Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air Canada
Air Canada a annoncé aujourd'hui pour le troisième trimestre de 2019 un BAIIA1) (bénéfice avant intérêts, impôts et dotation aux amortissements et aux pertes de valeur) de 1,472 G$, comparativement au BAIIA de 1,351 G$ enregistré au troisième trimestre de 2018, soit une hausse de 121 M$ (+9 %). La Société a constaté un bénéfice d'exploitation de 956 M$ pour le troisième trimestre de 2019, contre 923 M$ au troisième trimestre de 2018.
« Je suis heureux d'annoncer que le troisième trimestre a été excellent pour Air Canada, avec des produits d'exploitation sans précédent de près de 5,6 G$ et des liquidités record d'environ 7,4 G$. Impressionnants en soi, ces résultats sont d'autant plus remarquables qu'ils ont été atteints malgré les graves perturbations visant nos activités et notre structure de coûts qu'a entraînées l'interdiction de vol des appareils 737 MAX de Boeing. Notre performance sans précédent atteste l'inventivité, la compétence et le dévouement de l'ensemble de l'équipe d'Air Canada. Je tiens à la féliciter et à la remercier des efforts sans relâche déployés pour prendre soin de notre clientèle depuis que les appareils 737 MAX sont interdits de vol, a indiqué Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air Canada.
« Au cours du trimestre, notre société aérienne a obtenu d'excellents résultats à l'égard des mesures financières clés. Ainsi, le BAIIA s'est établi à 1,472 G$, en hausse de 9 % par rapport à l'exercice précédent, et les produits d'exploitation comme les rendements unitaires ont affiché une progression. Notre ratio de levier financier1) s'est établi à 0,8 à la clôture du trimestre, en baisse de 50 % depuis le 31 décembre 2018. Cette amélioration considérable de notre bilan avait été soulignée plus tôt cette année, et de nouveau au troisième trimestre, par les principales agences de notation du crédit, qui ont relevé nos notations pour les placer à un seul échelon de notre objectif, soit une cote de qualité supérieure.
« Grâce à des efforts considérables et un travail d'équipe soutenu, nous avons su gérer l'enjeu extrêmement épineux qu'est l'immobilisation au sol des appareils 737 MAX de Boeing depuis bientôt huit mois, notamment en modifiant il y a peu notre horaire afin de retirer ces appareils jusqu'au 14 février 2020 et en procédant à la location avec équipage de deux appareils A330 d'Airbus afin de nous assurer une capacité suffisante pour la période hivernale. En revanche, le retrait de 36 appareils 737 MAX normalement prévus durant notre saison de pointe estivale a eu des répercussions défavorables sur nos finances, notre réseau, notre gamme de produits et nos ressources humaines, et l'immobilisation au sol de ces appareils nous empêche de réaliser notre plein potentiel, d'ajouter M. Rovinescu.
« Je demeure néanmoins convaincu que, si les organismes de réglementation lèvent l'interdiction de vol à court terme, notre programme de transformation en cours retrouvera sans tarder sa précédente vitesse de croisière. C'est pourquoi nous avons décidé pour l'heure de ne pas modifier les objectifs financiers à long terme présentés à la dernière Journée des investisseurs. Ma confiance en l'avenir est fondée dans une large mesure sur le professionnalisme dont a fait montre notre personnel durant cette période d'interdiction de vol, outre la loyauté indéfectible de notre clientèle. Je tiens donc à remercier nos employés, pour leur engagement à l'égard d'Air Canada, aussi bien que nos clients, pour leur soutien.
« Par ailleurs, nous nous réjouissons vivement du fait que, durant le troisième trimestre, les actionnaires de Transat A.T. aient approuvé à près de 95 % la convention d'acquisition définitive conclue avec Air Canada. Cette majorité décisive souligne les nombreux avantages pour l'ensemble des parties prenantes de ce projet de fusion, lequel demeure assujetti à l'approbation des organismes de réglementation et à la satisfaction des conditions d'usage, a conclu M. Rovinescu. »
« Je suis heureux d'annoncer que le troisième trimestre a été excellent pour Air Canada, avec des produits d'exploitation sans précédent de près de 5,6 G$ et des liquidités record d'environ 7,4 G$. Impressionnants en soi, ces résultats sont d'autant plus remarquables qu'ils ont été atteints malgré les graves perturbations visant nos activités et notre structure de coûts qu'a entraînées l'interdiction de vol des appareils 737 MAX de Boeing. Notre performance sans précédent atteste l'inventivité, la compétence et le dévouement de l'ensemble de l'équipe d'Air Canada. Je tiens à la féliciter et à la remercier des efforts sans relâche déployés pour prendre soin de notre clientèle depuis que les appareils 737 MAX sont interdits de vol, a indiqué Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air Canada.
« Au cours du trimestre, notre société aérienne a obtenu d'excellents résultats à l'égard des mesures financières clés. Ainsi, le BAIIA s'est établi à 1,472 G$, en hausse de 9 % par rapport à l'exercice précédent, et les produits d'exploitation comme les rendements unitaires ont affiché une progression. Notre ratio de levier financier1) s'est établi à 0,8 à la clôture du trimestre, en baisse de 50 % depuis le 31 décembre 2018. Cette amélioration considérable de notre bilan avait été soulignée plus tôt cette année, et de nouveau au troisième trimestre, par les principales agences de notation du crédit, qui ont relevé nos notations pour les placer à un seul échelon de notre objectif, soit une cote de qualité supérieure.
« Grâce à des efforts considérables et un travail d'équipe soutenu, nous avons su gérer l'enjeu extrêmement épineux qu'est l'immobilisation au sol des appareils 737 MAX de Boeing depuis bientôt huit mois, notamment en modifiant il y a peu notre horaire afin de retirer ces appareils jusqu'au 14 février 2020 et en procédant à la location avec équipage de deux appareils A330 d'Airbus afin de nous assurer une capacité suffisante pour la période hivernale. En revanche, le retrait de 36 appareils 737 MAX normalement prévus durant notre saison de pointe estivale a eu des répercussions défavorables sur nos finances, notre réseau, notre gamme de produits et nos ressources humaines, et l'immobilisation au sol de ces appareils nous empêche de réaliser notre plein potentiel, d'ajouter M. Rovinescu.
« Je demeure néanmoins convaincu que, si les organismes de réglementation lèvent l'interdiction de vol à court terme, notre programme de transformation en cours retrouvera sans tarder sa précédente vitesse de croisière. C'est pourquoi nous avons décidé pour l'heure de ne pas modifier les objectifs financiers à long terme présentés à la dernière Journée des investisseurs. Ma confiance en l'avenir est fondée dans une large mesure sur le professionnalisme dont a fait montre notre personnel durant cette période d'interdiction de vol, outre la loyauté indéfectible de notre clientèle. Je tiens donc à remercier nos employés, pour leur engagement à l'égard d'Air Canada, aussi bien que nos clients, pour leur soutien.
« Par ailleurs, nous nous réjouissons vivement du fait que, durant le troisième trimestre, les actionnaires de Transat A.T. aient approuvé à près de 95 % la convention d'acquisition définitive conclue avec Air Canada. Cette majorité décisive souligne les nombreux avantages pour l'ensemble des parties prenantes de ce projet de fusion, lequel demeure assujetti à l'approbation des organismes de réglementation et à la satisfaction des conditions d'usage, a conclu M. Rovinescu. »