Communiqué de Transat A.T.
Transat A.T. inc., l'une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l'industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 788,6 millions $ pour le trimestre terminé le 31 janvier 2015, par rapport à 847,2 millions $ en 2014, en baisse de 58,6 millions $ ou 6,9 %. La Société affiche une perte d'exploitation ajustée1 de 35,8 millions $ par rapport à 23,9 millions $ en 2014; et une perte nette attribuable aux actionnaires de 64,3 millions $ (1,66 $ par action sur une base diluée), par rapport à 25,6 millions $ (0,67 $ par action sur une base diluée) en 2014. Excluant les éléments non liés à l'exploitation, Transat affiche une perte nette ajustée3 de 32,4 millions $ en 2015 (0,84 $ par action), par rapport à 23,3 millions $ (0,60 $ par action) en 2014.
« Sur le marché des destinations soleil, la hausse des prix de vente, nos initiatives de réduction de coûts et notre programme de couverture des devises n'ont pas été suffisants pour éliminer l'augmentation de nos charges opérationnelles causée principalement par la baisse récente et importante du dollar canadien par rapport au dollar américain. Combinée à la détérioration de nos résultats en France et à la réduction des revenus de sous-contrats aériens, ceci nous empêche de présenter une amélioration par rapport à l'an dernier pour le trimestre » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
La Société a annoncé son intention de mettre en place un programme de rachat d'actions dans le cours normal des activités, sous réserve de l'approbation des autorités réglementaires.
Plan stratégique 2015-2017
« Nous sommes d'attaque » a ajouté M. Eustache, alors que Transat présente aujourd'hui son plan stratégique triennal 2015-2017, qui vise la poursuite des efforts de la Société en matière d'efficacité et d'amélioration des marges, mais aussi le développement de marché et la croissance. Le plan comporte quatre volets principaux.
Un programme de réduction des coûts et d'amélioration des marges de 100 millions $ sur trois ans, soit 45 millions en 2015 (incluant l'impact des petits porteurs), de même que 30 millions additionnels en 2016 et 25 millions additionnels en 2017. Les principales initiatives et projets comprennent :
•Une réduction des coûts aériens, en diminuant le nombre de gros porteurs exploités en hiver, dans la foulée de la mise en place d'une flotte flexible de petits porteurs, complétée avec succès.
•La mise en place d'une stratégie de vols de correspondance, dès l'été prochain au Canada, à l'aide des petits porteurs d'Air Transat, afin d'élargir l'offre de destinations dans certains marchés sources. Une stratégie semblable sera implantée en Europe en 2016 avec un partenaire, permettant d'ouvrir de nouveaux marchés sources et d'offrir de nouvelles destinations.
•La densification de trois gros porteurs Airbus A330 qui seront dédiés aux liaisons Londres et Paris.
•Le développement des revenus dits accessoires, qui proviennent de la vente de services optionnels aux voyageurs, et d'autres sources, comme le fret.
•La poursuite des projets de mise à niveau technologique des systèmes de réservation, qui vont notamment permettre une efficacité accrue et l'introduction plus rapide de nouveaux produits.
Un programme visant l'amélioration de l'offre, axé sur la croissance à partir des marchés sources existants. À ce titre, les efforts porteront principalement sur :
•L'ouverture de nouvelles destinations en Europe, dont Budapest à l'été 2015.
•L'affinement de l'offre à destination sur le Sud, par le biais de partenariats hôteliers exclusifs et la poursuite de l'amélioration des collections en fonction des attentes des clients.
•La poursuite du développement en France des clubs Lookéa et du marché des circuits.
Un programme visant une évolution importante de l'écosystème de distribution afin d'en parfaire le caractère intégré. Concrètement, la Société entend :
•Poursuivre le déploiement de la marque Voyages Transat, et notamment compléter son implantation dans les agences en propre de la Société.
•Mettre au point un nouveau site web de distribution dans le cadre d'une stratégie intégrant de manière transparente les centres de relations clients et les agences de voyages.
Un programme de développement de marché et de poursuite de la stratégie d'intégration, dans une perspective de croissance, à savoir :
•La pénétration de nouveaux marchés sources présentant des synergies avec les activités actuelles, par l'entremise d'acquisitions.
•Le développement et la croissance à destination en tant que réceptif, notamment en mettant en jeu Jonview Canada, Tourgreece et Trafic Tours.
•Le développement et la croissance de Ocean Hotels, qui compte actuellement 2 200 chambres, et qui sur l'horizon du plan pourrait en compter jusqu'à 5 000.
Faits saillants du premier trimestre
La Société a enregistré des revenus de 788,6 millions $, par rapport à 847,2 millions $ en 2014, en baisse de 58,6 millions $ ou 6,9 %, et une perte d'exploitation ajustée1 de 35,8 millions $ par rapport à 23,9 millions $ en 2014. Pour le trimestre, la capacité de la Société sur le marché des destinations soleil était en baisse de 6,5 % par rapport à l'année dernière. Le nombre de voyageurs a diminué de 8,1 % sur l'ensemble des marchés desservis par la Société. Sur le marché des destinations soleil, la hausse des prix de vente, les initiatives de réduction de coûts et le programme de couverture des devises n'ont pas été suffisants pour éliminer l'augmentation des charges opérationnelles causée principalement par la baisse récente et importante du dollar canadien par rapport au dollar américain. Combinés à la détérioration des résultats en France et à la réduction des revenus de sous-contrats aériens, ceci empêche la Société de présenter une amélioration par rapport à l'an dernier pour le trimestre. Finalement, quoique les cours du pétrole aient diminué de manière importante, cette baisse ne se reflète pas nécessairement sur les prix du carburant d'avion, surtout dans certaines destinations.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont diminué de 43,3 millions $ (6,0 %) au cours du premier trimestre, comparativement à 2014. La diminution des revenus découle de la décision de réduire l'offre de produits de 6,5 % sur le marché des destinations soleil, ce qui explique en partie la baisse globale de 7,6 % du nombre de voyageurs, alors que les prix de vente moyens affichaient des hausses. Au cours du trimestre, la Société a réalisé une perte d'exploitation de 31,0 millions $, comparativement à une perte d'exploitation de 25,1 millions $ en 2014. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la dépréciation du dollar vis-à-vis du dollar américain, qui, même une fois combinée à la baisse des coûts du carburant, a entraîné une augmentation des charges opérationnelles de 15 millions $. L'augmentation des prix de vente et les efforts de réduction de coûts n'ont pas été suffisants pour compenser l'effet des augmentations des charges opérationnelles.
Comparativement à 2014, les revenus des filiales européennes au cours du premier trimestre, qui proviennent de ventes faites à des clients en Europe et au Canada, ont diminué de 15,3 millions $ (12,3 %). Cette diminution résulte d'une diminution du nombre de voyageurs. En devise locale, les revenus des sociétés européennes étaient en baisse. Ceci s'explique par une diminution des ventes vers les destinations situées en Afrique du Nord et au Sénégal, lesquelles ont alimenté la diminution du nombre de voyageurs de 12,4 % pour le trimestre, comparativement à 2014, alors que les prix de vente moyens étaient inférieurs à ceux de la même période en 2014. Les activités européennes ont affiché une perte d'exploitation de 16,5 millions $ au cours du trimestre, comparativement à une perte d'exploitation de 8,6 millions $ en 2014. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la baisse du nombre de voyageurs, de l'augmentation des charges opérationnelles (attribuable notamment à la baisse de l'euro par rapport au dollar américain), combinée à la baisse des prix de vente moyens.
Situation financière
Au 31 janvier 2015, la trésorerie et les équivalents de trésorerie s'établissaient à 393,6 millions $, par rapport à 359,6 millions $ à pareille date en 2014. L'augmentation est attribuable au résultat réalisé au cours des 12 derniers mois, aux taux de conversion sur les sommes conservées en Europe ainsi qu'aux ententes conclues en 2014 avec les processeurs de cartes de crédit en Europe. Le ratio de fonds de roulement était de 1,05, par rapport à 1,07, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s'établissaient à 636,3 millions $, par rapport à 621,6 millions $ à pareille date l'année dernière. Les ententes hors bilan, excluant les ententes avec les fournisseurs de services, représentaient 718,1 millions $ au 31 janvier 2015, par rapport à 690,3 millions $ au 31 octobre 2014, l'augmentation étant attribuable à la hausse du dollar américain vis-à-vis du dollar canadien, compensée partiellement par les remboursements effectués au cours de la période.
Perspectives
Second trimestre - Le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une partie substantielle de l'activité de Transat durant la saison d'hiver, et sur ce marché les marges sont particulièrement minces et volatiles.
Sur le marché des destinations soleil, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle offerte l'an passé. À ce jour, 75 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation sont similaires et les prix de vente sont supérieurs de 1 % à ceux enregistrés à pareille date l'année dernière.
Sur le marché transatlantique, où c'est la basse saison, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle déployée l'hiver dernier. À ce jour, 74 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation et les prix de vente sont similaires.
En France, où l'hiver représente la basse saison, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations sont inférieures de 8 % et les prix de vente sont similaires.
Si le dollar et le coût du carburant demeurent au niveau actuel, la faiblesse du dollar canadien, net de la baisse du coût du carburant, aura comme impact une hausse des charges opérationnelles de 2,2 %, alors que cette hausse était de 0,1 % en décembre dernier.
Compte tenu de la baisse rapide et récente du dollar canadien, la Société prévoit que les résultats du deuxième trimestre pourraient être inférieurs à ceux du trimestre correspondant de l'hiver dernier.
Été 2015 - Quant à l'été 2015, il est encore tôt pour tirer des conclusions. À ce jour, 32 % des sièges sont vendus. En comparaison avec l'été 2014, qui fut le deuxième meilleur été de l'histoire de la Société, la capacité de Transat sur le marché transatlantique est inférieure de 2 %. Les taux d'occupation sont supérieurs de 2 %. Les prix sont en baisse de 3,5 %, mais les charges opérationnelles seront en baisse de 3,8 % si le dollar et le coût du carburant demeurent au niveau actuel.
Informations supplémentaires
« Sur le marché des destinations soleil, la hausse des prix de vente, nos initiatives de réduction de coûts et notre programme de couverture des devises n'ont pas été suffisants pour éliminer l'augmentation de nos charges opérationnelles causée principalement par la baisse récente et importante du dollar canadien par rapport au dollar américain. Combinée à la détérioration de nos résultats en France et à la réduction des revenus de sous-contrats aériens, ceci nous empêche de présenter une amélioration par rapport à l'an dernier pour le trimestre » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.
La Société a annoncé son intention de mettre en place un programme de rachat d'actions dans le cours normal des activités, sous réserve de l'approbation des autorités réglementaires.
Plan stratégique 2015-2017
« Nous sommes d'attaque » a ajouté M. Eustache, alors que Transat présente aujourd'hui son plan stratégique triennal 2015-2017, qui vise la poursuite des efforts de la Société en matière d'efficacité et d'amélioration des marges, mais aussi le développement de marché et la croissance. Le plan comporte quatre volets principaux.
Un programme de réduction des coûts et d'amélioration des marges de 100 millions $ sur trois ans, soit 45 millions en 2015 (incluant l'impact des petits porteurs), de même que 30 millions additionnels en 2016 et 25 millions additionnels en 2017. Les principales initiatives et projets comprennent :
•Une réduction des coûts aériens, en diminuant le nombre de gros porteurs exploités en hiver, dans la foulée de la mise en place d'une flotte flexible de petits porteurs, complétée avec succès.
•La mise en place d'une stratégie de vols de correspondance, dès l'été prochain au Canada, à l'aide des petits porteurs d'Air Transat, afin d'élargir l'offre de destinations dans certains marchés sources. Une stratégie semblable sera implantée en Europe en 2016 avec un partenaire, permettant d'ouvrir de nouveaux marchés sources et d'offrir de nouvelles destinations.
•La densification de trois gros porteurs Airbus A330 qui seront dédiés aux liaisons Londres et Paris.
•Le développement des revenus dits accessoires, qui proviennent de la vente de services optionnels aux voyageurs, et d'autres sources, comme le fret.
•La poursuite des projets de mise à niveau technologique des systèmes de réservation, qui vont notamment permettre une efficacité accrue et l'introduction plus rapide de nouveaux produits.
Un programme visant l'amélioration de l'offre, axé sur la croissance à partir des marchés sources existants. À ce titre, les efforts porteront principalement sur :
•L'ouverture de nouvelles destinations en Europe, dont Budapest à l'été 2015.
•L'affinement de l'offre à destination sur le Sud, par le biais de partenariats hôteliers exclusifs et la poursuite de l'amélioration des collections en fonction des attentes des clients.
•La poursuite du développement en France des clubs Lookéa et du marché des circuits.
Un programme visant une évolution importante de l'écosystème de distribution afin d'en parfaire le caractère intégré. Concrètement, la Société entend :
•Poursuivre le déploiement de la marque Voyages Transat, et notamment compléter son implantation dans les agences en propre de la Société.
•Mettre au point un nouveau site web de distribution dans le cadre d'une stratégie intégrant de manière transparente les centres de relations clients et les agences de voyages.
Un programme de développement de marché et de poursuite de la stratégie d'intégration, dans une perspective de croissance, à savoir :
•La pénétration de nouveaux marchés sources présentant des synergies avec les activités actuelles, par l'entremise d'acquisitions.
•Le développement et la croissance à destination en tant que réceptif, notamment en mettant en jeu Jonview Canada, Tourgreece et Trafic Tours.
•Le développement et la croissance de Ocean Hotels, qui compte actuellement 2 200 chambres, et qui sur l'horizon du plan pourrait en compter jusqu'à 5 000.
Faits saillants du premier trimestre
La Société a enregistré des revenus de 788,6 millions $, par rapport à 847,2 millions $ en 2014, en baisse de 58,6 millions $ ou 6,9 %, et une perte d'exploitation ajustée1 de 35,8 millions $ par rapport à 23,9 millions $ en 2014. Pour le trimestre, la capacité de la Société sur le marché des destinations soleil était en baisse de 6,5 % par rapport à l'année dernière. Le nombre de voyageurs a diminué de 8,1 % sur l'ensemble des marchés desservis par la Société. Sur le marché des destinations soleil, la hausse des prix de vente, les initiatives de réduction de coûts et le programme de couverture des devises n'ont pas été suffisants pour éliminer l'augmentation des charges opérationnelles causée principalement par la baisse récente et importante du dollar canadien par rapport au dollar américain. Combinés à la détérioration des résultats en France et à la réduction des revenus de sous-contrats aériens, ceci empêche la Société de présenter une amélioration par rapport à l'an dernier pour le trimestre. Finalement, quoique les cours du pétrole aient diminué de manière importante, cette baisse ne se reflète pas nécessairement sur les prix du carburant d'avion, surtout dans certaines destinations.
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l'étranger, ont diminué de 43,3 millions $ (6,0 %) au cours du premier trimestre, comparativement à 2014. La diminution des revenus découle de la décision de réduire l'offre de produits de 6,5 % sur le marché des destinations soleil, ce qui explique en partie la baisse globale de 7,6 % du nombre de voyageurs, alors que les prix de vente moyens affichaient des hausses. Au cours du trimestre, la Société a réalisé une perte d'exploitation de 31,0 millions $, comparativement à une perte d'exploitation de 25,1 millions $ en 2014. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la dépréciation du dollar vis-à-vis du dollar américain, qui, même une fois combinée à la baisse des coûts du carburant, a entraîné une augmentation des charges opérationnelles de 15 millions $. L'augmentation des prix de vente et les efforts de réduction de coûts n'ont pas été suffisants pour compenser l'effet des augmentations des charges opérationnelles.
Comparativement à 2014, les revenus des filiales européennes au cours du premier trimestre, qui proviennent de ventes faites à des clients en Europe et au Canada, ont diminué de 15,3 millions $ (12,3 %). Cette diminution résulte d'une diminution du nombre de voyageurs. En devise locale, les revenus des sociétés européennes étaient en baisse. Ceci s'explique par une diminution des ventes vers les destinations situées en Afrique du Nord et au Sénégal, lesquelles ont alimenté la diminution du nombre de voyageurs de 12,4 % pour le trimestre, comparativement à 2014, alors que les prix de vente moyens étaient inférieurs à ceux de la même période en 2014. Les activités européennes ont affiché une perte d'exploitation de 16,5 millions $ au cours du trimestre, comparativement à une perte d'exploitation de 8,6 millions $ en 2014. L'augmentation de la perte d'exploitation découle principalement de la baisse du nombre de voyageurs, de l'augmentation des charges opérationnelles (attribuable notamment à la baisse de l'euro par rapport au dollar américain), combinée à la baisse des prix de vente moyens.
Situation financière
Au 31 janvier 2015, la trésorerie et les équivalents de trésorerie s'établissaient à 393,6 millions $, par rapport à 359,6 millions $ à pareille date en 2014. L'augmentation est attribuable au résultat réalisé au cours des 12 derniers mois, aux taux de conversion sur les sommes conservées en Europe ainsi qu'aux ententes conclues en 2014 avec les processeurs de cartes de crédit en Europe. Le ratio de fonds de roulement était de 1,05, par rapport à 1,07, et les dépôts reçus des clients pour des voyages à venir s'établissaient à 636,3 millions $, par rapport à 621,6 millions $ à pareille date l'année dernière. Les ententes hors bilan, excluant les ententes avec les fournisseurs de services, représentaient 718,1 millions $ au 31 janvier 2015, par rapport à 690,3 millions $ au 31 octobre 2014, l'augmentation étant attribuable à la hausse du dollar américain vis-à-vis du dollar canadien, compensée partiellement par les remboursements effectués au cours de la période.
Perspectives
Second trimestre - Le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une partie substantielle de l'activité de Transat durant la saison d'hiver, et sur ce marché les marges sont particulièrement minces et volatiles.
Sur le marché des destinations soleil, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle offerte l'an passé. À ce jour, 75 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation sont similaires et les prix de vente sont supérieurs de 1 % à ceux enregistrés à pareille date l'année dernière.
Sur le marché transatlantique, où c'est la basse saison, la capacité de Transat est inférieure de 6 % à celle déployée l'hiver dernier. À ce jour, 74 % de cette capacité est vendue, les coefficients d'occupation et les prix de vente sont similaires.
En France, où l'hiver représente la basse saison, par rapport à l'an passé à la même date, les réservations sont inférieures de 8 % et les prix de vente sont similaires.
Si le dollar et le coût du carburant demeurent au niveau actuel, la faiblesse du dollar canadien, net de la baisse du coût du carburant, aura comme impact une hausse des charges opérationnelles de 2,2 %, alors que cette hausse était de 0,1 % en décembre dernier.
Compte tenu de la baisse rapide et récente du dollar canadien, la Société prévoit que les résultats du deuxième trimestre pourraient être inférieurs à ceux du trimestre correspondant de l'hiver dernier.
Été 2015 - Quant à l'été 2015, il est encore tôt pour tirer des conclusions. À ce jour, 32 % des sièges sont vendus. En comparaison avec l'été 2014, qui fut le deuxième meilleur été de l'histoire de la Société, la capacité de Transat sur le marché transatlantique est inférieure de 2 %. Les taux d'occupation sont supérieurs de 2 %. Les prix sont en baisse de 3,5 %, mais les charges opérationnelles seront en baisse de 3,8 % si le dollar et le coût du carburant demeurent au niveau actuel.
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