Communiqué de l'ACTA
La décision de Transports Canada d‟imposer de nouveaux frais de sécurité aériens pour financer les scanners de corporels, démontre bien le peu de soucis que se fait le Gouvernement canadien à l‟égard des voyageurs qui voyagent pas affaires ou par loisir, nous dit le président de la plus grande association d‟agences de voyages du Canada. Monsieur b[David McCaig] a demandé au Gouvernement de consulter l'industrie du voyage au lieu de s‟adonner à assommer les consommateurs avec ce qu'il appelle 'des taxes', qui en réalité ne sont que des frais d‟exploitation.
David McCaig, le président et chef des opérations de l'Association canadienne des agences de voyages (ACTA) mentionne que ses plus de 2 000 agences de voyages et 18 000 agents de voyage avec des millions de consommateurs canadiens seront forcés à payer de plus en plus pour les mesures de sécurité aux aéroports canadiens. M..McCaig craint que cette augmentation continuelle des frais de la sécurité aérienne annoncée par le ministre des Transports John Baird soit juste le début d'une première ronde de taxes envers l'industrie du voyage. M. McCaig rappelle que ces frais de sécurité supplémentaires devraient être payés par les revenus généraux du Gouvernement et non pas ajoutés sur les seules épaules de l‟industrie du voyage.
“La sécurité aérienne représente une partie de ce qui devrait être un plan de sécurité nationale complet payé pour par tous les contribuables à même les fonds généraux du gouvernement.” “De plus, je ne crois pas que le gouvernement ait fait de recherches approfondies pour déterminer la meilleure façon de combiner la sécurité avec l'efficacité et le confort de passagers,” nous dit Monsieur David McCaig.
Le 1 avril, les frais de sécurité aériens monteront de 8,91$ par vol et qui s‟ajoutent aux 5$ à 16$ actuels sur chaque segment de vol. Cela signifie qu'un voyageur international paiera plus de 50$ en frais de sécurité sur un vol aller-retour.
“Ces frais ne font qu‟alourdir le fardeau que doit assumer les voyageurs. ”
“Cette façon de faire nuit à l‟industrie du voyage” nous dit M. McCaig. “Le gouvernement fragilise une des industries essentielles à l'économie du Canada affectant ainsi chaque famille qui désire prendre des vacances, chaque étudiant qui désire voyager et de chaque voyageur d'affaires.”
M. McCaig répète que le Gouvernement se trompe de cible en visant les consommateurs. Les frais ne sont pas des taxes mais bien des frais d'exploitation pour les compagnies aériennes. Les agences de voyages sont inquiètes des prix constamment en hausse et qui rendent le voyage aérien dispendieux pour beaucoup de familles. Les ministres financent des projets de toutes sortes à même les revenus généraux, alors, les voyageurs ne devraient pas assumer seuls cette responsabilité sociale.
(Source: Communiqué de l'ACTA)
David McCaig, le président et chef des opérations de l'Association canadienne des agences de voyages (ACTA) mentionne que ses plus de 2 000 agences de voyages et 18 000 agents de voyage avec des millions de consommateurs canadiens seront forcés à payer de plus en plus pour les mesures de sécurité aux aéroports canadiens. M..McCaig craint que cette augmentation continuelle des frais de la sécurité aérienne annoncée par le ministre des Transports John Baird soit juste le début d'une première ronde de taxes envers l'industrie du voyage. M. McCaig rappelle que ces frais de sécurité supplémentaires devraient être payés par les revenus généraux du Gouvernement et non pas ajoutés sur les seules épaules de l‟industrie du voyage.
“La sécurité aérienne représente une partie de ce qui devrait être un plan de sécurité nationale complet payé pour par tous les contribuables à même les fonds généraux du gouvernement.” “De plus, je ne crois pas que le gouvernement ait fait de recherches approfondies pour déterminer la meilleure façon de combiner la sécurité avec l'efficacité et le confort de passagers,” nous dit Monsieur David McCaig.
Le 1 avril, les frais de sécurité aériens monteront de 8,91$ par vol et qui s‟ajoutent aux 5$ à 16$ actuels sur chaque segment de vol. Cela signifie qu'un voyageur international paiera plus de 50$ en frais de sécurité sur un vol aller-retour.
“Ces frais ne font qu‟alourdir le fardeau que doit assumer les voyageurs. ”
“Cette façon de faire nuit à l‟industrie du voyage” nous dit M. McCaig. “Le gouvernement fragilise une des industries essentielles à l'économie du Canada affectant ainsi chaque famille qui désire prendre des vacances, chaque étudiant qui désire voyager et de chaque voyageur d'affaires.”
M. McCaig répète que le Gouvernement se trompe de cible en visant les consommateurs. Les frais ne sont pas des taxes mais bien des frais d'exploitation pour les compagnies aériennes. Les agences de voyages sont inquiètes des prix constamment en hausse et qui rendent le voyage aérien dispendieux pour beaucoup de familles. Les ministres financent des projets de toutes sortes à même les revenus généraux, alors, les voyageurs ne devraient pas assumer seuls cette responsabilité sociale.
(Source: Communiqué de l'ACTA)