Transat A.T. inc. a enregistré des revenus de 792,6 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 janvier 2010, par rapport à 877,3 millions en 2009, soit une baisse de 84,7 millions de dollars ou 9,7 %. La Société affiche une perte d'exploitation(1) de 12,4 millions de dollars, par rapport à 8,5 millions de dollars en 2009, et une perte nette de 13,9 millions de dollars (0,37 $ par action sur une base diluée), par rapport à une perte nette de 29,4 millions de dollars (0,90 $ par action sur une base diluée) en 2009. Excluant les éléments hors trésorerie et non liés à l'exploitation, Transat affiche une perte ajustée après impôts(3) de 18,2 millions de dollars pour le premier trimestre 2010 (0,48 $ par action sur une base diluée), par rapport à une perte de 11,8 millions (0,36 $ par action sur une base diluée) en 2009.
"La diminution de revenus reflète surtout des prix de vente et des volumes plus bas. Nos coûts d'exploitation ont diminué de manière importante, ce qui a limité l'impact défavorable sur les marges, alors que la concurrence demeure très vive" a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
Faits saillants du premier trimestre
Les revenus de la Société ont diminué de 9,7 % ou 84,7 millions de dollars au premier trimestre, passant de 877,3 millions de dollars en 2009 à 792,6 millions de dollars en 2010. Cette réduction découle en partie de la décision de la Société de contracter son offre, à la lumière de la diminution du nombre de voyageurs en Amérique; elle reflète également la baisse des prix de vente et la vigueur du dollar. La Société a enregistré une perte d'exploitation de 12,4 millions de dollars par rapport à 8,5 millions de dollars en 2009. L'érosion de la marge de la Société est attribuable à la baisse des activités commerciales et à la baisse des prix de vente moyens.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont diminué de 82,6 millions de dollars (11,2 %) au cours du premier trimestre, comparativement à la même période en 2009. Cette diminution est attribuable à une baisse des activités commerciales de la Société, en partie en raison de la diminution de l'offre de ses produits et d'une baisse du nombre de voyageurs de 8,6 %, et à une baisse des prix de vente moyens. Pour le trimestre, la Société a réalisé une perte d'exploitation de 3,9 millions de dollars (0,6 %) comparativement à une marge de 1,3 million de dollars (0,2 %) en 2009. L'érosion des marges de la Société résulte principalement des baisses des prix de vente compte tenu de l'offre excédentaire sur le marché et de la concurrence qui est demeurée vigoureuse.
Les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont diminué de 2,1 millions de dollars (1,5 %) au cours du premier trimestre, comparativement à la même période de 2009, malgré une hausse du nombre de voyageurs de 30,1 %. La vigueur du dollar par rapport à l'euro et à la livre sterling combinée à une baisse des prix de vente ont plus que compensé l'effet sur les revenus de l'augmentation du nombre de voyageurs. L'augmentation importante du nombre de voyageurs résulte d'une augmentation des ventes de Canadian Affair, lesquelles sont faites au Royaume-Uni et au Canada, compensée en partie par une diminution des volumes en France. Les filiales européennes ont affiché une perte d'exploitation de 8,5 millions de dollars (6,2 %) au cours du trimestre, comparativement à une perte d'exploitation de 9,8 millions de dollars (7,1 %) en 2009.
Situation financière
Les montants de trésorerie et équivalents de trésorerie non détenus en fiducie s'établissaient à 147,7 millions de dollars, comparativement à 180,6 millions de dollars au 31 octobre 2009. La dette au bilan s'établissait à 106,3 millions de dollars au 31 janvier 2010, soit 4,6 millions de dollars de moins que le 31 octobre 2009.
Perspectives
Pour le deuxième trimestre, les réservations au départ du Canada vers les destinations soleil sont similaires aux volumes records enregistrés l'année précédente, et la capacité déployée par Transat est légèrement supérieure. En France, les réservations sont à des niveaux similaires à ceux de l'année précédente.
Les prix de vente sont inférieurs à ceux de l'année précédente, et la Société estime que les écarts ne seront que partiellement comblés par la réduction des prix du carburant, des coûts d'hôtels, des autres dépenses liées à la portion terrestre, de même que des coûts de sièges d'avions. De plus, comme ce fut le cas au premier trimestre, Transat ne pourra bénéficier pleinement de la hausse du dollar canadien au deuxième trimestre, à cause de ses positions de couverture de taux de change. Pour le deuxième trimestre, Transat anticipe une perte.
Pour l'été 2010, il est trop tôt pour commenter les prix de vente, et les réservations sont pour leur part supérieures à celles de l'année précédente.
Lire la suite du communiqué
"La diminution de revenus reflète surtout des prix de vente et des volumes plus bas. Nos coûts d'exploitation ont diminué de manière importante, ce qui a limité l'impact défavorable sur les marges, alors que la concurrence demeure très vive" a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
Faits saillants du premier trimestre
Les revenus de la Société ont diminué de 9,7 % ou 84,7 millions de dollars au premier trimestre, passant de 877,3 millions de dollars en 2009 à 792,6 millions de dollars en 2010. Cette réduction découle en partie de la décision de la Société de contracter son offre, à la lumière de la diminution du nombre de voyageurs en Amérique; elle reflète également la baisse des prix de vente et la vigueur du dollar. La Société a enregistré une perte d'exploitation de 12,4 millions de dollars par rapport à 8,5 millions de dollars en 2009. L'érosion de la marge de la Société est attribuable à la baisse des activités commerciales et à la baisse des prix de vente moyens.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont diminué de 82,6 millions de dollars (11,2 %) au cours du premier trimestre, comparativement à la même période en 2009. Cette diminution est attribuable à une baisse des activités commerciales de la Société, en partie en raison de la diminution de l'offre de ses produits et d'une baisse du nombre de voyageurs de 8,6 %, et à une baisse des prix de vente moyens. Pour le trimestre, la Société a réalisé une perte d'exploitation de 3,9 millions de dollars (0,6 %) comparativement à une marge de 1,3 million de dollars (0,2 %) en 2009. L'érosion des marges de la Société résulte principalement des baisses des prix de vente compte tenu de l'offre excédentaire sur le marché et de la concurrence qui est demeurée vigoureuse.
Les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont diminué de 2,1 millions de dollars (1,5 %) au cours du premier trimestre, comparativement à la même période de 2009, malgré une hausse du nombre de voyageurs de 30,1 %. La vigueur du dollar par rapport à l'euro et à la livre sterling combinée à une baisse des prix de vente ont plus que compensé l'effet sur les revenus de l'augmentation du nombre de voyageurs. L'augmentation importante du nombre de voyageurs résulte d'une augmentation des ventes de Canadian Affair, lesquelles sont faites au Royaume-Uni et au Canada, compensée en partie par une diminution des volumes en France. Les filiales européennes ont affiché une perte d'exploitation de 8,5 millions de dollars (6,2 %) au cours du trimestre, comparativement à une perte d'exploitation de 9,8 millions de dollars (7,1 %) en 2009.
Situation financière
Les montants de trésorerie et équivalents de trésorerie non détenus en fiducie s'établissaient à 147,7 millions de dollars, comparativement à 180,6 millions de dollars au 31 octobre 2009. La dette au bilan s'établissait à 106,3 millions de dollars au 31 janvier 2010, soit 4,6 millions de dollars de moins que le 31 octobre 2009.
Perspectives
Pour le deuxième trimestre, les réservations au départ du Canada vers les destinations soleil sont similaires aux volumes records enregistrés l'année précédente, et la capacité déployée par Transat est légèrement supérieure. En France, les réservations sont à des niveaux similaires à ceux de l'année précédente.
Les prix de vente sont inférieurs à ceux de l'année précédente, et la Société estime que les écarts ne seront que partiellement comblés par la réduction des prix du carburant, des coûts d'hôtels, des autres dépenses liées à la portion terrestre, de même que des coûts de sièges d'avions. De plus, comme ce fut le cas au premier trimestre, Transat ne pourra bénéficier pleinement de la hausse du dollar canadien au deuxième trimestre, à cause de ses positions de couverture de taux de change. Pour le deuxième trimestre, Transat anticipe une perte.
Pour l'été 2010, il est trop tôt pour commenter les prix de vente, et les réservations sont pour leur part supérieures à celles de l'année précédente.
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