeuvre de l'accord ainsi qu'à mettre en vigueur les nouveaux droits dans le meilleur délai possible.