Des représentants des gouvernements de 12 pays d'Amérique latine (Argentine, Brésil, Mexique, Pérou, Chili, Panama, Guatemala, Équateur, la République Dominicaine, Colombie, Uruguay et Venezuela) se sont retrouvés à Buenos Aires en Argentine afin de soutenir la poursuite du moratoire sur la chasse à la baleine.
Cette réunion qui s'est tenue quelques semaines après le départ de la flotte japonaise de baleiniers « scientifiques » prévoyant de chasser presque 1000 petits rorquals et rorquals communs, montre clairement l'authentique inquiétude de l'Amérique latine. Elle s'inscrit dans le processus initié en novembre 2005 par la Déclaration de Buenos Aires, dans laquelle 13 pays d'Amérique latine et de l'hémisphère Sud, rejoints par l'Espagne, condamnaient la chasse « scientifique » à la baleine et soutenaient la poursuite du moratoire.
Tous les participants ont convenu que l'utilisation non létale des cétacés est un engagement permanent de l'Amérique latine. Les participants ont particulièrement insisté sur l'importance du maintien en vigueur du moratoire sur la chasse à la baleine et de l'adoption des sanctuaires des mers australes et du Pacifique Sud.
Le tourisme lié à l'observation des baleines a été l'un des principaux thèmes de la réunion. Tous les gouvernements présents sont convenus que l'observation des baleines devrait être soutenue et encouragée dans tous les pays d'Amérique latine, car sa mise en oeuvre responsable encourage la croissance économique ainsi que le développement social et culturel dans les communautés locales. Elle offre également des avantages éducatifs et scientifiques, tout en contribuant à la conservation des populations de cétacés.
M. Rodrigo García Píngaro, directeur de l'Organisation uruguayenne pour la conservation des cétacés a déclaré : « Il ne fait aucun doute que le tourisme de l'observation des baleines, lorsqu'il est bien géré, rapporte nettement plus de bénéfices que la chasse à la baleine. »
La consolidation d'un bloc régional latino-américain a une importance stratégique pour pouvoir contrebalancer les efforts des quelques pays qui veulent actuellement relancer la chasse commerciale à la baleine. Cette réunion représente un grand pas en avant vers l'adoption d'une position commune pour la prochaine réunion annuelle de la CBI qui se tiendra en Alaska en mai prochain.
Cette réunion qui s'est tenue quelques semaines après le départ de la flotte japonaise de baleiniers « scientifiques » prévoyant de chasser presque 1000 petits rorquals et rorquals communs, montre clairement l'authentique inquiétude de l'Amérique latine. Elle s'inscrit dans le processus initié en novembre 2005 par la Déclaration de Buenos Aires, dans laquelle 13 pays d'Amérique latine et de l'hémisphère Sud, rejoints par l'Espagne, condamnaient la chasse « scientifique » à la baleine et soutenaient la poursuite du moratoire.
Tous les participants ont convenu que l'utilisation non létale des cétacés est un engagement permanent de l'Amérique latine. Les participants ont particulièrement insisté sur l'importance du maintien en vigueur du moratoire sur la chasse à la baleine et de l'adoption des sanctuaires des mers australes et du Pacifique Sud.
Le tourisme lié à l'observation des baleines a été l'un des principaux thèmes de la réunion. Tous les gouvernements présents sont convenus que l'observation des baleines devrait être soutenue et encouragée dans tous les pays d'Amérique latine, car sa mise en oeuvre responsable encourage la croissance économique ainsi que le développement social et culturel dans les communautés locales. Elle offre également des avantages éducatifs et scientifiques, tout en contribuant à la conservation des populations de cétacés.
M. Rodrigo García Píngaro, directeur de l'Organisation uruguayenne pour la conservation des cétacés a déclaré : « Il ne fait aucun doute que le tourisme de l'observation des baleines, lorsqu'il est bien géré, rapporte nettement plus de bénéfices que la chasse à la baleine. »
La consolidation d'un bloc régional latino-américain a une importance stratégique pour pouvoir contrebalancer les efforts des quelques pays qui veulent actuellement relancer la chasse commerciale à la baleine. Cette réunion représente un grand pas en avant vers l'adoption d'une position commune pour la prochaine réunion annuelle de la CBI qui se tiendra en Alaska en mai prochain.