Communiqué Air France
Air France a franchi aujourd’hui un cap symbolique en accueillant son 10ème Airbus A220-300, dernier fleuron de sa flotte moyen-courrier.
Immatriculé F-HZUJ, l’avion est sorti des chaînes d’assemblage d’Airbus à Mirabel (Québec) et a rejoint Paris-Charles de Gaulle, d’où il assurera les vols court- et moyen-courrier de la compagnie. Il effectuera son premier vol commercial le 5 juillet 2022, en s’envolant vers Venise (vol AF1126).
L’appareil arbore à l’avant du fuselage son nom de baptême, « Auvers-sur-Oise », en référence à cette commune située au nord de Paris et connue internationalement grâce aux œuvres des peintres paysagistes et impressionnistes Paul Cézanne, Camille Corot et Vincent Van Gogh. Le peintre néerlandais a passé ses derniers jours à Auvers-sur-Oise, une période d’intense créativité.
Depuis 2019 et la livraison de son premier Airbus A350, Air France renoue avec la tradition de baptiser ses avions du nom de villes françaises. Auvers-sur-Oise est la 96ème ville à être mise à l’honneur sur les appareils de la compagnie.
D’ici fin 2025, 60 A220-300 remplaceront progressivement une partie des appareils moyen-courrier d’Air France. Avec jusqu’à 15 livraisons attendues chaque année, il s’agit de l’entrée en flotte la plus rapide de l’histoire d’Air France.
Un avion performant sur le plan économique et environnemental
Monocouloir le plus innovant et le plus performant de sa catégorie, l’Airbus A220-300 est parfaitement adapté au réseau court et moyen-courrier d’Air France. Il offre une réduction du coût au siège de 10 % par rapport aux Airbus A318 et A319 et se distingue par ses performances énergétiques : il consomme 20 % de carburant en moins que les appareils qu’il remplace et ses émissions de CO2 sont également réduites de 20 %. Son empreinte sonore est par ailleurs inférieure de 34%.
Ces caractéristiques joueront un rôle déterminant dans la réduction de l’empreinte environnementale d’Air France et l’atteinte de ses objectifs en matière de développement durable.
Dans le cadre du programme « Air France ACT », la compagnie vise une réduction de 30 % des émissions de CO2 par passager-km d’ici 2030 par rapport à 2019. Cet objectif exclut les actions dites de « compensation », afin de ne prendre en compte que les mesures de stricte réduction d’émissions directes et indirectes.
Un confort optimal à bord
Cet appareil dispose de 148 sièges, dans une configuration 3-2 permettant à 80% des clients de bénéficier d’une place côté hublot ou côté couloir. Le fauteuil est le plus large du marché pour un avion monocouloir. Inclinable et doté d’une têtière ajustable, il est recouvert de cuir et dispose de mousses ergonomiques pour plus de confort. Large tablette monobloc, porte gobelet, pochette littérature, prises USB A et C individuelles et support tablette ou smartphone intégré au dossier complètent l’ensemble.
La cabine, la plus spacieuse et la plus lumineuse de sa catégorie, se décline dans les couleurs identitaires d’Air France : camaïeux de bleu, forte présence de blanc apportant lumière et contraste, touches de rouge incarnant l’excellence et le savoir-faire de la compagnie. Le couloir central, particulièrement large, facilite les déplacements. La moquette au sol revisite le traditionnel motif ornemental à chevrons, symbolisant ainsi l’emblématique univers haussmannien des appartements parisiens. De larges hublots panoramiques favorisent une lumière naturelle tout au long du voyage. Enfin, les coffres à bagage spacieux permettent un chargement des valises facile.
Cap vers l’Europe
Cet été, l’Airbus A220-300 d’Air France s’envole vers Berlin, Hambourg et Munich (Allemagne), Milan-Linate, Milan-Malpensa, Bologne, Rome, Naples et Venise (Italie), Barcelone, Valence et Madrid (Espagne), Lisbonne (Portugal), Copenhague (Danemark), Athènes (Grèce), Helsinki (Finlande), Vienne (Autriche), Varsovie (Pologne) et Stockholm (Suède) au départ du hub d’Air France à Paris-Charles de Gaulle.
Immatriculé F-HZUJ, l’avion est sorti des chaînes d’assemblage d’Airbus à Mirabel (Québec) et a rejoint Paris-Charles de Gaulle, d’où il assurera les vols court- et moyen-courrier de la compagnie. Il effectuera son premier vol commercial le 5 juillet 2022, en s’envolant vers Venise (vol AF1126).
L’appareil arbore à l’avant du fuselage son nom de baptême, « Auvers-sur-Oise », en référence à cette commune située au nord de Paris et connue internationalement grâce aux œuvres des peintres paysagistes et impressionnistes Paul Cézanne, Camille Corot et Vincent Van Gogh. Le peintre néerlandais a passé ses derniers jours à Auvers-sur-Oise, une période d’intense créativité.
Depuis 2019 et la livraison de son premier Airbus A350, Air France renoue avec la tradition de baptiser ses avions du nom de villes françaises. Auvers-sur-Oise est la 96ème ville à être mise à l’honneur sur les appareils de la compagnie.
D’ici fin 2025, 60 A220-300 remplaceront progressivement une partie des appareils moyen-courrier d’Air France. Avec jusqu’à 15 livraisons attendues chaque année, il s’agit de l’entrée en flotte la plus rapide de l’histoire d’Air France.
Un avion performant sur le plan économique et environnemental
Monocouloir le plus innovant et le plus performant de sa catégorie, l’Airbus A220-300 est parfaitement adapté au réseau court et moyen-courrier d’Air France. Il offre une réduction du coût au siège de 10 % par rapport aux Airbus A318 et A319 et se distingue par ses performances énergétiques : il consomme 20 % de carburant en moins que les appareils qu’il remplace et ses émissions de CO2 sont également réduites de 20 %. Son empreinte sonore est par ailleurs inférieure de 34%.
Ces caractéristiques joueront un rôle déterminant dans la réduction de l’empreinte environnementale d’Air France et l’atteinte de ses objectifs en matière de développement durable.
Dans le cadre du programme « Air France ACT », la compagnie vise une réduction de 30 % des émissions de CO2 par passager-km d’ici 2030 par rapport à 2019. Cet objectif exclut les actions dites de « compensation », afin de ne prendre en compte que les mesures de stricte réduction d’émissions directes et indirectes.
Un confort optimal à bord
Cet appareil dispose de 148 sièges, dans une configuration 3-2 permettant à 80% des clients de bénéficier d’une place côté hublot ou côté couloir. Le fauteuil est le plus large du marché pour un avion monocouloir. Inclinable et doté d’une têtière ajustable, il est recouvert de cuir et dispose de mousses ergonomiques pour plus de confort. Large tablette monobloc, porte gobelet, pochette littérature, prises USB A et C individuelles et support tablette ou smartphone intégré au dossier complètent l’ensemble.
La cabine, la plus spacieuse et la plus lumineuse de sa catégorie, se décline dans les couleurs identitaires d’Air France : camaïeux de bleu, forte présence de blanc apportant lumière et contraste, touches de rouge incarnant l’excellence et le savoir-faire de la compagnie. Le couloir central, particulièrement large, facilite les déplacements. La moquette au sol revisite le traditionnel motif ornemental à chevrons, symbolisant ainsi l’emblématique univers haussmannien des appartements parisiens. De larges hublots panoramiques favorisent une lumière naturelle tout au long du voyage. Enfin, les coffres à bagage spacieux permettent un chargement des valises facile.
Cap vers l’Europe
Cet été, l’Airbus A220-300 d’Air France s’envole vers Berlin, Hambourg et Munich (Allemagne), Milan-Linate, Milan-Malpensa, Bologne, Rome, Naples et Venise (Italie), Barcelone, Valence et Madrid (Espagne), Lisbonne (Portugal), Copenhague (Danemark), Athènes (Grèce), Helsinki (Finlande), Vienne (Autriche), Varsovie (Pologne) et Stockholm (Suède) au départ du hub d’Air France à Paris-Charles de Gaulle.