Communiqué de Vacances Sinorama
Vacances Sinorama Inc. est solvable et en mesure de remplir toutes ses obligations à l’égard de ses nombreux clients actuels et futurs, comme le confirment ses états financiers vérifiés.
C’est ce qu’a déclaré M. Claude Landry, vice-président de l’entreprise, en présence des membres de la haute direction de l’entreprise établie à Montréal, au cours d’une conférence de presse tenue ce matin.
« Nous déplorons vivement que les insinuations mensongères de La Presse aient porté atteinte à la réputation de Vacances Sinorama. Le journaliste a en effet échafaudé des hypothèses et émis des opinions en se basant sur les états financiers d’une société américaine apparentée, Sinorama Corporation, qui ne vend aucun voyage aux consommateurs québécois », a tenu à préciser M. Landry.
Vacances Sinorama étant une entreprise privée, donc non inscrite à la bourse, ses états financiers ne sont pas publics. « N’ayant pas pu consulter nos états financiers, les affirmations du journaliste ne sont que pures spéculations basées sur l’interprétation qu’il fait des résultats d’une société apparentée », a-t-il poursuivi.
Bien qu’elle ne soit pas tenue de dévoiler les détails de ses états financiers, Vacances Sinorama a tout de même révélé que son dernier rapport annuel, vérifié par la firme comptable ZH, indiquait que le fonds de roulement de l’entreprise avait un surplus de deux millions de dollars à la fin du dernier exercice financier.
Office de la protection du consommateur
D’autre part, Vacances Sinorama est détenteur d’un permis d’exploitation de l’Office de la protection du consommateur (OPC) pour une 13e année consécutive. « S’il y avait eu quelque malversation que ce soit, cet organisme nous aurait retiré notre permis, ce qui n’est évidemment pas le cas », a souligné M. Landry.
Claude Landry rappelle que l’OPC n’a jamais confirmé au journaliste que Vacances Sinorama était en difficultés financières. « Son porte-parole a plutôt évoqué des hypothèses d’ordre général touchant l’industrie du voyage et la solvabilité des entreprises qui y œuvrent. Ces propos ne concernaient pas spécifiquement Vacances Sinorama, pas plus que des situations réelles », a-t-il ajouté.
Mentionnons que le modèle d’affaires de Vacances Sinorama, une entreprise fondée en 2005, permet d’économiser et d’éviter les hausses de prix qui pourraient survenir dans les mois suivant la réservation de voyages par les clients.
C’est ce qu’a déclaré M. Claude Landry, vice-président de l’entreprise, en présence des membres de la haute direction de l’entreprise établie à Montréal, au cours d’une conférence de presse tenue ce matin.
« Nous déplorons vivement que les insinuations mensongères de La Presse aient porté atteinte à la réputation de Vacances Sinorama. Le journaliste a en effet échafaudé des hypothèses et émis des opinions en se basant sur les états financiers d’une société américaine apparentée, Sinorama Corporation, qui ne vend aucun voyage aux consommateurs québécois », a tenu à préciser M. Landry.
Vacances Sinorama étant une entreprise privée, donc non inscrite à la bourse, ses états financiers ne sont pas publics. « N’ayant pas pu consulter nos états financiers, les affirmations du journaliste ne sont que pures spéculations basées sur l’interprétation qu’il fait des résultats d’une société apparentée », a-t-il poursuivi.
Bien qu’elle ne soit pas tenue de dévoiler les détails de ses états financiers, Vacances Sinorama a tout de même révélé que son dernier rapport annuel, vérifié par la firme comptable ZH, indiquait que le fonds de roulement de l’entreprise avait un surplus de deux millions de dollars à la fin du dernier exercice financier.
Office de la protection du consommateur
D’autre part, Vacances Sinorama est détenteur d’un permis d’exploitation de l’Office de la protection du consommateur (OPC) pour une 13e année consécutive. « S’il y avait eu quelque malversation que ce soit, cet organisme nous aurait retiré notre permis, ce qui n’est évidemment pas le cas », a souligné M. Landry.
Claude Landry rappelle que l’OPC n’a jamais confirmé au journaliste que Vacances Sinorama était en difficultés financières. « Son porte-parole a plutôt évoqué des hypothèses d’ordre général touchant l’industrie du voyage et la solvabilité des entreprises qui y œuvrent. Ces propos ne concernaient pas spécifiquement Vacances Sinorama, pas plus que des situations réelles », a-t-il ajouté.
Mentionnons que le modèle d’affaires de Vacances Sinorama, une entreprise fondée en 2005, permet d’économiser et d’éviter les hausses de prix qui pourraient survenir dans les mois suivant la réservation de voyages par les clients.