L'implantation de Go Travel Direct dans le marché s'inspire, selon son PDG, Hugh Boyle, notamment du "retard" existant entre la Grande Bretagne et le Canada en matière de distribution des voyages. Or si nous sommes en retard, au Canada, jetons un oeil sur ce qui se passe aujourd'hui Outre-Atlantique. L'association des agents de voyages britanniques (ABTA) qui tient en ce moment son congrès annuel à Orlando rapporte aujourd'hui une nouvelle plutôt encourageante pour la profession:
85 % des consommateurs sont encore susceptibles de passer par un agent de voyages pour faire leurs arrangements de voyages , et seulement 15% seraient à oublier définitivement.
C'est du moins le message que livrait en fin de semaine Walter Preston,un partenaire de Price Waterhouse Coopers,aux agents de voyages britannique.
Le 15% d'irréductibles, ce serait en fait la "génération branchée", qui n'hésitera pas à faire appel aux services de l'agent de voyages pour obtenir de l'information et s'empressera ensuite de retourner sur Internet pour faire la transaction!
'Ne perdez plus votre temps avec la "Génération branchée",conseille, M Preston, dites leur poliment de quitter votre bureau le plus rapidement possible".
Mais pour Walter Preston, le reste de la population représente dans son ensemble des clients potentiels pour les agences, à condition qu'on leur propose le produit qui leur convient.
"15% des gens lisent les journaux Tabloïd, dit Preston. Ces gens là n'achètent pas sur Internet et ne réservent pas de voyages à rabais Ils constituent un excellent potentiel pour l'avenir"
" Les 16 % de la population qui constituent la tranche des '"actifs", ceux qui aiment les vacances d'aventure, utilisent majoritairement les agents de voyages." poursuit Preston, qui signale qu'il appartient à cette catégorie.
"Le reste de la population dit-il, est susceptible de réserver avec un agent de voyage, à un moment ou à un autre, si le produit répond aux attentes"
" Si vous me demandez si le verre est à moitié plein ou à moitié vide, je réponds sans hésiter qu'il est à moitié plein" lance-t-il aux agents de voyages.
Questionné sur les façons d'identifier les différents types de clients, Walter Preston a cette réponse: " Ce n'est pas facile , surtout si ce sont des clients que vous n'avez pas vu avant, mais avec un bon entraînement vous pouvez apprendre à poser les bonnes questions, qui vous permettront de découvrir leurs attentes."
"Poser les bonnes questions" voici bien un commentaire qui fait écho, ici au Québec, à la première recommandation de la formatrice, Lita St-Laurent, lorsqu'elle parle de l'avenir de la profession!
Nous reviendrons sur le congrès de l'ABTA dans le courant de la semaine.
(Source Travel Mole)
85 % des consommateurs sont encore susceptibles de passer par un agent de voyages pour faire leurs arrangements de voyages , et seulement 15% seraient à oublier définitivement.
C'est du moins le message que livrait en fin de semaine Walter Preston,un partenaire de Price Waterhouse Coopers,aux agents de voyages britannique.
Le 15% d'irréductibles, ce serait en fait la "génération branchée", qui n'hésitera pas à faire appel aux services de l'agent de voyages pour obtenir de l'information et s'empressera ensuite de retourner sur Internet pour faire la transaction!
'Ne perdez plus votre temps avec la "Génération branchée",conseille, M Preston, dites leur poliment de quitter votre bureau le plus rapidement possible".
Mais pour Walter Preston, le reste de la population représente dans son ensemble des clients potentiels pour les agences, à condition qu'on leur propose le produit qui leur convient.
"15% des gens lisent les journaux Tabloïd, dit Preston. Ces gens là n'achètent pas sur Internet et ne réservent pas de voyages à rabais Ils constituent un excellent potentiel pour l'avenir"
" Les 16 % de la population qui constituent la tranche des '"actifs", ceux qui aiment les vacances d'aventure, utilisent majoritairement les agents de voyages." poursuit Preston, qui signale qu'il appartient à cette catégorie.
"Le reste de la population dit-il, est susceptible de réserver avec un agent de voyage, à un moment ou à un autre, si le produit répond aux attentes"
" Si vous me demandez si le verre est à moitié plein ou à moitié vide, je réponds sans hésiter qu'il est à moitié plein" lance-t-il aux agents de voyages.
Questionné sur les façons d'identifier les différents types de clients, Walter Preston a cette réponse: " Ce n'est pas facile , surtout si ce sont des clients que vous n'avez pas vu avant, mais avec un bon entraînement vous pouvez apprendre à poser les bonnes questions, qui vous permettront de découvrir leurs attentes."
"Poser les bonnes questions" voici bien un commentaire qui fait écho, ici au Québec, à la première recommandation de la formatrice, Lita St-Laurent, lorsqu'elle parle de l'avenir de la profession!
Nous reviendrons sur le congrès de l'ABTA dans le courant de la semaine.
(Source Travel Mole)