Taleb Rifai
Le tourisme peut transformer le monde et favoriser l’entente en cette époque marquée par un déficit de tolérance, ainsi que l’a déclaré le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, lors de la cérémonie d’ouverture de l’édition 2017 du salon ITB de Berlin.
« Notre époque est celle du meilleur et du pire. Tous les matins au lever nous attendent la menace du terrorisme et les chiffres peu réjouissants du chômage. Une époque marquée par l’isolationnisme et des actions bien mal inspirées comme les interdictions de voyager qui, au lieu de contribuer à la sécurité, ne font qu’attiser les tensions. En dépit de tous ces défis complexes et interdépendants, en dépit des coups portés à la liberté de voyager, la force du tourisme reste un phare dans l’obscurité » a déclaré M. Rifai.
Citant le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres, il a ajouté qu’au-delà des avancées mesurables que le tourisme peut permettre de réaliser, c’est aussi un trait d’union favorisant la compréhension mutuelle entre des gens de tous horizons.
M. Rifai a rappelé, dans ce contexte, la proclamation par les Nations Unies de l’Année internationale du tourisme durable pour le développement (2017) : il faut y voir une reconnaissance claire de la contribution potentielle du tourisme au progrès social, à l’égalité, à la prospérité et à la paix, ainsi que de la nécessité, pour le tourisme, d’être en première ligne du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
« Dans un monde qui semble manquer de plus en plus de tolérance et de générosité, nous devrions valoriser le tourisme entendu comme un socle précieux de la paix entre les communautés et les nations » a expliqué M. Rifai.
Toujours selon M. Rifai : « Nous devons tous veiller à ce que l’essor du tourisme contribue au bien-être de la planète et pas à la mettre en péril. Le tourisme doit assumer sa responsabilité de contribuer à chacun des 17 objectifs de développement durable à vocation universelle. »
« Notre époque est celle du meilleur et du pire. Tous les matins au lever nous attendent la menace du terrorisme et les chiffres peu réjouissants du chômage. Une époque marquée par l’isolationnisme et des actions bien mal inspirées comme les interdictions de voyager qui, au lieu de contribuer à la sécurité, ne font qu’attiser les tensions. En dépit de tous ces défis complexes et interdépendants, en dépit des coups portés à la liberté de voyager, la force du tourisme reste un phare dans l’obscurité » a déclaré M. Rifai.
Citant le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres, il a ajouté qu’au-delà des avancées mesurables que le tourisme peut permettre de réaliser, c’est aussi un trait d’union favorisant la compréhension mutuelle entre des gens de tous horizons.
M. Rifai a rappelé, dans ce contexte, la proclamation par les Nations Unies de l’Année internationale du tourisme durable pour le développement (2017) : il faut y voir une reconnaissance claire de la contribution potentielle du tourisme au progrès social, à l’égalité, à la prospérité et à la paix, ainsi que de la nécessité, pour le tourisme, d’être en première ligne du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
« Dans un monde qui semble manquer de plus en plus de tolérance et de générosité, nous devrions valoriser le tourisme entendu comme un socle précieux de la paix entre les communautés et les nations » a expliqué M. Rifai.
Toujours selon M. Rifai : « Nous devons tous veiller à ce que l’essor du tourisme contribue au bien-être de la planète et pas à la mettre en péril. Le tourisme doit assumer sa responsabilité de contribuer à chacun des 17 objectifs de développement durable à vocation universelle. »