Une ruée des touristes pour visiter les ruines de Machu Picchu, baptisée samedi "merveille du monde" par une fondation privée, mettrait en danger l'ancienne citadelle Inca déja saturée par les quelque 1500 visiteurs quotidiens.
Les scientifiques sont inquièts d'une éventuelle arrivée massive des touristes qui pourraient passer de 18OO par jour à plus de 5.000 selon la ministre péruvienne du commerce et du tourisme.
Pour l'archéologue Luis Lumbreras, ancien responsable de l'Institut National de la culture (INC) cet engouement pour le Machu Picchu après sa désignation comme Merveille du monde, menace la conservation déja précaire de ces ruines.
"Il existe un danger réel de destruction et de détérioration" a affirmé M Lumbreras, cité lundi par le quotidien La Republica.
L'archéologue défend la position de l'UNESCO qui critique la cérémonie de nominations des sept nouvelles Merveilles du Monde et l'utilisation à des fins mercantiles du patrimoine culturel de l'humanité.
La quotidien Peru 21 publie une carte de l'Institut de géologie montrant que dix zones de Machu Picchu "étaient fissurées et que les roches risquaient de s'effondrer si elles n'étaient pas réparées".
"La situation est due aux effets de l'eau et de la gravité" a déclaré le responsable de l'Institut de géologie, Victor Carlotto.
Les scientifiques sont inquièts d'une éventuelle arrivée massive des touristes qui pourraient passer de 18OO par jour à plus de 5.000 selon la ministre péruvienne du commerce et du tourisme.
Pour l'archéologue Luis Lumbreras, ancien responsable de l'Institut National de la culture (INC) cet engouement pour le Machu Picchu après sa désignation comme Merveille du monde, menace la conservation déja précaire de ces ruines.
"Il existe un danger réel de destruction et de détérioration" a affirmé M Lumbreras, cité lundi par le quotidien La Republica.
L'archéologue défend la position de l'UNESCO qui critique la cérémonie de nominations des sept nouvelles Merveilles du Monde et l'utilisation à des fins mercantiles du patrimoine culturel de l'humanité.
La quotidien Peru 21 publie une carte de l'Institut de géologie montrant que dix zones de Machu Picchu "étaient fissurées et que les roches risquaient de s'effondrer si elles n'étaient pas réparées".
"La situation est due aux effets de l'eau et de la gravité" a déclaré le responsable de l'Institut de géologie, Victor Carlotto.