Au lendemain de l’annonce officielle d’une crise financière mondiale, les voyageurs allaient-ils remettre en cause leurs prochaines vacances?

Très peu d’annulation pour les réservations déjà effectuées pour les fêtes de fin d’années et la relâche scolaire. En octobre et novembre, les clients se sont informés sur les disponibilités, les prix et les programmes offerts et entrent plus tard dans un processus d’achat. Beaucoup plus d’activité en ce moment que l’an passé sur les fêtes et le mois de janvier. De plus, clubmed.ca devient un outil d’information de plus en plus populaire pour les premières démarches de prospection avant d’appeler son agent de voyage. Alors que Club Med prône les réservations anticipées pour garantir un tarif concurrentiel intéressant, mais aussi et surtout, de la disponibilité, « nous assistons davantage à des réservations de dernière minute », explique Xavier Mufraggi. Club Med promeut ses offres pour des départs en janvier, février et mars. « Les réservations sont encourageantes. Elles sont moins anticipées que les années précédentes», constate le Président de la zone nord-américaine.

Le tout-compris: un rapport qualité prix inégalable

Pour sentir le pouls du marché québécois, Xavier Mufraggi a rencontré ses partenaires sur les mois d’octobre et novembre. Tous affirment que, dans un climat de morosité économique, de nombreux canadiens choisissent l’option d’un tout-compris. Le budget, déterminé avant le départ, demeure sans surprise. Les agents de voyage confient également que Club Med reste un produit d’exception pour leurs clients aisés qui cette année dépenseront moins.

«Avec plus d’1 milliard$ investis dans les rénovations dans les 5 dernières années, Club Med monte en gamme et se positionne comme une excellente offre pour la clientèle aisée de nos partenaires agents de voyage ».

D’après eux, même les clients plus confortables financièrement optent pour un concept où tout est compris. Ils ne veulent pas avoir à payer en supplément leurs activités, les clubs pour enfants et les boissons. Ils ont un budget et ne veulent pas aller au delà.

« Ceci explique pourquoi des offres comme Suite Life sont très en vogue en ce moment. Des Suites ou des chambres Deluxe à prix réduits, la garantie d’un forfait tout-compris haut de gamme avec des boissons et des menus de premier choix, des activités et encadrement pour enfants incomparables, des équipements sportifs pour les amateurs et les plus chevronnés…Voilà ce qui séduit les voyageurs en quête d’un nouveau souffle.»

Les voyages, un souffle nécessaire

D’après l’Organisation Mondiale du Tourisme, le tourisme continue sa croissance à l'échelon planétaire, en dépit d'un rythme ralenti. Xavier Mufraggi, Président de la zone nord américaine, confirme :

« Dans les pays développés, les consommateurs considèrent le voyage comme étant une partie essentielle de leur vie. Ils veulent préserver cela. Lorsque nos clients réservent leurs vacances, c’est qu’ils en ont besoin. Nos principaux voyageurs sont des familles (70% Ndlr), parfois nombreuses, et dans lesquelles les deux parents travaillent à plein temps, le plus souvent avec des responsabilités. Malgré le ralentissement économique, ils ont encore besoin de se reposer et surtout de se retrouver. Club Med, avec la richesse de ses activités, propose des vacances sans compromis. Des vacances pour tous les âges, où chacun profite et se retrouve pour des moments inoubliables. »

Le réconfort d’un séjour au Club Med pendant les fêtes de fin d’année

Repas festif, pyramide de champagne, foie gras, ambiance conviviale et familiale, destinations de rêve…Alors que les fêtes de fin d’année arrivent à grand pas, rappelons que 50%* des canadiens réservent leurs vacances en novembre et début décembre.

« Non il n’est pas trop tard pour réserver des vacances en famille pour les fêtes. Il reste encore de la place dans certains de nos villages disponibles sur notre site Clubmed.ca. Nous proposons des offres concurrentielles avantageuses pour ceux qui n’avaient pas encore fait leur choix et qui craignaient un contrecoup de cette crise », précise Xavier Mufraggi.