L'avarie qui a forcé le retour à son point de départ du vol TS 961 d'Air Transat Varadero-Québec avant hier, continue à faire couler beaucoup d'encre. À en croire les voyageurs qui étaient à bord du vol et sont maintenant de retour au Québec, plusieurs ont cru leur dernière heure venue et la plupart s'interrogent sur les raisons qui ont incité le commandant de bord à retourner à Varadero plutôt que d'atterrir en Floride.
Des passagers rapportent que le pilote aurait d'abord annoncé que l'avion se poserait en Floride et qu'il aurait ensuite invoqué le refus par les États-Unis d'accueillir un vol provenant de Cuba pour expliquer le retour vers Varadero. Une version que les autorités américaines réfutent, vigoureusement, soulignant que le pilote n'avait pas fait adéquatement état de l'urgence de la situation et qu'il avait décidé, de son propre chef, de faire demi-tour vers Varadero.
Devant ce début de polémique, Air Transat tenait à émettre hier soir, la précision suivante:
"le fait de retourner à Varadero plutôt que d'atterrir en Floride est une décision du commandant prise en collaboration avec le Centre de contrôle des opérations d'Air Transat compte tenu que la société dispose d'un personnel d'entretien à cet aéroport. Il est inexact que les autorités américaines se soient opposées à accueillir l'appareil sur leur territoire."
Des passagers rapportent que le pilote aurait d'abord annoncé que l'avion se poserait en Floride et qu'il aurait ensuite invoqué le refus par les États-Unis d'accueillir un vol provenant de Cuba pour expliquer le retour vers Varadero. Une version que les autorités américaines réfutent, vigoureusement, soulignant que le pilote n'avait pas fait adéquatement état de l'urgence de la situation et qu'il avait décidé, de son propre chef, de faire demi-tour vers Varadero.
Devant ce début de polémique, Air Transat tenait à émettre hier soir, la précision suivante:
"le fait de retourner à Varadero plutôt que d'atterrir en Floride est une décision du commandant prise en collaboration avec le Centre de contrôle des opérations d'Air Transat compte tenu que la société dispose d'un personnel d'entretien à cet aéroport. Il est inexact que les autorités américaines se soient opposées à accueillir l'appareil sur leur territoire."