L’exposition Costa Rica, terre de merveilles, réalisée par Pointe-à-Callière en partenariat avec le Museo Nacional de Costa Rica à San José, se termine le dimanche 19 avril prochain. Il ne reste donc plus que quelques semaines pour voir ou revoir cette exposition exceptionnelle qui présente pour la première fois en terre canadienne près de 230 objets précieux en or, jade, céramique fine et pierre ciselée d’une rare beauté et d’une grande finesse provenant du Costa Rica précolombien.
Costa Rica, terre de merveilles a connu beaucoup de succès tout au long de sa présentation chez le grand public et des nombreux visiteurs de Pointe-à-Callière. Les mois de janvier et de février ont été très populaires auprès du public qui a su profiter de la promotion des weekends sous zéro durant ces deux mois. Les visiteurs sont saisis par la beauté de ce pays dont la faune est fortement représentée dans les nombreux objets de l’exposition. Dans une muséographie rappelant l’ambiance de la forêt tropicale et les mystères d’une civilisation méconnue, l’exposition démontre que le Costa Rica précolombien (qui précède l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique) mérite pleinement, par son archéologie, son appellation de « côte riche ».
L’exotisme au rendez-vous
Costa Rica, terre de merveilles s’intéresse à l’histoire de ce pays, sur une période d’environ 2000 ans, du 5e siècle avant notre ère jusqu’à l’arrivée de Christophe Colomb en 1502. Les visiteurs découvrent la diversité des grandes régions du pays grâce aux objets qui en proviennent : des vases à formes humaines et animales admirablement exécutés, des pendentifs en jade délicatement taillés, des parures en or d’une grande finesse et des objets en pierre symbolisant les traditions des populations. À tous points de vue, les découvertes sont saisissantes.
Une collaboration fructueuse
La présence exceptionnelle de ces objets à Montréal n’aurait pu se faire sans la grande collaboration du Museo Nacional de Costa Rica. Le Musée de San José rend ainsi accessible au public nord-américain l’histoire peu connue, mais combien fascinante de ce pays. Un heureux partenariat pour Pointe-à-Callière qui désire ainsi faire connaître au public d’ici les grandes civilisations du monde. Ce projet a aussi bénéficié de la collaboration de l’archéologue Claude Chapdelaine, professeur à l’Université de Montréal et qui mène depuis plusieurs années des recherches archéologiques en Amérique latine.
Costa Rica, terre de merveilles a connu beaucoup de succès tout au long de sa présentation chez le grand public et des nombreux visiteurs de Pointe-à-Callière. Les mois de janvier et de février ont été très populaires auprès du public qui a su profiter de la promotion des weekends sous zéro durant ces deux mois. Les visiteurs sont saisis par la beauté de ce pays dont la faune est fortement représentée dans les nombreux objets de l’exposition. Dans une muséographie rappelant l’ambiance de la forêt tropicale et les mystères d’une civilisation méconnue, l’exposition démontre que le Costa Rica précolombien (qui précède l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique) mérite pleinement, par son archéologie, son appellation de « côte riche ».
L’exotisme au rendez-vous
Costa Rica, terre de merveilles s’intéresse à l’histoire de ce pays, sur une période d’environ 2000 ans, du 5e siècle avant notre ère jusqu’à l’arrivée de Christophe Colomb en 1502. Les visiteurs découvrent la diversité des grandes régions du pays grâce aux objets qui en proviennent : des vases à formes humaines et animales admirablement exécutés, des pendentifs en jade délicatement taillés, des parures en or d’une grande finesse et des objets en pierre symbolisant les traditions des populations. À tous points de vue, les découvertes sont saisissantes.
Une collaboration fructueuse
La présence exceptionnelle de ces objets à Montréal n’aurait pu se faire sans la grande collaboration du Museo Nacional de Costa Rica. Le Musée de San José rend ainsi accessible au public nord-américain l’histoire peu connue, mais combien fascinante de ce pays. Un heureux partenariat pour Pointe-à-Callière qui désire ainsi faire connaître au public d’ici les grandes civilisations du monde. Ce projet a aussi bénéficié de la collaboration de l’archéologue Claude Chapdelaine, professeur à l’Université de Montréal et qui mène depuis plusieurs années des recherches archéologiques en Amérique latine.