Communiqué du CAC
Le Conseil des aéroports du Canada (CAC) a salué aujourd'hui les mesures annoncées par le ministre des Transports Marc Garneau visant à améliorer l'expérience des voyageurs aériens canadiens, et à rendre celle-ci davantage concurrentielle. Le gouvernement s'engage notamment à réduire les délais d'attente des passagers aux postes de contrôle de sécurité des principaux aéroports.
Le CAC, une association professionnelle représentant la communauté aéroportuaire canadienne, a aussi salué l'engagement d'établir des standards de qualité en matière de services concurrentiels à l'échelle du globe, et de redéfinir le modèle de financement pour le contrôle de la sécurité dans les aéroports tel qu'assuré par l'ACSTA, une société d'État fédérale.
« Le contrôle de la sécurité demeure certes une grande priorité pour les voyageurs, a indiqué Howard Eng, président du conseil du CAC et président-directeur général de la Greater Toronto Airports Authority. Or, si l'ACSTA joue un rôle essentiel dans les efforts afin d'assurer la sécurité du transport aérien, nos passagers se disent tout de même préoccupés par les longs délais d'attente au Canada, comparativement à d'autres aéroports internationaux. Nous sommes donc heureux que le ministre ait réagi à une telle situation, et nous encourageons le gouvernement à agir rapidement afin de réduire les délais d'attente aux postes de contrôle, afin d'assurer que le Canada demeure concurrentiel sur l'échiquier mondial. »
La nécessité de revoir le financement et le processus de contrôle de la sécurité des passagers demeure une priorité pour la communauté aéroportuaire canadienne, afin que l'on puisse être en mesure de mieux gérer un volume sans cesse croissant de passagers - une hausse qui atteint 8 % dans certains aéroports. Alors que les passagers aériens canadiens défraient les coûts du contrôle de leur sécurité par l'entremise du droit pour la sécurité des passagers du transport aérien imposé sur le prix du billet, l'ACSTA ne reçoit qu'une portion de ce montant, établie en fonction des budgets fédéraux annuels. À l'heure actuelle, il n'existe aucune norme de qualité en termes de services, et les passagers peuvent se voir imposer des délais d'attente de plus d'une heure en période de pointe dans les principaux aéroports.
« Nos collègues à l'ACSTA jouent un rôle difficile mais crucial dans les aéroports canadiens, a pour sa part souligné Daniel-Robert Gooch, président du CAC. En constatant des délais d'attente de plus en plus longs depuis les cinq dernières années et un volume de passagers appelé à croître de plus en plus au cours de la prochaine décennie, notre industrie est plus convaincue que jamais de la nécessité d'apporter une solution à cet aspect fort important de l'expérience des passagers. Nous anticipons avec plaisir l'occasion de faire équipe avec le ministre Garneau et ses fonctionnaires au cours des prochaines semaines et des prochains mois, afin d'identifier des solutions permanentes pour répondre efficacement à une demande croissante pour tous les services essentiels offerts par l'ACSTA dans les aéroports canadiens. »
Les aéroports du Canada, de même que les principaux transporteurs aériens, ont soumis au ministre Garneau des recommandations en matière de services qui feraient en sorte que le contrôle de sécurité pour quelque 95 % des passagers dans les huit principaux aéroports au pays s'effectue en moins de dix minutes. Le processus serait encore plus rapide pour les passagers en correspondance, qui se verraient imposer une attente maximale de vingt minutes.
Mesures additionnelles et plus concurrentielles pour les voyageurs aériens
D'autres mesures bénéficiant les voyageurs aériens ont aussi été annoncées aujourd'hui, incluant une hausse de la proportion des compagnies aériennes pouvant être détenue par des intérêts étrangers afin de rendre ces dernières davantage concurrentielles. Ainsi, cette proportion grimpera à 49 %, tel qu'il fut recommandé dans un rapport déposé au parlement plus tôt cette année, dans le cadre de l'examen de La loi sur les transports au Canada.
« Le fait de permettre à notre secteur du transport aérien d'être plus concurrentiel se traduira par un coût moins élevé du billet et un plus grand nombre de gens ayant les moyens de prendre l'avion, a dit Sam Samaddar, vice-président du CAC et directeur de l'aéroport international de Kelowna. En haussant à 49 % la limite de propriété par des intérêts étrangers, nous serons en mesure de faire des choix plus concurrentiels pour les voyageurs aériens canadiens. »
À propos des aéroports du Canada et du Conseil des aéroports du Canada
Les principaux aéroports canadiens sont des sociétés sans capital-actions n'ayant aucune affiliation avec le gouvernement. Ils sont exploités sous forme d'organismes sans but lucratif, au bénéfice de leur communauté et des usagers des aéroports.
Le Conseil des aéroports du Canada (CAC), une division de l'Airports Council International-North America, est la voix nationale des aéroports du Canada. Ses 50 membres regroupent plus de 100 aéroports, y compris tous les aéroports privés du Réseau national des aéroports (RNA) de même que la plupart des aéroports municipaux d'importance partout au Canada.
SOURCE Conseil des aéroports du Canada
Le CAC, une association professionnelle représentant la communauté aéroportuaire canadienne, a aussi salué l'engagement d'établir des standards de qualité en matière de services concurrentiels à l'échelle du globe, et de redéfinir le modèle de financement pour le contrôle de la sécurité dans les aéroports tel qu'assuré par l'ACSTA, une société d'État fédérale.
« Le contrôle de la sécurité demeure certes une grande priorité pour les voyageurs, a indiqué Howard Eng, président du conseil du CAC et président-directeur général de la Greater Toronto Airports Authority. Or, si l'ACSTA joue un rôle essentiel dans les efforts afin d'assurer la sécurité du transport aérien, nos passagers se disent tout de même préoccupés par les longs délais d'attente au Canada, comparativement à d'autres aéroports internationaux. Nous sommes donc heureux que le ministre ait réagi à une telle situation, et nous encourageons le gouvernement à agir rapidement afin de réduire les délais d'attente aux postes de contrôle, afin d'assurer que le Canada demeure concurrentiel sur l'échiquier mondial. »
La nécessité de revoir le financement et le processus de contrôle de la sécurité des passagers demeure une priorité pour la communauté aéroportuaire canadienne, afin que l'on puisse être en mesure de mieux gérer un volume sans cesse croissant de passagers - une hausse qui atteint 8 % dans certains aéroports. Alors que les passagers aériens canadiens défraient les coûts du contrôle de leur sécurité par l'entremise du droit pour la sécurité des passagers du transport aérien imposé sur le prix du billet, l'ACSTA ne reçoit qu'une portion de ce montant, établie en fonction des budgets fédéraux annuels. À l'heure actuelle, il n'existe aucune norme de qualité en termes de services, et les passagers peuvent se voir imposer des délais d'attente de plus d'une heure en période de pointe dans les principaux aéroports.
« Nos collègues à l'ACSTA jouent un rôle difficile mais crucial dans les aéroports canadiens, a pour sa part souligné Daniel-Robert Gooch, président du CAC. En constatant des délais d'attente de plus en plus longs depuis les cinq dernières années et un volume de passagers appelé à croître de plus en plus au cours de la prochaine décennie, notre industrie est plus convaincue que jamais de la nécessité d'apporter une solution à cet aspect fort important de l'expérience des passagers. Nous anticipons avec plaisir l'occasion de faire équipe avec le ministre Garneau et ses fonctionnaires au cours des prochaines semaines et des prochains mois, afin d'identifier des solutions permanentes pour répondre efficacement à une demande croissante pour tous les services essentiels offerts par l'ACSTA dans les aéroports canadiens. »
Les aéroports du Canada, de même que les principaux transporteurs aériens, ont soumis au ministre Garneau des recommandations en matière de services qui feraient en sorte que le contrôle de sécurité pour quelque 95 % des passagers dans les huit principaux aéroports au pays s'effectue en moins de dix minutes. Le processus serait encore plus rapide pour les passagers en correspondance, qui se verraient imposer une attente maximale de vingt minutes.
Mesures additionnelles et plus concurrentielles pour les voyageurs aériens
D'autres mesures bénéficiant les voyageurs aériens ont aussi été annoncées aujourd'hui, incluant une hausse de la proportion des compagnies aériennes pouvant être détenue par des intérêts étrangers afin de rendre ces dernières davantage concurrentielles. Ainsi, cette proportion grimpera à 49 %, tel qu'il fut recommandé dans un rapport déposé au parlement plus tôt cette année, dans le cadre de l'examen de La loi sur les transports au Canada.
« Le fait de permettre à notre secteur du transport aérien d'être plus concurrentiel se traduira par un coût moins élevé du billet et un plus grand nombre de gens ayant les moyens de prendre l'avion, a dit Sam Samaddar, vice-président du CAC et directeur de l'aéroport international de Kelowna. En haussant à 49 % la limite de propriété par des intérêts étrangers, nous serons en mesure de faire des choix plus concurrentiels pour les voyageurs aériens canadiens. »
À propos des aéroports du Canada et du Conseil des aéroports du Canada
Les principaux aéroports canadiens sont des sociétés sans capital-actions n'ayant aucune affiliation avec le gouvernement. Ils sont exploités sous forme d'organismes sans but lucratif, au bénéfice de leur communauté et des usagers des aéroports.
Le Conseil des aéroports du Canada (CAC), une division de l'Airports Council International-North America, est la voix nationale des aéroports du Canada. Ses 50 membres regroupent plus de 100 aéroports, y compris tous les aéroports privés du Réseau national des aéroports (RNA) de même que la plupart des aéroports municipaux d'importance partout au Canada.
SOURCE Conseil des aéroports du Canada