Les professionnels turcs du tourisme, faisaient preuve lundi d'un optimisme à toute épreuve pour convaincre les vacanciers étrangers de ne pas déserter le pays frappé par la grippe aviaire, rapporte le journal Tageblatt. "Il n'y a pas de raison de s'inquiéter, la situation actuelle en Turquie n'est absolument pas en mesure d'affecter le tourisme", a assuré à l'AFP Basaran Ulusoy, président de l'Union des agences de voyages de Turquie (Türsab).
En dépit des conseils de la Russie et du Royaume-Uni à leurs ressortissants d'éviter de se rendre en Turquie, M. Ulusoy a affirmé ne pas avoir "constaté jusqu'à présent de réactions négatives des touristes".
En Belgique où la Turquie est la destination vacance préférée, le journal Het Laatste Nieews rapporte toutefois ce matin que les agences de voyage et les tour-opérateurs flamands ont enregistré une baisse de 20 à 50 pc des réservations vers la Turquie. De nombreux touristes se rabattent en effet sur l'Espagne ou la Grèce, par crainte d'une extension de la grippe aviaire. Un tour-opérateur propose même une "garantie grippe aviaire" à ses clients: si la situation se dégrade en Turquie, la destination du voyage peut être modifiée sans frais supplémentaires.
Les réservations auraient baissé de 20 à 50 pc selon les agences de voyages indépendantes contactées par le quotidien flamand. Les gros tour-opérateurs sont plus prudents en ce qui concerne des données chiffrées mais ils confirment la tendance. Les journaux du groupe Sud Presse indiquent quant à eux que la Turquie constitue encore le premier choix des touristes belges, ajoutant même que pour l'été, les réservations, commencées il y a une dizaine de jours, n'ont connu aucun fléchissement ces derniers jours.
Rappelons que le ministère des affaires étrangères du Canada n'a pas émis d'avertissement
pour la Turquie, mais recommande de consulter un professionnel de la santé avant de se rendre dans les régions du monde exposées au virus de la grippe aviaire.
En dépit des conseils de la Russie et du Royaume-Uni à leurs ressortissants d'éviter de se rendre en Turquie, M. Ulusoy a affirmé ne pas avoir "constaté jusqu'à présent de réactions négatives des touristes".
En Belgique où la Turquie est la destination vacance préférée, le journal Het Laatste Nieews rapporte toutefois ce matin que les agences de voyage et les tour-opérateurs flamands ont enregistré une baisse de 20 à 50 pc des réservations vers la Turquie. De nombreux touristes se rabattent en effet sur l'Espagne ou la Grèce, par crainte d'une extension de la grippe aviaire. Un tour-opérateur propose même une "garantie grippe aviaire" à ses clients: si la situation se dégrade en Turquie, la destination du voyage peut être modifiée sans frais supplémentaires.
Les réservations auraient baissé de 20 à 50 pc selon les agences de voyages indépendantes contactées par le quotidien flamand. Les gros tour-opérateurs sont plus prudents en ce qui concerne des données chiffrées mais ils confirment la tendance. Les journaux du groupe Sud Presse indiquent quant à eux que la Turquie constitue encore le premier choix des touristes belges, ajoutant même que pour l'été, les réservations, commencées il y a une dizaine de jours, n'ont connu aucun fléchissement ces derniers jours.
Rappelons que le ministère des affaires étrangères du Canada n'a pas émis d'avertissement
pour la Turquie, mais recommande de consulter un professionnel de la santé avant de se rendre dans les régions du monde exposées au virus de la grippe aviaire.