Rodolfo Elizondo Torres, ministre du tourisme du Mexique, Ernesto Rodriguez Escalona ministre du Tourisme de l’État de Guerrero et Jesus Radilla Calderon directeur de l'OTC d'Acapulco,
Comme on a pu le constater durant le SITV qui se tenait `Montréal en octobre dernier, l’état mexicain du Guerrero et la destination d’Acapulco se sont montrés particulièrement présents.
Outre une soirée hommage en début de semaine (au Reine Elizabeth) et le souper pour une centaine d’agents de voyage et grossistes à la Terrasse Acapulco le premier soir du SITV, pas moins d’une trentaine de personnes (incluant le gouverneur de l’état du Guerrero, dont c’était la première visite officielle ici) s’étaient déplacées à Montréal cette semaine pour défendre les couleurs et le soleil d’Acapulco! Nul doute, cette délégation était déterminée à se faire voir et entendre, afin que la destination d’Acapulco revienne sur toutes les lèvres – et dans les projets – de tous les décideurs de l’industrie, agents de voyages et consommateurs, bien sûr.
« Nous souhaitons qu’Acapulco redevienne une destination accesssible aux touristes Canadiens au moins six mois de l’année, comme c’était le cas autrefois; expliquait Jésus Radilla Calderon, directeur général de l’Office de tourisme et des congrès d’Acapulco. « Pour le moment, la destination est desservie par des vols de Montréal, Toronto, Edmonton et Calgary pendant quatre mois, mais nous espérons arriver à convaincre les grossistes de prolonger leur saison chez nous, si possible pour l’an prochain. »
Selon M. Calderon, le nombre de Canadiens qui ont séjourné dans la région d’Acapulco l’an dernier (approx. 10 000) s’est maintenu à peu près semblable à celui de l’année précédente, et ce, malgré le fait qu’Acapulco ait souffert de mauvaise presse, suite à un incident dramatique impliquant un touriste canadien.
Outre une soirée hommage en début de semaine (au Reine Elizabeth) et le souper pour une centaine d’agents de voyage et grossistes à la Terrasse Acapulco le premier soir du SITV, pas moins d’une trentaine de personnes (incluant le gouverneur de l’état du Guerrero, dont c’était la première visite officielle ici) s’étaient déplacées à Montréal cette semaine pour défendre les couleurs et le soleil d’Acapulco! Nul doute, cette délégation était déterminée à se faire voir et entendre, afin que la destination d’Acapulco revienne sur toutes les lèvres – et dans les projets – de tous les décideurs de l’industrie, agents de voyages et consommateurs, bien sûr.
« Nous souhaitons qu’Acapulco redevienne une destination accesssible aux touristes Canadiens au moins six mois de l’année, comme c’était le cas autrefois; expliquait Jésus Radilla Calderon, directeur général de l’Office de tourisme et des congrès d’Acapulco. « Pour le moment, la destination est desservie par des vols de Montréal, Toronto, Edmonton et Calgary pendant quatre mois, mais nous espérons arriver à convaincre les grossistes de prolonger leur saison chez nous, si possible pour l’an prochain. »
Selon M. Calderon, le nombre de Canadiens qui ont séjourné dans la région d’Acapulco l’an dernier (approx. 10 000) s’est maintenu à peu près semblable à celui de l’année précédente, et ce, malgré le fait qu’Acapulco ait souffert de mauvaise presse, suite à un incident dramatique impliquant un touriste canadien.
Jesus Radilla Calderon directeur de l'OTC d'Acapulco
«Il est bien important de comprendre qu’il n’y a eu qu’un seul incident, expliquait monsieur Calderon, et qu’il s’agissait d’un événement isolé; un malheureux accident qui aurait pu survenir aussi ailleurs; concluait-il. « Heureusement, les gens de l’industrie et nos partenaires canadiens l’avaient compris et n’ont pas modifié leurs activités, vis à vis de la destination. » Cela dit, les objectifs de la délégation d’Acapulco cette année n’étaient pas seulement de reitérer les charmes de la destination, mais également de communiquer, clairement, que les gouvernements de l’état de Guerrero et les intervenants touristiques d’Acapulco investissent beaucoup d’efforts en ce moment pour rajeunir l’image de la destination.
« L’offre s’est vraiment diversifiée à Acapulco ces dernières années, et il y a bien davantage que des plages... On y retrouve cinq terrains de golf et de nombreux spas (au Fairmont Princess, au Quinta Real, etc.) ; ce qui fait que les lunes de miel et les mariages prennent de plus en plus d’importance. »
« Il y a aussi plusieurs sites archéologiques majeurs à proximité d’Acapulco, dont celui de Tehuacalco, qui, justement, deviendra accessible au grand public au cours de l’année 2008. D’ailleurs, précisait monsieur Calderon, nous sommes en train de travailler sur la promotion d’un circuit culturel appelé « la route du Jaguar », qui permettrait notamment aux touristes de découvrir plusieurs sites historiques, entre Mexico et Acapulco.
Un circuit que les voyagistes pourraient intègrer éventuellement à leur programmation, bien sûr, souhaitent ardemment monsieur Calderon et ses collègues. Ce circuit, précisait-il, n’est qu’un des nombreux exemples concrets qui prouvent qu’Acapulco et l’état de Guerrero ont bien d’autres attraits que la baie et les plages. Et, à en juger par les efforts investis cette semaine par les gens d’Acapulco, parions que celle qu’on classe parmi les plus belles baies du monde n’a pas fini de nous en faire voir!
« L’offre s’est vraiment diversifiée à Acapulco ces dernières années, et il y a bien davantage que des plages... On y retrouve cinq terrains de golf et de nombreux spas (au Fairmont Princess, au Quinta Real, etc.) ; ce qui fait que les lunes de miel et les mariages prennent de plus en plus d’importance. »
« Il y a aussi plusieurs sites archéologiques majeurs à proximité d’Acapulco, dont celui de Tehuacalco, qui, justement, deviendra accessible au grand public au cours de l’année 2008. D’ailleurs, précisait monsieur Calderon, nous sommes en train de travailler sur la promotion d’un circuit culturel appelé « la route du Jaguar », qui permettrait notamment aux touristes de découvrir plusieurs sites historiques, entre Mexico et Acapulco.
Un circuit que les voyagistes pourraient intègrer éventuellement à leur programmation, bien sûr, souhaitent ardemment monsieur Calderon et ses collègues. Ce circuit, précisait-il, n’est qu’un des nombreux exemples concrets qui prouvent qu’Acapulco et l’état de Guerrero ont bien d’autres attraits que la baie et les plages. Et, à en juger par les efforts investis cette semaine par les gens d’Acapulco, parions que celle qu’on classe parmi les plus belles baies du monde n’a pas fini de nous en faire voir!
La baie d'Acapulco