Selon l'agence Reuters, citant des sources, le Gouvernement cubain serait à reprendre le contrôle sur l'industrie du tourisme, secteur dont la croissance spectaculaire symbolise les réformes des années 90.
Des douzaines de dirigeants du secteur tourisme auraient été retirés de leur fonctions et le ministère du tourisme aurait commencé à fusionner 4 importantes entreprises de tourisme détenues par l'État et qui contrôlent 30,000 chambres d'hôtel.
Le dirigeant d'une firme étrangère impliquée dans une "joint venture" avec Cuba aurait exprimé son mécontentement, indiquant toutefois que les affaires demeuraient solides.
"Nous ne sommes pas contents mais nous attendons de voir. On nous tient dans l'ignorance totaler" aurait déclaré le dirigeant sous le couvert de l'anonymat.
Selon Reuters, le parti communiste maintient que les réformes qui ont permis le succès du développement touristique de l' Ïle ont encouragé la corruption au sein du Gouvernement et des entreprises et ont nourri ce qu'il voit comme la montée d'une idéologie capitaliste .
L'industrie du tourisme a été divisée en six corporations principales détenues par l'État, dont 4 ,- Cubanacan, Gran Caribe, Horizontes et Isla Azul - exercent un contrôle sur 75% des chambres d'hôtel du pays.
Le plan de restructuration prévoirait la fusion de la plupart, sinon de toutes les activités de ces 4 grandes compagnies, sous la gouverne d'un super ministère, aurait déclaré un économiste cubain.
Reuters n'a pas été en mesure de communiquer avec les responsables cubains pour confirmer.
Un nouveau ministre du tourisme, Manuel Marrero, ancien dirigeant de Gaviota, une compagnie contrôlée par l'armée, selon Reuters, a été nommé en février et aurait été placé là pour resserrer le contrôle du gouvernement sur le secteur civil. "Il est plus dur et a été placé là pour enrayer la corruption" aurait déclaré un tour opérateur étranger.
Le Président de Gran Caribe hotels, Alexis Escobar, aurait été remplacé la semaine dernière, comme l'ont été avant, l'ancien ministre du tourisme, Ibrahim Ferradaz, 4 vice- ministres, le patron de Cubanacan et le patron d' Horizontes affirme Reuter.
Ces mouvements et la pression accrue des américains en matière de restrictions des voyages dans le cadre de l'embargo qui dure depuis maintenant 40 ans, n'ont pas altéré le succès de la destination qui enregistre cette année une croissance de 12% de ses arrivées.
(Source: Reuters)
Des douzaines de dirigeants du secteur tourisme auraient été retirés de leur fonctions et le ministère du tourisme aurait commencé à fusionner 4 importantes entreprises de tourisme détenues par l'État et qui contrôlent 30,000 chambres d'hôtel.
Le dirigeant d'une firme étrangère impliquée dans une "joint venture" avec Cuba aurait exprimé son mécontentement, indiquant toutefois que les affaires demeuraient solides.
"Nous ne sommes pas contents mais nous attendons de voir. On nous tient dans l'ignorance totaler" aurait déclaré le dirigeant sous le couvert de l'anonymat.
Selon Reuters, le parti communiste maintient que les réformes qui ont permis le succès du développement touristique de l' Ïle ont encouragé la corruption au sein du Gouvernement et des entreprises et ont nourri ce qu'il voit comme la montée d'une idéologie capitaliste .
L'industrie du tourisme a été divisée en six corporations principales détenues par l'État, dont 4 ,- Cubanacan, Gran Caribe, Horizontes et Isla Azul - exercent un contrôle sur 75% des chambres d'hôtel du pays.
Le plan de restructuration prévoirait la fusion de la plupart, sinon de toutes les activités de ces 4 grandes compagnies, sous la gouverne d'un super ministère, aurait déclaré un économiste cubain.
Reuters n'a pas été en mesure de communiquer avec les responsables cubains pour confirmer.
Un nouveau ministre du tourisme, Manuel Marrero, ancien dirigeant de Gaviota, une compagnie contrôlée par l'armée, selon Reuters, a été nommé en février et aurait été placé là pour resserrer le contrôle du gouvernement sur le secteur civil. "Il est plus dur et a été placé là pour enrayer la corruption" aurait déclaré un tour opérateur étranger.
Le Président de Gran Caribe hotels, Alexis Escobar, aurait été remplacé la semaine dernière, comme l'ont été avant, l'ancien ministre du tourisme, Ibrahim Ferradaz, 4 vice- ministres, le patron de Cubanacan et le patron d' Horizontes affirme Reuter.
Ces mouvements et la pression accrue des américains en matière de restrictions des voyages dans le cadre de l'embargo qui dure depuis maintenant 40 ans, n'ont pas altéré le succès de la destination qui enregistre cette année une croissance de 12% de ses arrivées.
(Source: Reuters)