Environ 25 des quelque 85 plaques commémoratives du Vieux-Montréal ont disparu au cours des derniers mois, selon Le Devoir. Cette épidémie de vandalisme laisse les défenseurs du patrimoine aussi désolés que perplexes. Le Tour opérateur Tours Chanteclerc dont les bureaux sont situés sur la rue Notre Dame n'a pas échappé à la vague d'enlèvements. La magnifique plaque de bronze à l'effigie du grossiste, qui ornait l'entrée du bâtiment, a disparu !
Selon Canoe.com, l'action est planifiée et bien organisée. Dans certains cas, les voleurs ont même utilisé des outils de qualité pour sectionner les attaches et les ancrages.
La semaine dernière, la plaque commémorative du premier maire de Montréal, scellée sur l'hôtel de ville depuis 1933, a été arrachée et volée. Un médaillon en relief à l'effigie de Jacques Viger ornait le centre du grand rectangle de bronze.
En face de l'hôtel de ville, la plaque commémorative de Claude de Ramezay et du petit château qui porte son nom a également disparu. Celle-là datait de 1939.
Un peu plus à l'ouest, rue Saint-Sacrement, le «marqueur de mémoire» installé sur l'ancienne permanence du Devoir a aussi été arraché et emporté. Le texte coulé dans le bronze rappelait la fondation du journal par Henri Bourassa.
Les propriétaires de certains immeubles mutilés ont alerté la police au cours des dernières semaines.
L'enquête progresse, selon la police de Montréal.
(avec Canoe.com)
Selon Canoe.com, l'action est planifiée et bien organisée. Dans certains cas, les voleurs ont même utilisé des outils de qualité pour sectionner les attaches et les ancrages.
La semaine dernière, la plaque commémorative du premier maire de Montréal, scellée sur l'hôtel de ville depuis 1933, a été arrachée et volée. Un médaillon en relief à l'effigie de Jacques Viger ornait le centre du grand rectangle de bronze.
En face de l'hôtel de ville, la plaque commémorative de Claude de Ramezay et du petit château qui porte son nom a également disparu. Celle-là datait de 1939.
Un peu plus à l'ouest, rue Saint-Sacrement, le «marqueur de mémoire» installé sur l'ancienne permanence du Devoir a aussi été arraché et emporté. Le texte coulé dans le bronze rappelait la fondation du journal par Henri Bourassa.
Les propriétaires de certains immeubles mutilés ont alerté la police au cours des dernières semaines.
L'enquête progresse, selon la police de Montréal.
(avec Canoe.com)