le Secrétaire général de l'OMT, Taleb Rifai.
Assurer des voyages sûrs et fluides, étendre les possibilités offertes par les technologies et accélérer le passage à un tourisme plus durable sont les priorités pour le secteur, telles que les a exposées le Secrétaire général de l'OMT, Taleb Rifai, lors de l'inauguration de la cinquantième édition du salon ITB de Berlin [Berlin (Allemagne), le 8 mars 2016].
Sur la question du tourisme et de la sécurité, M. Rifai a déclaré : « Les défis mondiaux exigent des solutions mondiales et le développement du tourisme dépend dans une large mesure de notre capacité collective à promouvoir la sûreté, la sécurité et la fluidité des voyages. Nous devons coopérer, pas nous isoler. »
M. Rifai a préconisé d'intégrer pleinement le tourisme dans les lignes d'action établies à l'échelon national et international en matière de sécurité. Il a également signalé que « les défis de sécurité qui se posent aujourd'hui ne doivent pas nous conduire à ériger de nouveaux murs » et que « renforcer la sécurité et permettre une plus grande fluidité des voyages devraient toujours aller de pair ».
Au sujet des technologies et de l'innovation, le Secrétaire général de l'OMT a déclaré : « Nous devons comprendre plus précisément l'impact des technologies sur notre secteur et maximiser les nouvelles perspectives qu'elles ouvrent afin d'accroître la compétitivité des destinations, de rendre les voyages plus sûrs et plus faciles et de mieux gérer nos ressources naturelles. »
M. Rifai a invité le secteur du tourisme à souscrire au programme d'action en matière de durabilité, en indiquant que le moment était venu de « redoubler d'efforts pour encourager les politiques et les stratégies commerciales garantissant la contribution du secteur du tourisme aux objectifs de développement durable », avant d'ajouter :
« L'atténuation des changements climatiques, la gestion rationnelle des ressources, la réduction de la pauvreté et la croissance inclusive doivent être au coeur du développement du tourisme. Nous devons expliquer clairement que croissance économique et durabilité n'entrent pas en contradiction. »
Il ne sera possible de faire avancer ces priorités que par une plus grande coopération internationale et des politiques nationales de tourisme transversales. Pour M. Rifai, « La capacité qu'a le tourisme de soutenir efficacement les piliers économique, social et environnemental dans de nombreux pays fait que le secteur doit jouer un plus grand rôle dans le développement national, particulièrement aux plus hauts niveaux de la prise de décision politique ».
M. Rifai a aussi rappelé que malgré une reprise économique lente et inégale à l'échelle mondiale et l'augmentation des défis géopolitiques, des alarmes sanitaires et des problèmes de sécurité, l'année 2015 aura été une nouvelle année record pour le tourisme international.
Les arrivées de touristes internationaux ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 1,2 milliard (1 184 millions), ce qui signifie que, par rapport à 2014, 50 millions de touristes supplémentaires ont voyagé à travers le monde en 2015.
« Pour l'avenir, l'OMT compte que, malgré les plus fortes marges d'incertitude et une instabilité accrue, 2016 sera une nouvelle année de croissance pour notre secteur, dans des proportions estimées à 4 % » a expliqué M. Rifai.
Sur la question du tourisme et de la sécurité, M. Rifai a déclaré : « Les défis mondiaux exigent des solutions mondiales et le développement du tourisme dépend dans une large mesure de notre capacité collective à promouvoir la sûreté, la sécurité et la fluidité des voyages. Nous devons coopérer, pas nous isoler. »
M. Rifai a préconisé d'intégrer pleinement le tourisme dans les lignes d'action établies à l'échelon national et international en matière de sécurité. Il a également signalé que « les défis de sécurité qui se posent aujourd'hui ne doivent pas nous conduire à ériger de nouveaux murs » et que « renforcer la sécurité et permettre une plus grande fluidité des voyages devraient toujours aller de pair ».
Au sujet des technologies et de l'innovation, le Secrétaire général de l'OMT a déclaré : « Nous devons comprendre plus précisément l'impact des technologies sur notre secteur et maximiser les nouvelles perspectives qu'elles ouvrent afin d'accroître la compétitivité des destinations, de rendre les voyages plus sûrs et plus faciles et de mieux gérer nos ressources naturelles. »
M. Rifai a invité le secteur du tourisme à souscrire au programme d'action en matière de durabilité, en indiquant que le moment était venu de « redoubler d'efforts pour encourager les politiques et les stratégies commerciales garantissant la contribution du secteur du tourisme aux objectifs de développement durable », avant d'ajouter :
« L'atténuation des changements climatiques, la gestion rationnelle des ressources, la réduction de la pauvreté et la croissance inclusive doivent être au coeur du développement du tourisme. Nous devons expliquer clairement que croissance économique et durabilité n'entrent pas en contradiction. »
Il ne sera possible de faire avancer ces priorités que par une plus grande coopération internationale et des politiques nationales de tourisme transversales. Pour M. Rifai, « La capacité qu'a le tourisme de soutenir efficacement les piliers économique, social et environnemental dans de nombreux pays fait que le secteur doit jouer un plus grand rôle dans le développement national, particulièrement aux plus hauts niveaux de la prise de décision politique ».
M. Rifai a aussi rappelé que malgré une reprise économique lente et inégale à l'échelle mondiale et l'augmentation des défis géopolitiques, des alarmes sanitaires et des problèmes de sécurité, l'année 2015 aura été une nouvelle année record pour le tourisme international.
Les arrivées de touristes internationaux ont augmenté de 4,4 % pour atteindre 1,2 milliard (1 184 millions), ce qui signifie que, par rapport à 2014, 50 millions de touristes supplémentaires ont voyagé à travers le monde en 2015.
« Pour l'avenir, l'OMT compte que, malgré les plus fortes marges d'incertitude et une instabilité accrue, 2016 sera une nouvelle année de croissance pour notre secteur, dans des proportions estimées à 4 % » a expliqué M. Rifai.