Communiqué de l'ACTA
Communication aux membres des résultats au sondage des membres de l’ACTA Québec
À l’automne 2016, l’ACTA a mené un sondage auprès de ses membres pour mieux comprendre les priorités en défense d’intérêts de la province du Québec. Les résultats réunis au cours de ce sondage serviront de base à notre plan de plaidoyer. Afin de mieux répondre à nos membres du Québec, l’ACTA a l’intention de développer et mettre en œuvre un plan visant à résoudre les questions de défense d’intérêts les plus urgentes de la province.
Au total, le sondage a été envoyé à 1 222 agences de voyages et employés au Québec. Les statistiques démographiques ont démontré que 18 % des destinataires du sondage ont répondu; desquels 75 % ont indiqué travailler dans une agence de voyages de loisirs; 29 % ont indiqué travailler dans une agence de trois à cinq employés; et 46 % ont indiqué être un employé.
Les faits saillants du sondage incluent :
•Les participants ont indiqué que l’agence pour laquelle ils travaillent sont préoccupées surtout par les problèmes relationnels entre les agences et les fournisseurs (tels que les taux de commission, les frais non commissionnables et le marketing direct du fournisseur aux consommateurs), des enjeux liés à la réservation effectuée directement par le consommateur (voyage que l’on organise soi-même), des règlements de l’OPC à l’égard de la protection des consommateurs et de l’utilisation des services des agents de voyages.
•Environ 40 % des répondants au sondage sont d’avis que la réservation effectuée directement par le consommateur (voyage que l’on organise soi-même) affecte grandement les agences de voyages, suivie de près par les règlements de l’OPC et le supplément carburant avec une réponse de près de 33 % chacun.
•Les Distribution Cost Charges (DCC, ou frais de coûts de distribution) imposés par les transporteurs aériens, les frais de carte de crédit imposés aux commerçants, les problèmes relationnels entre les agences et les fournisseurs (taux de commission, les frais non commissionnables et le marketing direct du fournisseur aux consommateurs) et la réglementation de l’IATA concernant l’émission de billets et les fichiers BSP (harmonisation mondiale des politiques de prix pour les dossiers délicats, notes de débit) étaient tous relativement égaux avec une réponse des participants de 28 % à 35 % en ce qui a trait aux principaux facteurs de répercussion importante sur les agences de voyages.
D’autres enjeux précis soulevés dans le sondage incluaient le fait que les taxes et frais sont appliqués de manière incohérente sur le même produit par la concurrence; les nouveaux règlements de l’OPC permettant aux voyagistes d’entrer en concurrence directement avec les agences; l’exactitude des publicités (tarification); et la réglementation à l’égard des agents indépendants. Il a été soulevé également que les compagnies de cartes de crédit ne déploient pas assez d’efforts pour éliminer la fraude.
Au cours des prochaines semaines, le conseil de l’ACTA Québec se rassemblera pour discuter du sondage dans son intégralité et faire des recommandations finales pour l’élaboration du plan d’action qui sera mis en application dans la région du Québec avec le plein appui du bureau national.
Pour consulter le rapport complet, veuillez vous connecter à la section pour membres seulement sur le site de l’ACTA sous la section « Études, recherches et sondages » de l’onglet « Ressources » dans la barre de navigation .
(Source ACTA)
À l’automne 2016, l’ACTA a mené un sondage auprès de ses membres pour mieux comprendre les priorités en défense d’intérêts de la province du Québec. Les résultats réunis au cours de ce sondage serviront de base à notre plan de plaidoyer. Afin de mieux répondre à nos membres du Québec, l’ACTA a l’intention de développer et mettre en œuvre un plan visant à résoudre les questions de défense d’intérêts les plus urgentes de la province.
Au total, le sondage a été envoyé à 1 222 agences de voyages et employés au Québec. Les statistiques démographiques ont démontré que 18 % des destinataires du sondage ont répondu; desquels 75 % ont indiqué travailler dans une agence de voyages de loisirs; 29 % ont indiqué travailler dans une agence de trois à cinq employés; et 46 % ont indiqué être un employé.
Les faits saillants du sondage incluent :
•Les participants ont indiqué que l’agence pour laquelle ils travaillent sont préoccupées surtout par les problèmes relationnels entre les agences et les fournisseurs (tels que les taux de commission, les frais non commissionnables et le marketing direct du fournisseur aux consommateurs), des enjeux liés à la réservation effectuée directement par le consommateur (voyage que l’on organise soi-même), des règlements de l’OPC à l’égard de la protection des consommateurs et de l’utilisation des services des agents de voyages.
•Environ 40 % des répondants au sondage sont d’avis que la réservation effectuée directement par le consommateur (voyage que l’on organise soi-même) affecte grandement les agences de voyages, suivie de près par les règlements de l’OPC et le supplément carburant avec une réponse de près de 33 % chacun.
•Les Distribution Cost Charges (DCC, ou frais de coûts de distribution) imposés par les transporteurs aériens, les frais de carte de crédit imposés aux commerçants, les problèmes relationnels entre les agences et les fournisseurs (taux de commission, les frais non commissionnables et le marketing direct du fournisseur aux consommateurs) et la réglementation de l’IATA concernant l’émission de billets et les fichiers BSP (harmonisation mondiale des politiques de prix pour les dossiers délicats, notes de débit) étaient tous relativement égaux avec une réponse des participants de 28 % à 35 % en ce qui a trait aux principaux facteurs de répercussion importante sur les agences de voyages.
D’autres enjeux précis soulevés dans le sondage incluaient le fait que les taxes et frais sont appliqués de manière incohérente sur le même produit par la concurrence; les nouveaux règlements de l’OPC permettant aux voyagistes d’entrer en concurrence directement avec les agences; l’exactitude des publicités (tarification); et la réglementation à l’égard des agents indépendants. Il a été soulevé également que les compagnies de cartes de crédit ne déploient pas assez d’efforts pour éliminer la fraude.
Au cours des prochaines semaines, le conseil de l’ACTA Québec se rassemblera pour discuter du sondage dans son intégralité et faire des recommandations finales pour l’élaboration du plan d’action qui sera mis en application dans la région du Québec avec le plein appui du bureau national.
Pour consulter le rapport complet, veuillez vous connecter à la section pour membres seulement sur le site de l’ACTA sous la section « Études, recherches et sondages » de l’onglet « Ressources » dans la barre de navigation .
(Source ACTA)
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