Communiqué de Transat A.T. Inc.
Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat A.T. Inc.
• Revenus de 847,2 millions de dollars, par rapport à 805,7 millions en 2013.
• Perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions de dollars, par rapport à 21,0 millions en 2013, malgré que la baisse du dollar canadien, à elle seule, a entraîné une augmentation des coûts d'exploitation de 14 millions de dollars.
• Perte ajustée après impôts3 de 23,3 millions de dollars, par rapport à 21,6 millions en 2013.
• Perte nette de 25,6 millions de dollars, par rapport à 15,1 millions en 2013, l'écart étant principalement attribuable à la comptabilisation des écarts liés à la couverture du carburant.
Transat A.T. inc., l'une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l'industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 847,2 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 janvier 2014, par rapport à 805,7 millions en 2013, en hausse de 41,5 millions de dollars ou 5,2 %. La Société affiche une perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions de dollars par rapport à 21,0 millions en 2013, et une perte nette de 25,6 millions de dollars (0,67 $ par action sur une base diluée), par rapport à une perte nette de 15,1 millions (0,39 $ par action sur une base diluée) en 2013. La baisse du dollar canadien entraîne à elle seule une augmentation des coûts d'exploitation de 14 millions de dollars. Excluant les éléments non liés à l'exploitation, Transat affiche une perte ajustée après impôts3 de 23,3 millions de dollars en 2014 (0,60 $ par action sur une base diluée), par rapport à 21,6 millions (0,56 $ par action sur une base diluée) en 2013.
« Une partie substantielle de la perte du trimestre est attribuable à la baisse récente et rapide du dollar canadien, qui a entraîné une augmentation importante de nos charges opérationnelles, et qui n'a pu être éliminée qu'en partie par la hausse des prix de vente et par notre programme de couverture. Cette dynamique, à elle seule, nous empêche d'afficher une amélioration par rapport à l'an dernier, pour le trimestre et pour l'hiver » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction. « Cependant, notre plan de réduction des coûts et d'amélioration de la marge, y compris l'internalisation des petits porteurs, se déploie comme prévu et donne les résultats escomptés, et nous maintenons le cap » a-t-il ajouté.
Faits saillants du premier trimestre
La Société a enregistré des revenus de 847,2 millions $, comparativement à 805,7 millions $ en 2013, et une perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions $, par rapport à 21,0 millions $ en 2013. La hausse des revenus est principalement attribuable à l'augmentation des prix de vente moyens et à l'appréciation de l'euro et de la livre par rapport au dollar canadien. La perte d'exploitation avant amortissement s'est creusée principalement à cause de la dépréciation récente et rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont augmenté de 31,5 millions $ (4,6 %) comparativement à la même période en 2013. L'augmentation des revenus découle de la hausse des prix de vente moyens, alors que le nombre de voyageurs diminuait de 0,8 %. Les activités nord-américaines se sont soldées par une perte d'exploitation de 25,0 millions $, comparativement à une perte d'exploitation de 16,3 millions $ en 2013. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la dépréciation récente et rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain, qui a résulté en une augmentation des charges opérationnelles. L'augmentation des prix de vente et les efforts de réduction de coûts n'ont pas été suffisants pour compenser l'effet des augmentations des coûts.
En comparaison de 2013, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont augmenté de 10,0 millions $ (8,7 %), en raison de la vigueur de l'euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien. En devises locales, les revenus des sociétés européennes étaient en baisse, à la suite de la décision de la Société de réduire la capacité. Les activités européennes se sont soldées par une perte d'exploitation avant amortissement1 de 8,6 millions $, comparativement à une perte d'exploitation avant amortissement de 13,7 millions en 2013.
Situation financière
Au 31 janvier 2014, l'encaisse s'établissait à 359,6 millions $, par rapport à 247,9 millions à pareille date en 2013. Le ratio de fonds de roulement était de 1,07, par rapport à 1,02, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s'établissaient à 621,6 millions $, par rapport à 592,0 millions $ à pareille date l'année dernière. Les ententes hors bilan représentaient 657,0 millions $ au 31 janvier 2014, par rapport à 655,8 millions $ au 31 octobre 20134, la hausse découlant de la dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain, compensée par les paiements effectués au cours des douze derniers mois.
Perspectives pour le second trimestre
Sur le marché des destinations soleil, la capacité de Transat est inférieure d'environ 2 % à celle offerte l'an passé. À ce jour, 70 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation sont inférieurs de 2 % et les prix de vente sont supérieurs de 4 % à ceux enregistrés à pareille date l'année dernière.
En France, où l'hiver représente la basse saison, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations moyen-courriers sont supérieures de 16%, les réservations long-courriers sont inférieures de 4 % et les prix de vente sont semblables.
Sur le marché transatlantique, où c'est la basse saison, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle déployée l'hiver dernier. À ce jour, 67 % de cette capacité est vendue, les taux d'occupation sont inférieurs de 5 % et les prix de vente sont supérieurs de 2 %.
Perspectives pour l'hiver - Le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une partie substantielle de l'activité de Transat durant la saison d'hiver, et sur ce marché les marges sont particulièrement minces et volatiles. Compte tenu de la baisse rapide et récente du dollar canadien, la Société prévoit que les résultats du deuxième trimestre seront inférieurs à ceux du trimestre correspondant de l'hiver dernier.
Baisse du dollar canadien - À elle seule, la baisse du dollar a entraîné sur le marché des destinations soleil une hausse de 2,7 % des charges opérationnelles au premier trimestre, et de 3,4 % au second trimestre pour les réservations réalisées à ce jour. Si le dollar demeure au niveau actuel, la hausse des charges opérationnelles due à la baisse du dollar sur le marché Sud sera de 3,7 % pour l'ensemble du deuxième trimestre, par rapport à l'année dernière.
Été 2014 - Quant à l'été 2014, bien qu'il soit encore tôt pour tirer des conclusions, puisque seulement 27 % des sièges sont vendus, la capacité de Transat sur le marché transatlantique est supérieure de 1 % à celle de 2013. Les taux d'occupation sont similaires et les prix sont en hausse de 5 %. La faiblesse du dollar canadien entraînera une hausse des charges opérationnelles l'été prochain de 6 % si le dollar demeure au niveau actuel en regard du dollar américain, de l'euro et de la livre.
Initiatives de réduction des coûts et d'amélioration de la marge
La Société poursuit l'implantation des initiatives prévues dans son plan de retour à la profitabilité, notamment en matière de réduction des coûts d'exploitation et de modifications à ses systèmes et processus. En avril 2013, la Société a par ailleurs annoncé sa décision d'internaliser des petits porteurs moyen-courriers (Boeing 737-800) au départ du Canada, à compter de mai 2014. Les mesures (réductions de coûts, revenus additionnels et gains de performance) ont eu tel que prévu une contribution favorable sur la marge de 20 millions $ en 2012 et de 15 millions $ additionnels en 2013, et elles devraient générer 20 millions $ additionnels en 2014, de même qu'en 2015, année où l'internalisation des petits porteurs donnera son plein effet.
Informations supplémentaires
• Perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions de dollars, par rapport à 21,0 millions en 2013, malgré que la baisse du dollar canadien, à elle seule, a entraîné une augmentation des coûts d'exploitation de 14 millions de dollars.
• Perte ajustée après impôts3 de 23,3 millions de dollars, par rapport à 21,6 millions en 2013.
• Perte nette de 25,6 millions de dollars, par rapport à 15,1 millions en 2013, l'écart étant principalement attribuable à la comptabilisation des écarts liés à la couverture du carburant.
Transat A.T. inc., l'une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l'industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 847,2 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 janvier 2014, par rapport à 805,7 millions en 2013, en hausse de 41,5 millions de dollars ou 5,2 %. La Société affiche une perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions de dollars par rapport à 21,0 millions en 2013, et une perte nette de 25,6 millions de dollars (0,67 $ par action sur une base diluée), par rapport à une perte nette de 15,1 millions (0,39 $ par action sur une base diluée) en 2013. La baisse du dollar canadien entraîne à elle seule une augmentation des coûts d'exploitation de 14 millions de dollars. Excluant les éléments non liés à l'exploitation, Transat affiche une perte ajustée après impôts3 de 23,3 millions de dollars en 2014 (0,60 $ par action sur une base diluée), par rapport à 21,6 millions (0,56 $ par action sur une base diluée) en 2013.
« Une partie substantielle de la perte du trimestre est attribuable à la baisse récente et rapide du dollar canadien, qui a entraîné une augmentation importante de nos charges opérationnelles, et qui n'a pu être éliminée qu'en partie par la hausse des prix de vente et par notre programme de couverture. Cette dynamique, à elle seule, nous empêche d'afficher une amélioration par rapport à l'an dernier, pour le trimestre et pour l'hiver » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction. « Cependant, notre plan de réduction des coûts et d'amélioration de la marge, y compris l'internalisation des petits porteurs, se déploie comme prévu et donne les résultats escomptés, et nous maintenons le cap » a-t-il ajouté.
Faits saillants du premier trimestre
La Société a enregistré des revenus de 847,2 millions $, comparativement à 805,7 millions $ en 2013, et une perte d'exploitation avant amortissement1 de 23,8 millions $, par rapport à 21,0 millions $ en 2013. La hausse des revenus est principalement attribuable à l'augmentation des prix de vente moyens et à l'appréciation de l'euro et de la livre par rapport au dollar canadien. La perte d'exploitation avant amortissement s'est creusée principalement à cause de la dépréciation récente et rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont augmenté de 31,5 millions $ (4,6 %) comparativement à la même période en 2013. L'augmentation des revenus découle de la hausse des prix de vente moyens, alors que le nombre de voyageurs diminuait de 0,8 %. Les activités nord-américaines se sont soldées par une perte d'exploitation de 25,0 millions $, comparativement à une perte d'exploitation de 16,3 millions $ en 2013. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la dépréciation récente et rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain, qui a résulté en une augmentation des charges opérationnelles. L'augmentation des prix de vente et les efforts de réduction de coûts n'ont pas été suffisants pour compenser l'effet des augmentations des coûts.
En comparaison de 2013, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont augmenté de 10,0 millions $ (8,7 %), en raison de la vigueur de l'euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien. En devises locales, les revenus des sociétés européennes étaient en baisse, à la suite de la décision de la Société de réduire la capacité. Les activités européennes se sont soldées par une perte d'exploitation avant amortissement1 de 8,6 millions $, comparativement à une perte d'exploitation avant amortissement de 13,7 millions en 2013.
Situation financière
Au 31 janvier 2014, l'encaisse s'établissait à 359,6 millions $, par rapport à 247,9 millions à pareille date en 2013. Le ratio de fonds de roulement était de 1,07, par rapport à 1,02, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s'établissaient à 621,6 millions $, par rapport à 592,0 millions $ à pareille date l'année dernière. Les ententes hors bilan représentaient 657,0 millions $ au 31 janvier 2014, par rapport à 655,8 millions $ au 31 octobre 20134, la hausse découlant de la dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain, compensée par les paiements effectués au cours des douze derniers mois.
Perspectives pour le second trimestre
Sur le marché des destinations soleil, la capacité de Transat est inférieure d'environ 2 % à celle offerte l'an passé. À ce jour, 70 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation sont inférieurs de 2 % et les prix de vente sont supérieurs de 4 % à ceux enregistrés à pareille date l'année dernière.
En France, où l'hiver représente la basse saison, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations moyen-courriers sont supérieures de 16%, les réservations long-courriers sont inférieures de 4 % et les prix de vente sont semblables.
Sur le marché transatlantique, où c'est la basse saison, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle déployée l'hiver dernier. À ce jour, 67 % de cette capacité est vendue, les taux d'occupation sont inférieurs de 5 % et les prix de vente sont supérieurs de 2 %.
Perspectives pour l'hiver - Le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une partie substantielle de l'activité de Transat durant la saison d'hiver, et sur ce marché les marges sont particulièrement minces et volatiles. Compte tenu de la baisse rapide et récente du dollar canadien, la Société prévoit que les résultats du deuxième trimestre seront inférieurs à ceux du trimestre correspondant de l'hiver dernier.
Baisse du dollar canadien - À elle seule, la baisse du dollar a entraîné sur le marché des destinations soleil une hausse de 2,7 % des charges opérationnelles au premier trimestre, et de 3,4 % au second trimestre pour les réservations réalisées à ce jour. Si le dollar demeure au niveau actuel, la hausse des charges opérationnelles due à la baisse du dollar sur le marché Sud sera de 3,7 % pour l'ensemble du deuxième trimestre, par rapport à l'année dernière.
Été 2014 - Quant à l'été 2014, bien qu'il soit encore tôt pour tirer des conclusions, puisque seulement 27 % des sièges sont vendus, la capacité de Transat sur le marché transatlantique est supérieure de 1 % à celle de 2013. Les taux d'occupation sont similaires et les prix sont en hausse de 5 %. La faiblesse du dollar canadien entraînera une hausse des charges opérationnelles l'été prochain de 6 % si le dollar demeure au niveau actuel en regard du dollar américain, de l'euro et de la livre.
Initiatives de réduction des coûts et d'amélioration de la marge
La Société poursuit l'implantation des initiatives prévues dans son plan de retour à la profitabilité, notamment en matière de réduction des coûts d'exploitation et de modifications à ses systèmes et processus. En avril 2013, la Société a par ailleurs annoncé sa décision d'internaliser des petits porteurs moyen-courriers (Boeing 737-800) au départ du Canada, à compter de mai 2014. Les mesures (réductions de coûts, revenus additionnels et gains de performance) ont eu tel que prévu une contribution favorable sur la marge de 20 millions $ en 2012 et de 15 millions $ additionnels en 2013, et elles devraient générer 20 millions $ additionnels en 2014, de même qu'en 2015, année où l'internalisation des petits porteurs donnera son plein effet.
Informations supplémentaires