Montie Brewer, président et chef de la direction d'Air Canada, a félicité l'Autorité aéroportuaire du Grand Toronto (GTAA) pour la réduction des redevances d'atterrissage et des frais d'aérogare en vigueur à sa plaque tournante, l'aéroport international Lester B. Pearson. "Air Canada est ravie d'apprendre aujourd'hui que la GTAA diminue les
redevances exigées à l'aéroport de Toronto et nous félicitons l'administration aéroportuaire d'avoir trouvé des façons d'économiser et pensé à d'autres sources de rentrées. La réduction des coûts liés à l'exploitation d'un aéroport se traduit par une possibilité de services accrus pour la communauté, puisque les aéroports sont un catalyseur de la croissance économique, a précisé M. Brewer.
Air Canada demande maintenant au gouvernement fédéral de suivre l'exemple de la GTAA et d'abaisser le coût des loyers qu'il exige aux aéroports chaque année. Ces loyers représentent des recettes de 2 G$ pour le gouvernement, mais Ottawa dispose de cet argent comme de tout autre revenu plutôt que de l'investir dans l'expansion des services aériens. En fin de compte, il s'agit d'une forme d'impôt régressif qui ralentit la croissance économique."
redevances exigées à l'aéroport de Toronto et nous félicitons l'administration aéroportuaire d'avoir trouvé des façons d'économiser et pensé à d'autres sources de rentrées. La réduction des coûts liés à l'exploitation d'un aéroport se traduit par une possibilité de services accrus pour la communauté, puisque les aéroports sont un catalyseur de la croissance économique, a précisé M. Brewer.
Air Canada demande maintenant au gouvernement fédéral de suivre l'exemple de la GTAA et d'abaisser le coût des loyers qu'il exige aux aéroports chaque année. Ces loyers représentent des recettes de 2 G$ pour le gouvernement, mais Ottawa dispose de cet argent comme de tout autre revenu plutôt que de l'investir dans l'expansion des services aériens. En fin de compte, il s'agit d'une forme d'impôt régressif qui ralentit la croissance économique."