La GTAA appuie les conclusions de l'étude de l'Institut C.D. Howe sur le fardeau que représente le loyer des aéroports. L'Autorité aéroportuaire du Grand Toronto (GTAA) accueille favorablement le numéro du C.D. Howe Institute Commentary, "Excess Baggage: Measuring Air Transportation's Fiscal Burden", en particulier ses recommandations relativement à la politique du gouvernement fédéral sur le loyer des aéroports. Ce rapport reconnaît le fardeau que doit supporter le secteur du transport aérien au Canada et presse le gouvernement fédéral de corriger des politiques gouvernementales injustes, dont fait partie la politique du loyer des aéroports.
"Il est vital de maintenir nos aéroports et le secteur de l'aviation concurrentiels sur le marché mondial, non seulement pour nos aéroports et nos transporteurs, mais aussi pour la prospérité des villes et des populations qu'ils desservent", a déclaré Lloyd McCoomb, président et chef de la direction de la GTAA. "Une réduction des loyers allégerait le fardeau injuste imposé à l'aéroport Pearson et au système de transport aérien au Canada. Elle permettrait également à l'aéroport Pearson d'accroître sa compétitivité sur le marché mondial et d'avoir une influence encore plus grande sur l'économie canadienne."
Ce commentaire rédigé de manière indépendante reconnaît les nombreux problèmes fondamentaux inhérents à la politique actuelle du loyer des aéroports élaborée par le gouvernement fédéral :
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- "La formule est problématique en raison du cercle vicieux qu'elle
engendre pour les aéroports." (p. 4)
- "...(la formule de loyer actuelle) échoue au test d'efficacité
économique." (p. 4)
- "En fait, le montant du loyer versé a augmenté plus rapidement que le
nombre de passagers." (p. 5)
- "Etant donné que la nouvelle formule de loyer constitue un impôt sur
les produits d'exploitation, elle n'incite pas les aéroports a
rechercher des sources de revenu additionnelles." (p. 6)
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La première étape recommandée par l'Institut C.D. Howe pour alléger le fardeau du loyer des aéroports est en accord avec une proposition de la GTAA qu'analyse actuellement le gouvernement fédéral, laquelle permettrait de réduire partiellement l'injustice subie par l'aéroport Pearson et inhérente à l'actuelle politique des loyers annoncée en mai 2005.
Le loyer des aéroports génère des retombées négatives pour les Canadiens sur le plan de la commodité des vols et des possibilités de trajets en partance et en direction de Toronto, ainsi que pour la capacité de l'aéroport à attirer de nouveaux transporteurs. Si le gouvernement fédéral réduisait le loyer, la GTAA pourrait exiger des redevances d'atterrissage moins élevées aux transporteurs, ce qui favoriserait la compétitivité de la région du grand Toronto sur le marché mondial et une pleine utilisation du plus important
aéroport au Canada.
"Il est vital de maintenir nos aéroports et le secteur de l'aviation concurrentiels sur le marché mondial, non seulement pour nos aéroports et nos transporteurs, mais aussi pour la prospérité des villes et des populations qu'ils desservent", a déclaré Lloyd McCoomb, président et chef de la direction de la GTAA. "Une réduction des loyers allégerait le fardeau injuste imposé à l'aéroport Pearson et au système de transport aérien au Canada. Elle permettrait également à l'aéroport Pearson d'accroître sa compétitivité sur le marché mondial et d'avoir une influence encore plus grande sur l'économie canadienne."
Ce commentaire rédigé de manière indépendante reconnaît les nombreux problèmes fondamentaux inhérents à la politique actuelle du loyer des aéroports élaborée par le gouvernement fédéral :
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- "La formule est problématique en raison du cercle vicieux qu'elle
engendre pour les aéroports." (p. 4)
- "...(la formule de loyer actuelle) échoue au test d'efficacité
économique." (p. 4)
- "En fait, le montant du loyer versé a augmenté plus rapidement que le
nombre de passagers." (p. 5)
- "Etant donné que la nouvelle formule de loyer constitue un impôt sur
les produits d'exploitation, elle n'incite pas les aéroports a
rechercher des sources de revenu additionnelles." (p. 6)
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La première étape recommandée par l'Institut C.D. Howe pour alléger le fardeau du loyer des aéroports est en accord avec une proposition de la GTAA qu'analyse actuellement le gouvernement fédéral, laquelle permettrait de réduire partiellement l'injustice subie par l'aéroport Pearson et inhérente à l'actuelle politique des loyers annoncée en mai 2005.
Le loyer des aéroports génère des retombées négatives pour les Canadiens sur le plan de la commodité des vols et des possibilités de trajets en partance et en direction de Toronto, ainsi que pour la capacité de l'aéroport à attirer de nouveaux transporteurs. Si le gouvernement fédéral réduisait le loyer, la GTAA pourrait exiger des redevances d'atterrissage moins élevées aux transporteurs, ce qui favoriserait la compétitivité de la région du grand Toronto sur le marché mondial et une pleine utilisation du plus important
aéroport au Canada.