Communiqué de la THIA
À l'approche des vacances du mois de mars, l'Association canadienne de l'assurance voyage (THIA) encourage les parents à veiller à ce que les enfants voyageant avec leur famille ainsi que les jeunes étudiants s'apprêtant à passer leurs vacances au soleil de façon indépendante soient convenablement couverts en cas d'urgences médicales inattendues en dehors du pays.
Une glissade sur un plongeoir, une piqure de méduse, un excès d'aliments inconnus ou une fièvre soudaine suffisent à transformer le besoin en traitement médical d'urgence en une réalité immédiate - des évènements assez difficiles à confronter à l'intérieur de nos frontières, mais beaucoup plus compliqués dans un pays étranger.
« Que les accidents ou urgences médicales se produisent aux États-Unis, au Mexique, dans les Caraïbes ou ailleurs, ils peuvent générer des milliers de dollars en frais de chambres d'hôpital ou de salle d'urgence qui ne sont pas couverts par l'assurance santé provinciale », a déclaré David Hartman, président de la THIA.
M. Hartman a signalé que plus de 80 % des Canadiens âgés de 55 et plus achètent une assurance privée lorsqu'ils voyagent en dehors du pays*, une enquête réalisée en 2011 par Ipsos-Reid pour RBC a démontré que près de la moitié (44 %) des Canadiens âgés de 18 à 34 ans affirment n'acheter que « rarement » ou « jamais » une assurance voyage lorsqu'ils voyagent aux États-Unis, et plus de 34 % pensent ne pas en avoir besoin aux États-Unis car leur assurance santé provinciale couvre tous leurs frais médicaux.
« C'est une grande erreur », a expliqué M. Hartman. « Une journée à l'hôpital peut facilement coûter plus de 10 000 $, mais la plupart des provinces paient moins de 10 % de ce montant, laissant les jeunes, qui ont tendance à être plus actifs et plus susceptibles d'être victimes d'accidents et d'urgences médicales inattendues dans des environnements non familiers, dans une position de risque extrêmement élevé. »
Par conséquent, la THIA appelle les parents à s'assurer de couvrir non seulement les enfants qui voyagent avec eux en vacances, mais aussi leurs enfants qui sont étudiants et voyagent seuls, même s'ils doivent payer eux-mêmes leur assurance. Assurer un adolescent ou un étudiant universitaire en bonne santé est relativement peu coûteux et cela peut protéger l'étudiant et le reste de sa famille de se retrouver avec des frais médicaux, de transport ou de rapatriement potentiellement ingérables.
Le coût d'une ambulance aérienne pour rapatrier un patient de la Floride ou du Texas méridional à un hôpital au Canada peut dépasser 25 000 $ - et même plus du Mexique ou des Caraïbes. L'assurance voyage privée couvre généralement ces frais de rapatriement lorsqu'ils sont médicalement nécessaires, mais pas l'assurance santé provinciale. En outre, de nombreux régimes d'assurance couvrent également les frais associés au voyage d'un membre de la famille jusqu'au chevet du patient si cela se justifie, même si la plupart des couvertures incluent des restrictions sur les activités à haut risque telles que la plongée sous-marine, le saut à l'élastique ou l'escalade.
« Les vacances devraient permettre aux familles de ne pas s'imposer de multiples préoccupations, mais cela ne veut pas dire qu'elles peuvent ignorer la possibilité que, sans une protection d'assurance adéquate, des coûts médicaux engendrés à l'étranger peuvent non seulement gâcher leurs vacances, mais également menacer la sécurité financière de toute une vie », a conclu M. Hartman.
*Note de bas de page. Conference Board du Canada.
(source:communiqué de la THIA)
Une glissade sur un plongeoir, une piqure de méduse, un excès d'aliments inconnus ou une fièvre soudaine suffisent à transformer le besoin en traitement médical d'urgence en une réalité immédiate - des évènements assez difficiles à confronter à l'intérieur de nos frontières, mais beaucoup plus compliqués dans un pays étranger.
« Que les accidents ou urgences médicales se produisent aux États-Unis, au Mexique, dans les Caraïbes ou ailleurs, ils peuvent générer des milliers de dollars en frais de chambres d'hôpital ou de salle d'urgence qui ne sont pas couverts par l'assurance santé provinciale », a déclaré David Hartman, président de la THIA.
M. Hartman a signalé que plus de 80 % des Canadiens âgés de 55 et plus achètent une assurance privée lorsqu'ils voyagent en dehors du pays*, une enquête réalisée en 2011 par Ipsos-Reid pour RBC a démontré que près de la moitié (44 %) des Canadiens âgés de 18 à 34 ans affirment n'acheter que « rarement » ou « jamais » une assurance voyage lorsqu'ils voyagent aux États-Unis, et plus de 34 % pensent ne pas en avoir besoin aux États-Unis car leur assurance santé provinciale couvre tous leurs frais médicaux.
« C'est une grande erreur », a expliqué M. Hartman. « Une journée à l'hôpital peut facilement coûter plus de 10 000 $, mais la plupart des provinces paient moins de 10 % de ce montant, laissant les jeunes, qui ont tendance à être plus actifs et plus susceptibles d'être victimes d'accidents et d'urgences médicales inattendues dans des environnements non familiers, dans une position de risque extrêmement élevé. »
Par conséquent, la THIA appelle les parents à s'assurer de couvrir non seulement les enfants qui voyagent avec eux en vacances, mais aussi leurs enfants qui sont étudiants et voyagent seuls, même s'ils doivent payer eux-mêmes leur assurance. Assurer un adolescent ou un étudiant universitaire en bonne santé est relativement peu coûteux et cela peut protéger l'étudiant et le reste de sa famille de se retrouver avec des frais médicaux, de transport ou de rapatriement potentiellement ingérables.
Le coût d'une ambulance aérienne pour rapatrier un patient de la Floride ou du Texas méridional à un hôpital au Canada peut dépasser 25 000 $ - et même plus du Mexique ou des Caraïbes. L'assurance voyage privée couvre généralement ces frais de rapatriement lorsqu'ils sont médicalement nécessaires, mais pas l'assurance santé provinciale. En outre, de nombreux régimes d'assurance couvrent également les frais associés au voyage d'un membre de la famille jusqu'au chevet du patient si cela se justifie, même si la plupart des couvertures incluent des restrictions sur les activités à haut risque telles que la plongée sous-marine, le saut à l'élastique ou l'escalade.
« Les vacances devraient permettre aux familles de ne pas s'imposer de multiples préoccupations, mais cela ne veut pas dire qu'elles peuvent ignorer la possibilité que, sans une protection d'assurance adéquate, des coûts médicaux engendrés à l'étranger peuvent non seulement gâcher leurs vacances, mais également menacer la sécurité financière de toute une vie », a conclu M. Hartman.
*Note de bas de page. Conference Board du Canada.
(source:communiqué de la THIA)