Neji Gouider , directeur de l'ONTT à Montréal
Le directeur de Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) Neji Gouider est très optimiste quant à reprise du tourisme dans son pays. Lors d'une entrevue téléphonique ce matin il réitérait ce que la presse internationale a constaté depuis quelques jours, soit que la situation est calme partout au pays, sauf quelques manifestations à Tunis, et que la destination est prête à recevoir les touristes.
M. Gouider confie que c'est avec beaucoup d'émotion qu'il a observé les évènements depuis Montréal, suivant l'évolution de minute en minute. Il tenait d'ailleurs d'entrée de jeu à saluer les acteurs de la révolution. '' Je veux d'abord saluer la mémoire des martyres de la liberté et ce peuple, jeune, qui a tout fait pour réussir'', disait -il. '' Je veux également remercier les touristes canadiens qui n'ont pas voulu être rapatriés et qui ont vécu sur place cette révolution''. Remerciements également pour les professionnels de l'industrie au Québec qui , disait-il, '' ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour aider les touristes.''
M. Gouider pense que les pertes de touristes engendrées par la révolution du Jasmin ( - 40% de touristes canadiens en janvier) seront rapidement compensées. '' La révolution est en soi aussi une publicité positive qui va être bénéfique à moyen et à long terme, estime-t-il. Il relève par ailleurs qu'aucune unité hôtelière n'a été affectée par les évènements. Pour Neji Gouider, le nombre de 17,000 touristes canadiens que la destination accueille annuellement va s'en retrouver multiplié, d'autant plus dit-il qu' ''en 2012, la Tunisie sera reliée à Montréal par un vol direct de Tunisair''.
Dans l'immédiat, le directeur compte beaucoup sur les tour opérateurs, les agents de voyages et les médias pour contribuer à la relance de la Tunisie. '' Avec les tour opérateur, nous allons organiser des Éducotours pour les agents de voyages. Les journalistes de divers horizons seront également invités à venir faire des reportages,'' assure-t-il.
Rappelons que le MAECI a révisé ses avis officiels aux voyageurs leur conseillant simplement de faire preuve d'une grande prudence. Quant aux manifestations qui se déroulent encore dans la capitale Tunis, elles concernent des revendications d'ordre économique et social. '' Il va y avoir beaucoup de changements, commente Neji Gouider, la Tunisie a besoin d'investissements importants pour créer davantage d'emplois ''.
M. Gouider confie que c'est avec beaucoup d'émotion qu'il a observé les évènements depuis Montréal, suivant l'évolution de minute en minute. Il tenait d'ailleurs d'entrée de jeu à saluer les acteurs de la révolution. '' Je veux d'abord saluer la mémoire des martyres de la liberté et ce peuple, jeune, qui a tout fait pour réussir'', disait -il. '' Je veux également remercier les touristes canadiens qui n'ont pas voulu être rapatriés et qui ont vécu sur place cette révolution''. Remerciements également pour les professionnels de l'industrie au Québec qui , disait-il, '' ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour aider les touristes.''
M. Gouider pense que les pertes de touristes engendrées par la révolution du Jasmin ( - 40% de touristes canadiens en janvier) seront rapidement compensées. '' La révolution est en soi aussi une publicité positive qui va être bénéfique à moyen et à long terme, estime-t-il. Il relève par ailleurs qu'aucune unité hôtelière n'a été affectée par les évènements. Pour Neji Gouider, le nombre de 17,000 touristes canadiens que la destination accueille annuellement va s'en retrouver multiplié, d'autant plus dit-il qu' ''en 2012, la Tunisie sera reliée à Montréal par un vol direct de Tunisair''.
Dans l'immédiat, le directeur compte beaucoup sur les tour opérateurs, les agents de voyages et les médias pour contribuer à la relance de la Tunisie. '' Avec les tour opérateur, nous allons organiser des Éducotours pour les agents de voyages. Les journalistes de divers horizons seront également invités à venir faire des reportages,'' assure-t-il.
Rappelons que le MAECI a révisé ses avis officiels aux voyageurs leur conseillant simplement de faire preuve d'une grande prudence. Quant aux manifestations qui se déroulent encore dans la capitale Tunis, elles concernent des revendications d'ordre économique et social. '' Il va y avoir beaucoup de changements, commente Neji Gouider, la Tunisie a besoin d'investissements importants pour créer davantage d'emplois ''.