L'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a rendu public, lundi, son rapport interne sur la mort de Robert Dziekanski à l'aéroport international de Vancouver, le 14 octobre dernier.
Le Polonais de 40 ans est mort après avoir reçu deux décharges de pistolets à décharge électrique Taser. Robert Dziekanski, qui ne parlait pas l'anglais, venait de passer 9 heures à l'aéroport et il était agité.
Pour éviter qu'un drame du genre ne se reproduise, l'Agence des services frontaliers du Canada a fait savoir qu'elle revoit immédiatement ses opérations dans le traitement des passagers à l'aéroport de Vancouver. Ainsi:
l'ASFC, en collaboration avec d'autres partenaires, comme l'administration aéroportuaire de Vancouver, examinera la procédure relative aux services offerts aux voyageurs internationaux et aux personnes qui sont venues les attendre à l'arrivée;
l'ASFC mettra à jour son répertoire d'employés qui parlent d'autres langues que le français et l'anglais. De plus, elle procédera à l'examen de ses services d'interprètes afin de s'assurer qu'elle peut avoir accès à ces services le plus rapidement possible;
d'autres caméras seront installées pour élargir la couverture dans la zone de l'ASFC à l'aéroport international de Vancouver;
l'ASFC étudiera des options pour effectuer plus de patrouilles et de contrôles de sécurité dans ses zones;
l'ASFC passera en revue sa procédure pour s'assurer que les voyageurs qui font l'objet d'un renvoi pour un examen approfondi se présentent aux zones de contrôle secondaires dans un délai raisonnable.
Le président de l'Agence des services frontaliers du Canada, Alain Jolicoeur, a déclaré que son organisme s'engage à mettre en oeuvre ces recommandations sans tarder, non seulement à l'aéroport international de Vancouver, mais aussi dans d'autres aéroports, au besoin.
(Source Radio Canada)
Le Polonais de 40 ans est mort après avoir reçu deux décharges de pistolets à décharge électrique Taser. Robert Dziekanski, qui ne parlait pas l'anglais, venait de passer 9 heures à l'aéroport et il était agité.
Pour éviter qu'un drame du genre ne se reproduise, l'Agence des services frontaliers du Canada a fait savoir qu'elle revoit immédiatement ses opérations dans le traitement des passagers à l'aéroport de Vancouver. Ainsi:
l'ASFC, en collaboration avec d'autres partenaires, comme l'administration aéroportuaire de Vancouver, examinera la procédure relative aux services offerts aux voyageurs internationaux et aux personnes qui sont venues les attendre à l'arrivée;
l'ASFC mettra à jour son répertoire d'employés qui parlent d'autres langues que le français et l'anglais. De plus, elle procédera à l'examen de ses services d'interprètes afin de s'assurer qu'elle peut avoir accès à ces services le plus rapidement possible;
d'autres caméras seront installées pour élargir la couverture dans la zone de l'ASFC à l'aéroport international de Vancouver;
l'ASFC étudiera des options pour effectuer plus de patrouilles et de contrôles de sécurité dans ses zones;
l'ASFC passera en revue sa procédure pour s'assurer que les voyageurs qui font l'objet d'un renvoi pour un examen approfondi se présentent aux zones de contrôle secondaires dans un délai raisonnable.
Le président de l'Agence des services frontaliers du Canada, Alain Jolicoeur, a déclaré que son organisme s'engage à mettre en oeuvre ces recommandations sans tarder, non seulement à l'aéroport international de Vancouver, mais aussi dans d'autres aéroports, au besoin.
(Source Radio Canada)