Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a fait appel à l'armée de l'air pour acheminer les passagers coincés à Brasilia en ce week-end de fête: huit avions militaires (des Boeing 707 et 737 et des Embraer 145) vont relier la capitale à Sao Paulo et Rio de Janeiro.
Plus de 700 passagers seront ainsi transportés. Les frais seront imputés aux compagnies aériennes civiles qui ont dû faire face ces derniers jours à des problèmes mécaniques, météorologiques et sociaux -une grève des aiguilleurs du ciel.
Un véritable cauchemar pour les voyageurs, dont certains ont craqué. Une femme a ainsi jeté un ordinateur sur des employés de l'aéroport de Rio de Janeiro car elle ne pouvait pas embarquer. Elle a ensuite été maîtrisée par la police.
L'Agence nationale de l'aviation civile a suspendu les ventes de billets de la Tam Linhas Aereas, la principale compagnie du pays, dont au moins six appareils ont connu des soucis techniques ou météorologiques, ce qui a provoqué des retards pouvant atteindre 12 heures. "Les améliorations prévues dans le traitement des passagers ne se sont pas produites, des retards persistent", a observé l'ANAC.
Vendredi, une trentaine de passagers ont envahi le tarmac de l'aéroport de Brasilia en scandant "On veut un avion", avant d'être évacués dans le calme par la police.
Plus de 700 passagers seront ainsi transportés. Les frais seront imputés aux compagnies aériennes civiles qui ont dû faire face ces derniers jours à des problèmes mécaniques, météorologiques et sociaux -une grève des aiguilleurs du ciel.
Un véritable cauchemar pour les voyageurs, dont certains ont craqué. Une femme a ainsi jeté un ordinateur sur des employés de l'aéroport de Rio de Janeiro car elle ne pouvait pas embarquer. Elle a ensuite été maîtrisée par la police.
L'Agence nationale de l'aviation civile a suspendu les ventes de billets de la Tam Linhas Aereas, la principale compagnie du pays, dont au moins six appareils ont connu des soucis techniques ou météorologiques, ce qui a provoqué des retards pouvant atteindre 12 heures. "Les améliorations prévues dans le traitement des passagers ne se sont pas produites, des retards persistent", a observé l'ANAC.
Vendredi, une trentaine de passagers ont envahi le tarmac de l'aéroport de Brasilia en scandant "On veut un avion", avant d'être évacués dans le calme par la police.