'' Sans assurance, les soins dispensés en Floride pour une fracture d'un bras ou d'une jambe peuvent atteindre 35 000 $ '' rappelle RBC Assurances en introduction d'un communiqué publié ce matin et qui reprend les résultats d'un sondage :
L'arrivée du mois de mars marque le début d'une période fort occupée au chapitre des voyages alors que, selon un récent sondage RBC, un canadien sur dix (10 pour cent) compte voyager à l'extérieur du Canada durant la semaine de relâche.
"La semaine de relâche est une période privilégiée pour voyager, qu'il s'agisse d'un aller-retour d'une journée avec les enfants aux États-Unis ou d'un plus long voyage vers une destination soleil, a affirmé Tim Bzowey, vice-président, Voyage, RBC Assurances. Certains parents ne savent cependant pas qu'il en coûte très cher de traiter des blessures légères, par exemple une entorse ou une crise d'asthme, à l'extérieur du Canada."
Les parents peuvent s'attendre à payer jusqu'à 1 000 $ pour un enfant qui se foule la cheville à Riviera Maya et jusqu'à 750 $ pour un enfant qui subit une crise d'asthme à Buffalo nécessitant une visite à un hôpital de l'endroit.
"Bien des gens bénéficient d'une assurance voyage par l'entremise de leurs cartes de crédit ou du régime d'avantages sociaux de l'employeur, mais il est tout de même sage de comparer les garanties offertes, ajoute M. Bzowey. Les cartes de crédit limitent souvent la durée de la protection ou le montant que vous pouvez réclamer, tandis que la protection offerte dans le cadre d'un régime d'avantages sociaux ne couvre pas toujours toutes les urgences médicales ou comporte des garanties d'assurance-voyage limitées."
Les voyageurs qui se fient au régime public d'assurance maladie devraient également savoir que ce régime ne couvre qu'une partie des frais médicaux engagés à l'extérieur du pays. Par exemple, pour une fracture de la jambe survenue en Floride, seulement 2 000 des 35 000 $ déboursés seront remboursés par le régime public d'assurance maladie.
En outre, comme de plus en plus de Canadiens choisissent de prendre l'avion à partir d'aéroports américains, par exemple de Buffalo ou de Seattle, pour se rendre à leur destination, il est important que leur couverture d'assurance débute à la date du départ de la maison et non pas à la date du vol. Si un accident survenait sur le chemin de l'aéroport, le voyage familial pourrait s'en trouver complètement ruiné.
RBC Assurances suggère aux familles qui traversent la frontière, ne serait-ce que pour une journée, de passer en revue leur assurance frais médicaux de voyage afin de s'assurer qu'elles bénéficient d'une couverture complète.
Voici cinq questions que les Canadiens devraient se poser avant de partir en voyage à l'étranger avec leur famille :
- Votre protection d'assurance voyage comporte-t-elle des lacunes ? Les
régimes publics d'assurance maladie, les régimes d'avantages sociaux
et les cartes de crédit n'offrent parfois qu'un montant d'assurance
limité.
- Vos enfants sont-ils couverts par votre assurance voyage ? Bon nombre
de régimes patronaux prévoient un âge limite au-delà duquel les
enfants ne sont pas couverts par l'assurance de leurs parents.
- Qui s'occupera de vos enfants si vous tombez malade ou subissez un
accident ? Une assurance voyage peut faire en sorte que les
dispositions nécessaires seront prises pour assurer le retour en
sécurité de votre enfant.
- Seriez-vous prêt à assumer des frais supplémentaires ? Les frais
imprévus, comme les frais hospitaliers, un séjour prolongé à l'hôtel
et les frais d'interurbains, peuvent grimper très vite.
- Votre assurance frais médicaux de voyage prend-elle immédiatement en
charge les frais médicaux assurés ? De nombreux hôpitaux et autres
établissements de soins médicaux exigent d'être payés avant de
dispenser leurs traitements.
Le sondage RBC a été mené en ligne entre le 9 et le 12 février 2010 par Ipsos Reid auprès de 1 064 Canadiens âgés de 18 ans ou plus. Ces données constituent l'aperçu le plus actuel et le plus complet des attitudes des consommateurs en ce qui a trait à leurs finances et à l'état de l'économie canadienne. Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement, et de fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de +/- 3,1 %, 19 fois sur 20, par rapport au résultat que l'on aurait obtenu si l'ensemble de la population adulte canadienne avait été consultée.
(source: communiqué de RBC Assurances)
L'arrivée du mois de mars marque le début d'une période fort occupée au chapitre des voyages alors que, selon un récent sondage RBC, un canadien sur dix (10 pour cent) compte voyager à l'extérieur du Canada durant la semaine de relâche.
"La semaine de relâche est une période privilégiée pour voyager, qu'il s'agisse d'un aller-retour d'une journée avec les enfants aux États-Unis ou d'un plus long voyage vers une destination soleil, a affirmé Tim Bzowey, vice-président, Voyage, RBC Assurances. Certains parents ne savent cependant pas qu'il en coûte très cher de traiter des blessures légères, par exemple une entorse ou une crise d'asthme, à l'extérieur du Canada."
Les parents peuvent s'attendre à payer jusqu'à 1 000 $ pour un enfant qui se foule la cheville à Riviera Maya et jusqu'à 750 $ pour un enfant qui subit une crise d'asthme à Buffalo nécessitant une visite à un hôpital de l'endroit.
"Bien des gens bénéficient d'une assurance voyage par l'entremise de leurs cartes de crédit ou du régime d'avantages sociaux de l'employeur, mais il est tout de même sage de comparer les garanties offertes, ajoute M. Bzowey. Les cartes de crédit limitent souvent la durée de la protection ou le montant que vous pouvez réclamer, tandis que la protection offerte dans le cadre d'un régime d'avantages sociaux ne couvre pas toujours toutes les urgences médicales ou comporte des garanties d'assurance-voyage limitées."
Les voyageurs qui se fient au régime public d'assurance maladie devraient également savoir que ce régime ne couvre qu'une partie des frais médicaux engagés à l'extérieur du pays. Par exemple, pour une fracture de la jambe survenue en Floride, seulement 2 000 des 35 000 $ déboursés seront remboursés par le régime public d'assurance maladie.
En outre, comme de plus en plus de Canadiens choisissent de prendre l'avion à partir d'aéroports américains, par exemple de Buffalo ou de Seattle, pour se rendre à leur destination, il est important que leur couverture d'assurance débute à la date du départ de la maison et non pas à la date du vol. Si un accident survenait sur le chemin de l'aéroport, le voyage familial pourrait s'en trouver complètement ruiné.
RBC Assurances suggère aux familles qui traversent la frontière, ne serait-ce que pour une journée, de passer en revue leur assurance frais médicaux de voyage afin de s'assurer qu'elles bénéficient d'une couverture complète.
Voici cinq questions que les Canadiens devraient se poser avant de partir en voyage à l'étranger avec leur famille :
- Votre protection d'assurance voyage comporte-t-elle des lacunes ? Les
régimes publics d'assurance maladie, les régimes d'avantages sociaux
et les cartes de crédit n'offrent parfois qu'un montant d'assurance
limité.
- Vos enfants sont-ils couverts par votre assurance voyage ? Bon nombre
de régimes patronaux prévoient un âge limite au-delà duquel les
enfants ne sont pas couverts par l'assurance de leurs parents.
- Qui s'occupera de vos enfants si vous tombez malade ou subissez un
accident ? Une assurance voyage peut faire en sorte que les
dispositions nécessaires seront prises pour assurer le retour en
sécurité de votre enfant.
- Seriez-vous prêt à assumer des frais supplémentaires ? Les frais
imprévus, comme les frais hospitaliers, un séjour prolongé à l'hôtel
et les frais d'interurbains, peuvent grimper très vite.
- Votre assurance frais médicaux de voyage prend-elle immédiatement en
charge les frais médicaux assurés ? De nombreux hôpitaux et autres
établissements de soins médicaux exigent d'être payés avant de
dispenser leurs traitements.
Le sondage RBC a été mené en ligne entre le 9 et le 12 février 2010 par Ipsos Reid auprès de 1 064 Canadiens âgés de 18 ans ou plus. Ces données constituent l'aperçu le plus actuel et le plus complet des attitudes des consommateurs en ce qui a trait à leurs finances et à l'état de l'économie canadienne. Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement, et de fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de +/- 3,1 %, 19 fois sur 20, par rapport au résultat que l'on aurait obtenu si l'ensemble de la population adulte canadienne avait été consultée.
(source: communiqué de RBC Assurances)