Communiqué de Transat A.T. Inc.
Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat A.T. Inc
Transat A.T. inc., l’une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l’industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 867,3 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 juillet 2010, par rapport à 819,4 millions en 2009, soit une hausse de 48,0 millions de dollars ou 5,9 %. La Société affiche une marge¹ de 53,9 millions de dollars, par rapport à 27,2 millions de dollars en 2009, et un bénéfice net de 20,9 millions de dollars (0,55 $ par action sur une base diluée), par rapport à un bénéfice net de 31,0 millions de dollars (0,94 $ par action sur une base diluée) en 2009. Excluant les éléments hors trésorerie et non liés à l’exploitation, Transat affiche un bénéfice ajusté après impôts³ de 26,8 millions de dollars pour le troisième trimestre 2010 (0,70 $ par action sur une base diluée), par rapport à 7,0 millions (0,21 $ par action sur une base diluée) en 2009.
« Nous sommes satisfaits de ces résultats. Nous avons enregistré une hausse du nombre de voyageurs, de bons taux de remplissage, de même que des hausses de prix sur le marché transatlantique. Le tourisme international se porte bien et la volonté des gens de voyager demeure manifeste » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
Faits saillants du troisième trimestre
Pour le troisième trimestre, les revenus de la Société ont augmenté de 5,9 %, ou 48,0 millions de dollars. La marge¹, exprimée en proportion des revenus, a également augmenté, passant de 3,3 % en 2009 à 6,2 % en 2010. Ces augmentations sont attribuables à la hausse du nombre de voyageurs, aux taux de remplissage plus élevés et à une hausse des prix de vente moyens sur le marché transatlantique. Au départ du Canada vers les destinations soleil, les marges affichent des baisses, les réductions de coûts n’ayant compensé que partiellement les baisses de prix de ventes moyens. Les conditions ont été exigeantes sur le marché français du moyen-courrier, d’où une concurrence intense, le tout entraînant un impact défavorable sur la marge de Look Voyages.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont augmenté de 66,0 millions de dollars (13,8 %) par rapport au trimestre correspondant de 2009. Cette augmentation découle principalement d’une hausse du nombre de voyageurs de 13,3 % et d’une hausse des prix de vente moyens sur le marché transatlantique. Les filiales nord-américaines affichent une marge de 4,9 %, comparativement à 1,1 % en 2009. Cette augmentation résulte également d’une hausse des taux de remplissage.
En comparaison de 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, enregistrent un écart défavorable de 18,0 millions de dollars (5,3 %), dû à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling. Les activités européennes ont affiché une marge de 27,4 millions de dollars, comparativement à 22,0 millions de dollars en 2009. La hausse de la marge résulte principalement de l’augmentation du nombre de voyageurs et des prix chez Canadian Affair, annulée en partie par la baisse de la marge de Look Voyages, en France.
Faits saillants de la période de neuf mois terminée le 31 juillet
Pour les neuf premiers mois, la Société affiche des revenus inférieurs de 105,4 millions de dollars par rapport à ceux de 2009. Cette diminution est attribuable à la saison d’hiver, la vive concurrence ayant alors entraîné de fortes pressions sur les prix de vente pour les destinations soleil, à une baisse de capacité décidée par la Société, et dans une moindre mesure à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien. La marge, exprimée en proportion des revenus, est passée de 2,0 % en 2009 à 1,8 % en 2010. « L’hiver ayant été particulièrement exigeant, on note que ce troisième trimestre nous permet d’afficher une marge cumulative se rapprochant de celle de l’exercice précédent » fait observer Denis Pétrin, chef de la direction financière.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont diminué de 44,1 millions de dollars (2,1 %) comparativement à la même période en 2009. La diminution des revenus tient à une baisse des prix de vente moyens, compensée en partie par une hausse du nombre de voyageurs de 2,7 %. La marge est de 1,7 %, par rapport à 2,1 % en 2009. Cet écart défavorable est attribuable à la saison d’hiver, la concurrence ayant alors amené les prix de vente à la baisse, et Transat n’ayant pu profiter pleinement de la vigueur du dollar par rapport au dollar US à cause de ses opérations de couverture. Les résultats du troisième trimestre ont donc compensé partiellement la réduction enregistrée au cours du premier semestre.
En comparaison de 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont diminué de 61,3 millions de dollars (8,8 %). Cette baisse est attribuable à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar et à la baisse des prix sur les ventes moyen-courriers, compensée en partie par une augmentation du nombre de voyageurs. Cette dernière reflète une hausse des volumes de Canadian Affair et une baisse en France. Les activités européennes ont affiché une marge de 14,0 millions de dollars, comparativement à 12,5 millions de dollars en 2009. La hausse des marges résulte principalement de la hausse du nombre de voyageurs, des prix et des taux de remplissage chez Canadian Affair, annulées en partie par des marges inférieures sur le moyen-courrier en France, les coûts supplémentaires encourus à la suite de l’activité volcanique en Islande et la détérioration de la valeur de la livre sterling et de l’euro vis-à-vis d’autres devises.
Situation financière
Les montants de trésorerie et équivalents de trésorerie non détenus en fiducie s’établissaient à 217,3 millions de dollars au 31 juillet 2010, comparativement à 180,6 millions de dollars au 31 octobre 2009. La dette au bilan s’établissait à 21,1 millions de dollars au 31 juillet 2010, soit 89,8 millions de dollars de moins qu’au 31 octobre 2009.
Perspectives
Sur le marché transatlantique, pour le quatrième trimestre, la capacité de la Société est supérieure d’environ 15 % à celle de l’année précédente. Le taux de remplissage est semblable à celui de 2009 à la même date. les réservations au départ du Canada et de l’Europe sont supérieures. Le revenu moyen par réservation est supérieur à celui de l’été dernier à la même date, une fois converti en dollars canadiens, et ce même si l’euro et la livre sterling ont perdu de la valeur par rapport au dollar canadien.
Sur le marché des destinations soleil au départ du Canada, la capacité est similaire à celle de 2009, les réservations et le taux de remplissage sont légèrement supérieurs. À ce jour, comme ce fut le cas pour l’hiver, les prix de vente demeurent sous fortes pressions, à cause de la vive concurrence.
En France, les ventes moyen-courriers affichent un retard par rapport à 2009 et les marges sont sous très fortes pressions. Les ventes et les prix de vente sur le marché long-courrier sont légèrement supérieurs à ceux de l’été 2009, mais les coûts sont également supérieurs à cause de la faiblesse de l’euro.
Pour le quatrième trimestre, la Société anticipe des revenus supérieurs et une marge nettement supérieure par rapport à 2009, si la tendance se maintient.
Pour la saison d’hiver de 2011, il est trop tôt pour un pronostic, mais les réservations et la capacité sont jusqu’ici supérieures à celles de l’an dernier.
En savoir plus
« Nous sommes satisfaits de ces résultats. Nous avons enregistré une hausse du nombre de voyageurs, de bons taux de remplissage, de même que des hausses de prix sur le marché transatlantique. Le tourisme international se porte bien et la volonté des gens de voyager demeure manifeste » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
Faits saillants du troisième trimestre
Pour le troisième trimestre, les revenus de la Société ont augmenté de 5,9 %, ou 48,0 millions de dollars. La marge¹, exprimée en proportion des revenus, a également augmenté, passant de 3,3 % en 2009 à 6,2 % en 2010. Ces augmentations sont attribuables à la hausse du nombre de voyageurs, aux taux de remplissage plus élevés et à une hausse des prix de vente moyens sur le marché transatlantique. Au départ du Canada vers les destinations soleil, les marges affichent des baisses, les réductions de coûts n’ayant compensé que partiellement les baisses de prix de ventes moyens. Les conditions ont été exigeantes sur le marché français du moyen-courrier, d’où une concurrence intense, le tout entraînant un impact défavorable sur la marge de Look Voyages.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont augmenté de 66,0 millions de dollars (13,8 %) par rapport au trimestre correspondant de 2009. Cette augmentation découle principalement d’une hausse du nombre de voyageurs de 13,3 % et d’une hausse des prix de vente moyens sur le marché transatlantique. Les filiales nord-américaines affichent une marge de 4,9 %, comparativement à 1,1 % en 2009. Cette augmentation résulte également d’une hausse des taux de remplissage.
En comparaison de 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, enregistrent un écart défavorable de 18,0 millions de dollars (5,3 %), dû à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling. Les activités européennes ont affiché une marge de 27,4 millions de dollars, comparativement à 22,0 millions de dollars en 2009. La hausse de la marge résulte principalement de l’augmentation du nombre de voyageurs et des prix chez Canadian Affair, annulée en partie par la baisse de la marge de Look Voyages, en France.
Faits saillants de la période de neuf mois terminée le 31 juillet
Pour les neuf premiers mois, la Société affiche des revenus inférieurs de 105,4 millions de dollars par rapport à ceux de 2009. Cette diminution est attribuable à la saison d’hiver, la vive concurrence ayant alors entraîné de fortes pressions sur les prix de vente pour les destinations soleil, à une baisse de capacité décidée par la Société, et dans une moindre mesure à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien. La marge, exprimée en proportion des revenus, est passée de 2,0 % en 2009 à 1,8 % en 2010. « L’hiver ayant été particulièrement exigeant, on note que ce troisième trimestre nous permet d’afficher une marge cumulative se rapprochant de celle de l’exercice précédent » fait observer Denis Pétrin, chef de la direction financière.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont diminué de 44,1 millions de dollars (2,1 %) comparativement à la même période en 2009. La diminution des revenus tient à une baisse des prix de vente moyens, compensée en partie par une hausse du nombre de voyageurs de 2,7 %. La marge est de 1,7 %, par rapport à 2,1 % en 2009. Cet écart défavorable est attribuable à la saison d’hiver, la concurrence ayant alors amené les prix de vente à la baisse, et Transat n’ayant pu profiter pleinement de la vigueur du dollar par rapport au dollar US à cause de ses opérations de couverture. Les résultats du troisième trimestre ont donc compensé partiellement la réduction enregistrée au cours du premier semestre.
En comparaison de 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont diminué de 61,3 millions de dollars (8,8 %). Cette baisse est attribuable à la faiblesse de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar et à la baisse des prix sur les ventes moyen-courriers, compensée en partie par une augmentation du nombre de voyageurs. Cette dernière reflète une hausse des volumes de Canadian Affair et une baisse en France. Les activités européennes ont affiché une marge de 14,0 millions de dollars, comparativement à 12,5 millions de dollars en 2009. La hausse des marges résulte principalement de la hausse du nombre de voyageurs, des prix et des taux de remplissage chez Canadian Affair, annulées en partie par des marges inférieures sur le moyen-courrier en France, les coûts supplémentaires encourus à la suite de l’activité volcanique en Islande et la détérioration de la valeur de la livre sterling et de l’euro vis-à-vis d’autres devises.
Situation financière
Les montants de trésorerie et équivalents de trésorerie non détenus en fiducie s’établissaient à 217,3 millions de dollars au 31 juillet 2010, comparativement à 180,6 millions de dollars au 31 octobre 2009. La dette au bilan s’établissait à 21,1 millions de dollars au 31 juillet 2010, soit 89,8 millions de dollars de moins qu’au 31 octobre 2009.
Perspectives
Sur le marché transatlantique, pour le quatrième trimestre, la capacité de la Société est supérieure d’environ 15 % à celle de l’année précédente. Le taux de remplissage est semblable à celui de 2009 à la même date. les réservations au départ du Canada et de l’Europe sont supérieures. Le revenu moyen par réservation est supérieur à celui de l’été dernier à la même date, une fois converti en dollars canadiens, et ce même si l’euro et la livre sterling ont perdu de la valeur par rapport au dollar canadien.
Sur le marché des destinations soleil au départ du Canada, la capacité est similaire à celle de 2009, les réservations et le taux de remplissage sont légèrement supérieurs. À ce jour, comme ce fut le cas pour l’hiver, les prix de vente demeurent sous fortes pressions, à cause de la vive concurrence.
En France, les ventes moyen-courriers affichent un retard par rapport à 2009 et les marges sont sous très fortes pressions. Les ventes et les prix de vente sur le marché long-courrier sont légèrement supérieurs à ceux de l’été 2009, mais les coûts sont également supérieurs à cause de la faiblesse de l’euro.
Pour le quatrième trimestre, la Société anticipe des revenus supérieurs et une marge nettement supérieure par rapport à 2009, si la tendance se maintient.
Pour la saison d’hiver de 2011, il est trop tôt pour un pronostic, mais les réservations et la capacité sont jusqu’ici supérieures à celles de l’an dernier.
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