Soixante-douze personnes ont été tuées dans un accident d'avion commercial dans le monde en 2023, ce qui en fait la meilleure année pour la sécurité aérienne selon certains critères, et ce malgré la forte reprise post-pandémie, a annoncé mercredi l'IATA . Dans son rapport annuel, l'Association n'a relevé qu'un seul accident mortel, celui d'un ATR de la compagnie népalaise Yeti Airlines reliant Katmandou à Pokhara qui s'était écrasé peu avant son atterrissage le 15 janvier 2023, relève l'AFP.
Au total, l'organisation a décompté l'année dernière 30 accidents ayant occasionné des dégâts d'au moins un million de dollars ou 10% de la valeur résiduelle.
En 2022, l'Iata avait relevé 42 accidents dont cinq mortels, avec un total de 158 victimes. Sur la période 2019-2023, la moyenne annuelle est de 38 accidents dont cinq mortels, pour 143 victimes.
Cette amélioration a été obtenue malgré un trafic en hausse de 17% sur un an à 37,7 millions de vols, un chiffre encore inférieur à celui de 2019, avant la crise sanitaire (46,8 millions).
Une personne qui volerait tous les jours mettrait "103.239 ans en moyenne à subir un accident mortel", a illustré l'association, saluant une année marquée par "les meilleurs résultats jamais obtenus (...) selon certains critères".
L'avion "reste le mode de transport le plus sûr", s'est félicité le directeur général de l'Iata, Willie Walsh, tout en rappelant que le premier mois de 2024 avait été marqué par "deux accidents spectaculaires", la collision au sol suivie de l'incendie d'un Airbus A350 de Japan Airlines à Tokyo-Haneda (cinq morts) et l'arrachement en vol d'une porte d'un Boeing 737 MAX d'Alaska Airlines.
Cela montre qu'"il y a toujours une marge d'amélioration" et que "la sécurité ne doit jamais être considérée comme acquise", a affirmé le directeur général, cité dans un communiqué relayé par l'AFP.
Au total, l'organisation a décompté l'année dernière 30 accidents ayant occasionné des dégâts d'au moins un million de dollars ou 10% de la valeur résiduelle.
En 2022, l'Iata avait relevé 42 accidents dont cinq mortels, avec un total de 158 victimes. Sur la période 2019-2023, la moyenne annuelle est de 38 accidents dont cinq mortels, pour 143 victimes.
Cette amélioration a été obtenue malgré un trafic en hausse de 17% sur un an à 37,7 millions de vols, un chiffre encore inférieur à celui de 2019, avant la crise sanitaire (46,8 millions).
Une personne qui volerait tous les jours mettrait "103.239 ans en moyenne à subir un accident mortel", a illustré l'association, saluant une année marquée par "les meilleurs résultats jamais obtenus (...) selon certains critères".
L'avion "reste le mode de transport le plus sûr", s'est félicité le directeur général de l'Iata, Willie Walsh, tout en rappelant que le premier mois de 2024 avait été marqué par "deux accidents spectaculaires", la collision au sol suivie de l'incendie d'un Airbus A350 de Japan Airlines à Tokyo-Haneda (cinq morts) et l'arrachement en vol d'une porte d'un Boeing 737 MAX d'Alaska Airlines.
Cela montre qu'"il y a toujours une marge d'amélioration" et que "la sécurité ne doit jamais être considérée comme acquise", a affirmé le directeur général, cité dans un communiqué relayé par l'AFP.