Zaccaria Coulibaly (chef bureau économique à l'ambassade du Sénégal au Canada), Patrice Malacort (rep. Brussels Airlines), Ramatoulaye Ba (rel. publiques pour ASPT) et Aly Sidy Mbar Sow (directeur études et prospectives pour ASPT)
Par Nathalie De Grandmont------Hier, la Maison de l’Afrique à Montréal recevait de la grande visite : une délégation du Sénégal, pilotée par l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique et par le Bureau économique de l’Ambassade du Sénégal. Aidée par Patrice Malacort, représentant de Brussels Airlines, cette délégation réunissait notamment Zaccaria Coulibaly, chef de Bureau économique à l’Ambassade du Sénégal au Canada, et Aly Sidy Mbar Sow, directeur des Etudes et prospectives pour l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique, accompagné d’une partie de son équipe.
Aly Sidy Mbar Sow et Patrice Malacort
Ils avaient convié des voyagistes, conseillers en voyage et journalistes, afin de leur présenter les atouts du Sénégal et d’entamer un réel dialogue avec le marché québécois, pour susciter des partenariats et de futurs voyages vers cette destination de l’Afrique de l’ouest. La soirée a débuté avec un petit buffet sénégalais et un cocktail convivial, au milieu duquel les Sénégalais sympathisaient avec des représentants d’Exotik Tours, de Celebritours, ainsi que le nouveau directeur de Royal Air Maroc au Canada, Zakaria Mahsen. Ensuite, les invités ont pu assister à une présentation sur le Sénégal, ponctuée par plusieurs vidéos, qui nous montraient les stations balnéaires, les réserves naturelles, ainsi que la richesse culturelle et historique de ce pays, qui compte sept sites classés au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Une destination francophone et hospitalière
D’entrée de jeu, Aly Sidy Mbar Sow a tenu à remercier chaleureusement son partenaire Patrice Malacort, pour avoir servi d’intermédiaire pour l’organisation de cette soirée. « Il s’agit d’un premier contact avec vous, disait-il, mais nous souhaitons vraiment entamer un dialogue avec les voyagistes d’ici, pour identifier des stratégies de marketing et de communication qui nous permettront d’attirer les Québécois vers le Sénégal. » Monsieur Sow et son équipe expliquaient également que le gouvernement sénégalais démontrait une réelle volonté politique de développer le tourisme, tant au niveau local qu’international; ce qui expliquait d’ailleurs la création de l’Agence Sénégalaise de Promotion et de Tourisme et la mise sur pied de missions de prospections comme celle-ci. Dans la foulée, monsieur Sow précisait aussi qu’ils avaient notamment choisi le Québec, parce que le Québec a aussi ouvert, en mars dernier, une Maison du Québec à Dakar; ce qui démontre une volonté commune d’améliorer les partenariats, de part et d’autre. De son côté, Patrice Malacort déclarait «qu’il faisait partie des convaincus »; en expliquant que, pour lui, la nature francophone et hospitalière du Sénégal, jumelée avec la curiosité des Québécois de découvrir de nouvelles destinations, constituaient aussi des atouts gagnants pour ce pays. « De plus, ajoutait-il, le Sénégal possède de nombreux atouts sur le plan de l’histoire, de la nature et de la culture, sans parler du tourisme solidaire, qui se développe de plus en plus et qui a beaucoup de potentiel au Sénégal, à cause de la facilité d’entrer en contact avec les gens. Les Québécois aiment les destinations francophones et aiment sentir qu’ils peuvent développer un lien privilégié avec les gens; or, le Sénégal est tout à fait propice pour cela, d’autant plus qu’on peut y vivre une foule d’expériences humaines, très enrichissantes. »
Une destination francophone et hospitalière
D’entrée de jeu, Aly Sidy Mbar Sow a tenu à remercier chaleureusement son partenaire Patrice Malacort, pour avoir servi d’intermédiaire pour l’organisation de cette soirée. « Il s’agit d’un premier contact avec vous, disait-il, mais nous souhaitons vraiment entamer un dialogue avec les voyagistes d’ici, pour identifier des stratégies de marketing et de communication qui nous permettront d’attirer les Québécois vers le Sénégal. » Monsieur Sow et son équipe expliquaient également que le gouvernement sénégalais démontrait une réelle volonté politique de développer le tourisme, tant au niveau local qu’international; ce qui expliquait d’ailleurs la création de l’Agence Sénégalaise de Promotion et de Tourisme et la mise sur pied de missions de prospections comme celle-ci. Dans la foulée, monsieur Sow précisait aussi qu’ils avaient notamment choisi le Québec, parce que le Québec a aussi ouvert, en mars dernier, une Maison du Québec à Dakar; ce qui démontre une volonté commune d’améliorer les partenariats, de part et d’autre. De son côté, Patrice Malacort déclarait «qu’il faisait partie des convaincus »; en expliquant que, pour lui, la nature francophone et hospitalière du Sénégal, jumelée avec la curiosité des Québécois de découvrir de nouvelles destinations, constituaient aussi des atouts gagnants pour ce pays. « De plus, ajoutait-il, le Sénégal possède de nombreux atouts sur le plan de l’histoire, de la nature et de la culture, sans parler du tourisme solidaire, qui se développe de plus en plus et qui a beaucoup de potentiel au Sénégal, à cause de la facilité d’entrer en contact avec les gens. Les Québécois aiment les destinations francophones et aiment sentir qu’ils peuvent développer un lien privilégié avec les gens; or, le Sénégal est tout à fait propice pour cela, d’autant plus qu’on peut y vivre une foule d’expériences humaines, très enrichissantes. »
Les atouts touristiques et les liaisons aériennes
Au cours de la présentation, Seynabou Ndiaye, agent de recherche pour l’ASPT, a aussi expliqué que le Sénégal possédait six pôles touristiques différents : tout d’abord celui de Dakar, la capitale; puis celui de Thiès-Petite Côte, où l’on retrouve la station balnéaire de Saly, qui possède plus de 200 établissements d’hébergement, déjà très populaires auprès des Européens. A cela s’ajoutent aussi les pôles de Saint-Louis (très riche sur le plan culturel et naturel), de Sine Saloum (reconnu pour l’écotourisme), du Sénégal oriental (avec le Parc national de Niokolo-koba) et finalement, la Casamance, qui possède aussi la station balnéaire de Skirring, de même qu’un riche patrimoine culturel. Monsieur Sow et ses collègues ont aussi rappelé que le Sénégal possède un climat sécuritaire et que les touristes peuvent y retrouver des stations balnéaires de qualité, des sites historiques majeurs comme l’Ile de Gorée (site crucial dans l’histoire de l’esclavage), de nombreuses ethnies qui possèdent toutes des traditions à découvrir, de même que des expériences très exotiques dans la nature, telles que des tours de pirogue dans le Delta du Saloum ou même, des rencontres avec les lions, dans la réserve de Fatala.
De son côté, Patrice Malacort nous expliquait en entrevue que Brussels Airlines se positionne comme la référence pour desservir l’Afrique, en ne proposant pas moins de 17 destinations africaines (plus 2 en Afrique du nord). « Nous travaillons en code partagé avec Air Canada pour les liaisons entre Montréal et Bruxelles, après quoi Brussels Airlines propose les meilleures correspondances vers l’Afrique, en ce qui concerne les horaires, mais également la qualité du service, très cordial. » « De plus, l’aéroport de Bruxelles est très facile pour les correspondances », ajoutait-il. Monsieur Malacort précisait aussi que Brussels Airlines avait débuté au début d’avril un nouveau vol direct entre Toronto et Bruxelles, qui fonctionnerait à l’année; et que ce dernier fonctionnait très bien jusqu’à maintenant.
Pour en savoir plus sur le Sénégal : www.visitezlesenegal.com
Au cours de la présentation, Seynabou Ndiaye, agent de recherche pour l’ASPT, a aussi expliqué que le Sénégal possédait six pôles touristiques différents : tout d’abord celui de Dakar, la capitale; puis celui de Thiès-Petite Côte, où l’on retrouve la station balnéaire de Saly, qui possède plus de 200 établissements d’hébergement, déjà très populaires auprès des Européens. A cela s’ajoutent aussi les pôles de Saint-Louis (très riche sur le plan culturel et naturel), de Sine Saloum (reconnu pour l’écotourisme), du Sénégal oriental (avec le Parc national de Niokolo-koba) et finalement, la Casamance, qui possède aussi la station balnéaire de Skirring, de même qu’un riche patrimoine culturel. Monsieur Sow et ses collègues ont aussi rappelé que le Sénégal possède un climat sécuritaire et que les touristes peuvent y retrouver des stations balnéaires de qualité, des sites historiques majeurs comme l’Ile de Gorée (site crucial dans l’histoire de l’esclavage), de nombreuses ethnies qui possèdent toutes des traditions à découvrir, de même que des expériences très exotiques dans la nature, telles que des tours de pirogue dans le Delta du Saloum ou même, des rencontres avec les lions, dans la réserve de Fatala.
De son côté, Patrice Malacort nous expliquait en entrevue que Brussels Airlines se positionne comme la référence pour desservir l’Afrique, en ne proposant pas moins de 17 destinations africaines (plus 2 en Afrique du nord). « Nous travaillons en code partagé avec Air Canada pour les liaisons entre Montréal et Bruxelles, après quoi Brussels Airlines propose les meilleures correspondances vers l’Afrique, en ce qui concerne les horaires, mais également la qualité du service, très cordial. » « De plus, l’aéroport de Bruxelles est très facile pour les correspondances », ajoutait-il. Monsieur Malacort précisait aussi que Brussels Airlines avait débuté au début d’avril un nouveau vol direct entre Toronto et Bruxelles, qui fonctionnerait à l’année; et que ce dernier fonctionnait très bien jusqu’à maintenant.
Pour en savoir plus sur le Sénégal : www.visitezlesenegal.com