L'impact de l'élection de Donald Trump sur l'industrie du tourisme est difficile à prévoir, notamment en raison de l'opacité du programme du président élu.
Mais en parcourant les articles qui y sont consacrés on constate que les responsables à travers le monde sont plutôt optimistes pour l'instant. A part le fait que la sécurité du monde pourrait se dégrader davantage et qu'un sentiment anti Etats-Unis puisse grever la performance de la destination, beaucoup d'observateurs voient d'un bon œil le fait que Donald Trump soit un hôtelier et un ancien propriétaire de compagnie aérienne (Trump Shuttle), ce qui en fait somme toute un membre de l'industrie et donc quelqu'un de bien informé et favorable au tourisme.
Mettra-t-il un terme au réchauffement des relations avec Cuba ? Renforcera -t-il les contrôles aux frontières, empirant ainsi les files interminables aux aéroports ? Fera -t'il demi-tour sur les mesures de protection des passagers aériens ? Tout le monde semble s'entendre sur le fait qu'aucun de ces dossiers ne sera prioritaire pour le nouveau président.
En revanche, sa promesse d'investir massivement dans les infrastructures notamment aéroportuaires ravit les responsables de l'industrie. Par ailleurs, les compagnies aériennes américaines comptent sur Donald Trump pour stopper l'expansion aux Etats-Unis des transporteurs des Émirats qu'ils estiment injustement subventionnées ou encore celle des transporteurs à bas coûts européens qui veulent se ruer sur le transatlantique. Des dossiers déjà matures qui pourraient remonter rapidement dans ses emails prioritaires.
Brand USA maintient en tous cas son objectif d'atteindre les 100 millions de visiteurs aux Etats-Unis et, pour autant que la paix sociale règne dans les rues américaines, nul ne voit pour l'instant d'impact significatif sur l'industrie au lendemain du choc.
Mais en parcourant les articles qui y sont consacrés on constate que les responsables à travers le monde sont plutôt optimistes pour l'instant. A part le fait que la sécurité du monde pourrait se dégrader davantage et qu'un sentiment anti Etats-Unis puisse grever la performance de la destination, beaucoup d'observateurs voient d'un bon œil le fait que Donald Trump soit un hôtelier et un ancien propriétaire de compagnie aérienne (Trump Shuttle), ce qui en fait somme toute un membre de l'industrie et donc quelqu'un de bien informé et favorable au tourisme.
Mettra-t-il un terme au réchauffement des relations avec Cuba ? Renforcera -t-il les contrôles aux frontières, empirant ainsi les files interminables aux aéroports ? Fera -t'il demi-tour sur les mesures de protection des passagers aériens ? Tout le monde semble s'entendre sur le fait qu'aucun de ces dossiers ne sera prioritaire pour le nouveau président.
En revanche, sa promesse d'investir massivement dans les infrastructures notamment aéroportuaires ravit les responsables de l'industrie. Par ailleurs, les compagnies aériennes américaines comptent sur Donald Trump pour stopper l'expansion aux Etats-Unis des transporteurs des Émirats qu'ils estiment injustement subventionnées ou encore celle des transporteurs à bas coûts européens qui veulent se ruer sur le transatlantique. Des dossiers déjà matures qui pourraient remonter rapidement dans ses emails prioritaires.
Brand USA maintient en tous cas son objectif d'atteindre les 100 millions de visiteurs aux Etats-Unis et, pour autant que la paix sociale règne dans les rues américaines, nul ne voit pour l'instant d'impact significatif sur l'industrie au lendemain du choc.