La délégation du Salvador: Esther van Dort (Epic Tours), Daniella Lopez Celarié (Green blue Red), Jorge Menjivar (AST Adventure Sports Tours), Beatriz Garcia (Decameron), Alicia Aragon (Corporation tourisme du Salvador, Corsatur)
Par Nathalie De Grandmont -------- Hier soir, l'hôtel Hyatt Regency accueillait la toute première tournée de familiarisation ("road show") du Salvador au Canada. Après avoir fait quelques escales sur la côte ouest et sur la côte est des États-Unis, la délégation salvadorienne avait donc choisi de mettre le cap sur le Canada, pour s'arrêter à Toronto et Montréal. Cette délégation était pilotée par Dana Ullman, de l'agence Cotidiana, de même que par Roberto Ayala et Alicia Aragon, de la Corporation de tourisme du Salvador (Corsatur). Pour cette première incursion au Canada, ils étaient accompagnés par des représentants d'un hôtel (le Decameron) et de trois compagnies réceptives très impliquées au Salvador: Epic Tours, AST Adventure Sports Tours et Green Blue Red.
"Depuis trois ans, on sent vraiment que le gouvernement salvadorien veut mettre les bouchées doubles pour placer le pays sur la carte touristique;" expliquait Dana Ullman. "Ils ont commencé à organiser des salons professionnels au Salvador, puis ont débuté des tournées comme celles-ci, qui ont pris de l'ampleur d'une année à l'autre."
Chose certaine, même si la communauté des agents de voyages était très sollicitée hier soir (par de nombreux événements simultanés), la trentaine de conseillers et de voyagistes présents semblaient tous très curieux d'en découvrir davantage sur ce petit pays d'Amérique centrale...
"Depuis trois ans, on sent vraiment que le gouvernement salvadorien veut mettre les bouchées doubles pour placer le pays sur la carte touristique;" expliquait Dana Ullman. "Ils ont commencé à organiser des salons professionnels au Salvador, puis ont débuté des tournées comme celles-ci, qui ont pris de l'ampleur d'une année à l'autre."
Chose certaine, même si la communauté des agents de voyages était très sollicitée hier soir (par de nombreux événements simultanés), la trentaine de conseillers et de voyagistes présents semblaient tous très curieux d'en découvrir davantage sur ce petit pays d'Amérique centrale...
Roberto Ayala, agent d'information pour la Corporation de tourisme du Salvador (Corsatur)
Nature, plages et histoire...
Les agents de voyages ne sont pas les seuls à manifester de plus en plus d'intérêt envers le Salvador. Lors de sa présentation, Roberto Ayala, agent d'information pour la Corporation de tourisme, expliquait que 34 000 Canadiens ont visité ce pays en 2014. En réponse à une question, il précisait que "plusieurs d'entre eux sont attirés par les températures clémentes, les plages et l'écotourisme." Étant situé sur la côte du Pacifique, le Salvador possède en effet 300 kilomètres de plages. "Par contre, ajoutait-il, plusieurs d'entre elles sont couvertes de sable noir ou gris (d'origine volcanique) alors que la plage de Los cobanos - celle où se trouve un hôtel tout-inclus de la chaîne Decameron - possède un beau sable doré et borde le plus grand récif de corail du Pacifique nord."
Comme le confirmaient les intervenants invités et les images qui nous ont été présentées, il s'avère assez évident que le Salvador possède aussi beaucoup d'atouts pour plaire aux amateurs d'aventure douce, de randonnée et d'écotourisme. Malgré sa petite taille, le pays compte au moins une trentaine d'aires naturelles protégées, de nombreux lacs et forêts tropicales, plus 25 volcans visibles, dont 5 qui demeurent encore actifs et que les visiteurs peuvent approcher, en compagnie de guides expérimentés. Certains de ces volcans se trouvent même à moins d'une demi-heure de la capitale, San Salvador. L'un d'eux, le volcan Santa Ana, est aussi bordé par un lac remarquable - le lac Coatepeque, où l'on peut se baigner et faire de la plongée en apnée, à tout moment de l'année. De plus, comme le précisait monsieur Ayala, les amateurs d'écotourisme peuvent aussi observer de nombreux dauphins et baleines (de nov. à mars), dans plusieurs régions de la côte. A plusieurs endroits, la côte salvadorienne fait aussi le bonheur des amateurs de surf; comme nous l'apprenait l'agence réceptive AST, qui se spécialise dans les forfaits d'aventure.
Les agents de voyages ne sont pas les seuls à manifester de plus en plus d'intérêt envers le Salvador. Lors de sa présentation, Roberto Ayala, agent d'information pour la Corporation de tourisme, expliquait que 34 000 Canadiens ont visité ce pays en 2014. En réponse à une question, il précisait que "plusieurs d'entre eux sont attirés par les températures clémentes, les plages et l'écotourisme." Étant situé sur la côte du Pacifique, le Salvador possède en effet 300 kilomètres de plages. "Par contre, ajoutait-il, plusieurs d'entre elles sont couvertes de sable noir ou gris (d'origine volcanique) alors que la plage de Los cobanos - celle où se trouve un hôtel tout-inclus de la chaîne Decameron - possède un beau sable doré et borde le plus grand récif de corail du Pacifique nord."
Comme le confirmaient les intervenants invités et les images qui nous ont été présentées, il s'avère assez évident que le Salvador possède aussi beaucoup d'atouts pour plaire aux amateurs d'aventure douce, de randonnée et d'écotourisme. Malgré sa petite taille, le pays compte au moins une trentaine d'aires naturelles protégées, de nombreux lacs et forêts tropicales, plus 25 volcans visibles, dont 5 qui demeurent encore actifs et que les visiteurs peuvent approcher, en compagnie de guides expérimentés. Certains de ces volcans se trouvent même à moins d'une demi-heure de la capitale, San Salvador. L'un d'eux, le volcan Santa Ana, est aussi bordé par un lac remarquable - le lac Coatepeque, où l'on peut se baigner et faire de la plongée en apnée, à tout moment de l'année. De plus, comme le précisait monsieur Ayala, les amateurs d'écotourisme peuvent aussi observer de nombreux dauphins et baleines (de nov. à mars), dans plusieurs régions de la côte. A plusieurs endroits, la côte salvadorienne fait aussi le bonheur des amateurs de surf; comme nous l'apprenait l'agence réceptive AST, qui se spécialise dans les forfaits d'aventure.
Comme le Salvador faisait aussi partie du Monde maya, il a également hérité d'un vaste patrimoine culturel et archéologique. Aujourd'hui encore, on y dénombre plus de 1000 sites archéologiques dont 5 parcs archéologiques principaux, qui disposent des infrastructures - et des guides - nécessaires pour accueillir les visiteurs.
"Dans celui de Joya de Cerén, par exemple, on peut véritablement comprendre et imaginer la vie quotidienne des Mayas à l'époque", expliquait Roberto Ayala.
A cela s'ajoutent aussi des villes coloniales, des communautés agricoles qui accueillent les visiteurs (notamment par le biais de l'agence réceptive Green Blue Red), sans parler des nombreuses traditions et fêtes colorées.
Comme le rappelait hier Dana Ullman, de l'agence Cotidiana, le Salvador est notamment desservi par le transporteur Avianca, qui propose des vols quotidiens à partir de Toronto.
"Dans celui de Joya de Cerén, par exemple, on peut véritablement comprendre et imaginer la vie quotidienne des Mayas à l'époque", expliquait Roberto Ayala.
A cela s'ajoutent aussi des villes coloniales, des communautés agricoles qui accueillent les visiteurs (notamment par le biais de l'agence réceptive Green Blue Red), sans parler des nombreuses traditions et fêtes colorées.
Comme le rappelait hier Dana Ullman, de l'agence Cotidiana, le Salvador est notamment desservi par le transporteur Avianca, qui propose des vols quotidiens à partir de Toronto.