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Mexico : un beau gros fruit mûr à savourer sans plus tarder - reportage



L'Airbus A 318 de Mexicana (crédit photo Flickr)
L'Airbus A 318 de Mexicana (crédit photo Flickr)
Par Jean-Pierre Kerten ----- Mexicana Airlines conviait, cette année encore, une douzaine de professionnels du voyages québécois aux '' Fiestas Patrias'' qui se tiennent à Mexico dans le cadre de la fête nationale du Mexique, célébrée le 16 septembre. L'idée de partager l'allégresse qui s'empare alors de la ville, avec des professionnels de l'industrie venus des quatre coins de l'Amérique, remonte à il y a 25 ans. C'est devenu une tradition.

Jose Osorio, responsable de Mexicana Airlines au Québec
Jose Osorio, responsable de Mexicana Airlines au Québec
Mexicana nous emmène à Mexico à bord d'un Airbus A318, (le ''Baby Airbus'') qui compte 88 sièges en classe économique et 12 en classe affaire. Un appareil très confortable. '' C'est le seul modèle de notre flotte d'Airbus capable de franchir la distance entre Montréal et Mexico en vol direct et à pleine capacité'', nous explique José Osorio, responsable de Mexicana au Québec. Un vol de 5 heures et 40 minutes durant lequel un repas chaud et le bar ouvert sont offerts gratuitement. Rappelons ici que le service Montréal - Mexico a pris de l'ampleur en juillet dernier avec l'ajout de 4 fréquences hebdomadaires portant désormais le total des vols offerts par le transporteur à 11 par semaine.
(voir l'entrevue de Jose Osorio dans notre video-souvenir)

Mexico : un beau gros fruit mûr à savourer sans plus tarder - reportage
Joaquim Da Silva (Voyages Confort), Anne-Marie Santos (Express Voyage),Patricia Perez (Canandes), Louis Raymond (Club Voyage Berri), Jose Osorio ( Mexicana), Marleny Salazar (Breakaway Tours), Leo Faustini ( Voyages Solex), Lisseth Fortin(Voyage Airport2000),Ignacio (notre guide), Charles Richer (Voyages Professionnels), Mercedes Becerra (Voyages Mercedes), Marie Star (Voyages Syd Star Travel). Absent de la photo: Jean-Pierre Caron (Incursion Voyages)

Un éducotour VIP

Laissez passer les agents de voyages !
Laissez passer les agents de voyages !
Cette année encore, le Secrétariat du tourisme de la ville de Mexico, hôte de l'évènement, avait mis les petits plats dans les grands tout en assurant une logistique sans faille. Logement en hôtel 5 étoiles (Hôtel Crown Plaza pour nous) , excursions captivantes, repas somptueux et bien arrosés et bon carnet d'adresse pour les célébrations nocturnes (Notamment le Club Mambo sur l'avenue Insurgentes).

Déplacer simultanément plus de 400 invités, modérément disciplinés et répartis dans une douzaine d'hôtels, et les ballader aux quatre coins d'une mégapole de plus de 22 millions d'habitants, où plus de 4 millions de véhicules se disputent le bitum, relève de l'exploit. Surtout si l'on tient absolument à ce que tout ce beau monde prenne place à la table en même temps pour l'apéritif. Les autorités, disons-le, mettaient à notre disposition une escorte policière motorisée qui n'hésitera pas à bloquer le traffic sur les grandes artères pour nous ouvrir le chemin ! Preuve irréfutable en tous cas que la ville de Mexico tient les agents de voyages en haute estime! Cela dit, l'équipe de Tourisme Mexico fait du même coup une démonstration convaincante, si besoin était, de son aptitude à servir la clientèle des congrès avec efficacité et avec panache.

Le lobby de l'hôtel Crown Plaza Mexico
Le lobby de l'hôtel Crown Plaza Mexico
Une grande capitale propre et élégante

Et cela ne devrait surprendre personne. Sauf ceux qui imaginent encore Mexico comme un vaste chantier où l'anarchie, la violence et la saleté règneraient en maître. Un mythe qui ne tient pas la route et qui, malheureusement, tarde encore à se dissiper. Tout comme la pollution atmosphérique qui, vu l'altitude (2,700 mètres) et la quantité de véhicules en circulation, peut devenir pour certains, un réel problème. Mais un problème qui est commun à toutes les aires urbaines de cette taille et de cette densité à travers le monde.


Le Paseo de la Reforma (crédit photo : ville de Mexico)
Le Paseo de la Reforma (crédit photo : ville de Mexico)
Préoccupées par la situation, les autorités ne baissent pas les bras et adoptent au fil des ans des mesures atténuantes. Comme l'interdiction de rouler imposée sporadiquement en fonction de votre numéro de plaque d'immatriculation lorsque la concentration d'ozone est trop élevée. Les transports publiques, autobus et métro (260 km de réseau), se développent en continu, contribuant ainsi à une amélioration globale de la situation.

Reste que les visiteurs aux bronches délicates ont intérêt à fréquenter l'endroit durant la saison des pluies (de juin à septembre), durant laquelle l'air se renouvelle nettement mieux et la chaleur est moins accablante qu'au printemps.

Au chapitre de la propreté dans le centre ville, Mexico pourrait se permettre de nous faire la leçon. Madame Blancheville serait contente...

Question look, question élégance, Mexico n'a pas grand chose à envier à ses rivales du même calibre que sont New York, Tokyo, Londres ou Paris. Rappelons qu'en 1985, un terrible tremblement de terre avait détruit une partie du centre ville. Une tragédie qui a coûté la vie à 90,000 personnes. Des immeubles modernes, souvent futuristes, ont pris racine sur les ruines des 3,500 édifices détruits ou sérieusement endommagés par le séisme.

Le World trade Center de Mexico
Le World trade Center de Mexico
De grandes sections de la ville sont donc aujourd'hui résolument modernes. Et puis les larges avenues, plantées d'arbres et festonnées de magnifiques monuments à saveur patriotique, témoignent du prestige passé et présent de cette capitale qui fait la fierté de 107 millions de Mexicains. Le Paseo De La Reforma, par exemple, n'a rien à envier aux Champs Élysée de Paris. Quant aux parcs publics, s'ils sont relativement peu nombreux mais ils sont vastes, pleins d'objets d'arts intéressants et manucurés avec grand soin.

Une population motivée

Bien sûr, il y a de la pauvreté à Mexico. L'écart entre les riches et les démunis y est plus prononcé que par chez nous. Mais les gens semblent prêts à tout pour s'en sortir. Comme cet homme d'un certain âge que nous apercevrons, posté à un feu de circulation et qui, le bidon d'essence à la main, en échange de quelques pesos, se fera cracheur de feu le temps que la lumière passe au rouge. Tout n'est pas rose à Mexico, certes. Mais les gens ne semblent pas abattus. Ils sont fiers, ils ont de la dignité et quand cela ne fait pas leur affaire, ils n'hésitent pas à descendre dans la rue par centaines de milliers pour se faire entendre et réclamer des droits. C'est une ville en mouvement .

Suivez le guide...

Notre guide Ignacio à l'oeuvre (chemise blanche à droite)
Notre guide Ignacio à l'oeuvre (chemise blanche à droite)
Comme expérience touristique, la découverte de Mexico n'a évidemment rien à voir avec un séjour dans une station balnéaire comme Cancun, construite de toute pièce par la volonté du gouvernement afin de récolter les dividendes du tourisme de masse et aussi pour procurer de l'emploi à des populations rurales apauvries. Les Mexicains réussissent fort bien dans le créneau du balnéaire. Et cela, pour notre plus grand bonheur. Mais si elle est moins connue, l'expertise des Mexicains en matière de tourisme urbain vaut ,elle aussi, son pesant d'or.

Elle s'exprime notamment par la voix de ses guides, véritables encyclopédies mobiles, capables de moduler leur discours en fonction des circonstances. Toujours prêts à sacrifier une partie de leur fierté et de leur enthousiasme débordant pour assurer la fluidité de la visite. Notre horaire chargé dictait malheureusement le pas de charge. Mais c'est manquer le meilleur que de ne pas se donner le temps de visiter la ville tranquillement, à son aise, avec l'un de ces merveilleux conteurs. L'histoire du Mexique est longue et complexe et elle est jalonnée de tant d'exploits, de tragédies et de méfaits à se faire raconter.

La place du Zocalo
La place du Zocalo
Des pierres qui racontent des histoires

Heuseusement, si l'on est pressé comme nous l'étions, l'histoire fascinante de Mexico peut aussi se dévoiler sans commentaires et de façon spectaculaire. Car dans les pôles touristiques majeurs, le colonial et le préhispanique se cotoient presque systématiquement avec, en toile de fond, la Mexico moderne.

Place des trois cultures: l'église Santiago
Place des trois cultures: l'église Santiago
D'un seul coup d'oeil, on peut mesurer le chemin parcouru depuis la fondation de la ville (Tenochtitlan) par les Aztèques au 14 ème siècle. Que ce soit au Zocalo, cette immense place (la troisième au monde en superficie) où l'on admire le Palais Présidentiel , la Cathédrale Métropolitaine (la plus grande d'Amérique) et en même temps, en léger retrait, les vestiges du Templo Mayor, coeur de la ville Aztèque avant sa destruction par les Conquérants espagnols.

Ou que ce soit à la Place des Trois Cultures, dernier lieu de la résistance Aztèque où s'impose tel un coq l' Église Santiago, construite à même les matériaux utilisés sur le site par les Aztèques, des siècles auparavant, pour y bâtir un énorme marché.

Mexico : un beau gros fruit mûr à savourer sans plus tarder - reportage
Ici, les Espagnols avaient commencé la construction de l'église avec des angles rappelant ceux des pyramides, question d'amadouer la population et de lui donner le temps d'adopter un nouveau Dieu. Il suffit de constater les angles, de lire les pierres des vestiges du marché Aztèque et puis celles de l'église pour comprendre l'essentiel de l'histoire et surtout... pour y croire.

C’est à cet endroit même qu'en 1521 l’empereur Aztèque Cuauhtémoc et ses 40,000 partisans seront battus puis exécutés par l’espagnol Hernan Cortés, après 80 jours de luttes acharnées. Un évènement qui marque la fin de l’empire Aztèque. Philosophes les Mexicains ont écrit sur une plaque commémorative: "Ni un triomphe, ni une déroute mais la douloureuse naissance d’un pays métissé qui est le Mexique d’aujourd’hui".

Les Aztèques sont partout
Les Aztèques sont partout
Une spiritualité omniprésente

Mais il n'y a pas que les pierres qui parlent à Mexico. Les Aztèques ont été vaincus mais ils sont partout ! Dansant, tambourinant, lançant au ciel des incantations et enrobant d'encens les passants qui ne demandent d'ailleurs pas mieux. Tambours, chants, timbre d'une cloche, claxons d'autobus, rumeurs de Mariachis au loin, on est au coeur d'une ville qui s'exprime bruyamment. Une ville qui crie du haut de ses poummons que son histoire est loin d'être terminée.

Petit crochet par le site de la célèbre Basilique de Notre - Dame de Guadalupe, qui ne cesse de s'enfoncer dans le sol. Des milliers de familles y défilent en ce beau dimanche. D'abord sous la gigantesque statue du pape Jean-Paul 2, véritable idole populaire ici, et puis dans la nouvelle basilique, érigée à côté de l'ancienne. Ici, les Chillangos (habitants de Mexico), viennent, en famille, faire leurs dévotions ( sur un tapis roulant), à Notre dame de Guadalupe, apparue au 16 ème siècle à un artisan Aztèque, converti, du nom de Juan Diego.

Représentation courante de Notre Dame de Guadalupe
Représentation courante de Notre Dame de Guadalupe
Voilà bien le symbole incontestable du catholicisme mexicain, religion que pratique quatre vingt six pourcent de la population. La Vierge détrône Jésus au chapitre des représentations iconographiques. Vous la retrouverez partout au Mexique. Et bien, même là, sur le parvis de la basilique qui lui est consacrée, dans ce haut lieu du catholicisme, les Aztèques font danser sur leur tête leurs plumes chatoyantes et résonner par dessus les cloches leurs tonitruants tambours. Vraiment, cette dualité est persistante. Mais pas étonnante si l'on songe que l'apparition de la Vierge à Juan Diego motiva à l'époque, la conversion presqu'immédiate de 8 millions d'Aztèques.

La démographie galopante des banlieues

Mais sortons un peu de la cité et partons à la découverte d'autres merveilles situées en périphérie. Ça commence mal. Des populations rurales, poussées par l'espoir de lendemains meilleurs, ne peuvent résister à l'appel de la grande ville. Elles s'agglutinent dans la plaine ou s'accrochent aux montagnes, dans des cubes de tôle et de béton, loin du centre ville. C'est l'autre visage de Mexico. Celui des banlieues très pauvres et improvisées. La migration vers la capitale est si importante et si rapide que les autorités n'ont d'autre alternative que d'en prendre régulièrement des photos aériennes pour mettre à jour leurs cartes géographiques. C'est tout dire.

A une heure du centre-ville un site archéologique extraordinaire

À quarante kilomètres à peine de la capitale: le site de Teotihuacan. Deux imposantes pyramides et une série de temples composent un paysage surnaturel. En ce dimanche l'entrée est gratuite. Il y a foule. La couronne de la pyramide du soleil grouille de monde, on fait la queue pour l'ascension.

La pyramide de la lune
La pyramide de la lune

Sur l'allée des morts qui mène à l'autre pyramide, celle de la lune, des dizaines d'artisans proposent le fruit de leur travail. Beaucoup d'insistance, beaucoup de bruit mais pas d'objets de pacotille. Obsidienne, onyx, jade, toiles, étoffes, flûtes.

Ces deux pyramides, délimitent la zone cérémoniale d'une ville qui, à son apogée, au début du premier millénaire, comptait, 250,000 habitants. On ne sait toujours pas avec certitude qui a construit ces pyramides et on vient à peine d'établir qu'elles furent le théâtre de sacrifices humains massifs. La cité fut abandonnée pour des raisons obscures au 9 è siècle, avant d'être habitée à nouveau, des siècles plus tard, notamment par les Aztèques. Selon la légende, les Dieux s'y réunirent pour créer le Soleil et la Lune. On comprend l'ampleur des infrastructures! Le site mérite au minimum une journée d'exploration. Toutefois, même en deux heures, la majesté des lieux laisse une empreinte indélébile. D'autant plus que le nom Teotihuacan se traduit par "la cité où les hommes se transforment en Dieux". De retour dans l'autocar on se prend à regarder ses voisins d'un autre oeil ...

Vos clients en transit à Mexico, vous remercieront de leur avoir suggéré une brève escapade à Teotihuacan !

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Real del Monte. Un '' Pueblo Magico'' plein de surprises

En poussant encore un peu plus loin, dans la campagne, on tombe inévitablement sur des petits trésors comme la ville minière de Real del Monte (également nommée Mineral del Monte). Perchée à la fraîche, dans les montagnes de l'état d'Hidalgo, non loin de la capitale, Pachuca, elle fait partie des '' Pueblos Magicos''. Une appellation contrôlée décernée par les autorités du tourisme du Mexique à des villes qui offrent aux visiteurs une ''expérience magique''. On est surpris d'apprendre que dans le cas de Real del Monte, c'est son influence britannique qui lui a valu le précieux label. Des centaines de personnes originaires des Cornouailles - des Cornish - sont venues y tenter leur chance au 19ème siècle, relançant avec succès l' exploitation des ressources minière - or et argent - délaissées par les Espagnols.

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Du même coup, tout en faisant fortune, ils ont introduit à cet endroit précis la pratique du football (soccer), devenu depuis le sport national des Mexicains qui lui préfèrent le nom de Futbol. Et puis il y a eu les pâtisseries, les '' pastries'', si cruciales à l'heure du '' High Thea''. Elles ont tellement plu aux habitants, qu'encore aujourd'hui, elles constituent la grande spécialité culinaire de la ville sous le nom de ''Pastes''.

On ne compte pas les établissements qui les proposent au menu, souvent avec en prime une vue panoramique sur des montagnes couvertes de pins. Là haut, sous une pinède bien garnie surplombant la ville, reposent d'ailleurs dans leur cimetière, 350 de ces valheureux Cornish.

Autre particularité qui ajoute au charme de Real del Monte: les toits pentus ornés parfois de cheminées. Ils sont partout, généralement de couleur rouge et s'avèrent nous dit-on très utiles lorsque, l'hiver venu, la neige se met à tomber! Vous allez me dire que ça ne vous tente pas d'aller jusqu'au Mexique pour manger anglais et faire du ski de fond. Détrompez - vous. Au delà de cette signature britannique, que la population honore et entretient, Real del Monte est surtout une jolie petite ville de montagne tout ce qu'il y a de plus mexicaine. Il fait bon y flâner. S'assoir sur la placette, en face de l'église, observer le va et viens tranquille de ses habitants en posant les mains sur les tortues en argent qui ornent la petite fontaine...Le calme après la tempête.


Des cow boys raffinés

Retour à Mexico City pour réveiller le Charro (cow boy) qui sommeille en nous. La Charreria, institution incontournable au Mexique, ravira les passionnés de spectacles équestres. Pensez au Stampede de Calgary ou au festival western de St.Tite pour l'ambiance festive et pour l'odeur . Ajoutez à cela un souci prononcé pour l'artistique et l'esthétique. Mettez-y un soupçon de Tequila, quelques succulentes bouchées et la musique des Mariachis. Mélangez le tout et cela donne une Charreada.
Mexico : un beau gros fruit mûr à savourer sans plus tarder - reportage

Charros d'un jour : Jose Osorio de Mexicana et Leo Faustini de Voyages Solex à Montréal
Charros d'un jour : Jose Osorio de Mexicana et Leo Faustini de Voyages Solex à Montréal
Plus qu'un spectacle, c'est une tradition, c'est un sport, avec des règles très précises et qui fait l'objet d'une véritable passion au Mexique. Les beaux habits des Mariachis, que nous connaissons tous, s'inspirent d'ailleurs directement de cette culture Charro, originaire de l'état de Jalisco et qui rayonne jusqu'aux confins du Texas. La Charreada est généralement presentée en arène, comme c'est le cas à Mexico au Rancho del Charro dans le district de Chapultepec. Un spectacle à ne pas manquer.

Nous passerons sur les musées, la gastronomie, le shopping et la vie nocturne. C'est une ville de 22 millions d'habitants...Comme à Tokyo, Londres ou Paris, les choix ne manquent pas.

En somme, la ville de Mexico a vraiment beaucoup à offrir et il y en a pour tous les goûts. Cette petite trempette de 4 jours dans une mégapole aux possibilités infinies nous le rappelle. Elle nous rappelle également que, contrairement aux idées reçues, Mexico est une ville propre et sécuritaire qui réussit à allier histoire, culture et modernisme au coeur d'une offre touristique qui n'est rien d'autre qu'un beau gros fruit mûr, à cueillir et à savourer sans plus tarder.

Plongez dans l'ambiance en visionnant notre petit Vidéo souvenir


Tous les frais de ce voyage, à l'exception des taxes aériennes, ont été défrayés par Mexicana Airlines et par le Secrétariat du tourisme de la ville de Mexico. Jaimonvoyage.ca était logé a l'Hôtel Crown Plaza.

Vendredi 26 Septembre 2008 - 11:05





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