Les rues de Paris étaient, très tôt mercredi matin, prises d'assaut par des milliers de piétons, d'automobilistes et de cyclistes, le transport en commun étant fortement perturbé par la grève qui s'est amorcée quelques heures auparavant.
Ainsi, vers 8 h 30, ce sont environ 360 kilomètres de bouchons, contre 250 kilomètres en jour normal, qui s'étaient formés sur les grandes routes françaises, essentiellement autour de la capitale.
Selon les responsables du métro parisien, seul un métro sur cinq et à peine 15 % des autobus circulaient normalement mercredi matin. Le service dans les banlieues, lui, était pratiquement inexistant.
Cependant, la plupart des éditorialistes français estiment qu'il y a de bonnes chances que le gouvernement Sarkozy puisse s'entendre assez rapidement avec des grévistes qui, selon les derniers sondages, sont loin d'avoir l'appui de la population française.
Déjà, les syndicats ont fait preuve d'ouverture, mardi, en proposant, contrairement à ce qu'ils préconisaient pourtant quelques jours plus tôt, de mener des discussions distinctes sur chacun des « régimes spéciaux », et non plus globalement. Cette proposition a été accueillie favorablement par le ministre du Travail, Xavier Bertrand, qui recevait les syndicats mercredi matin.
Outre les cheminots (SNCF), qui ont cessé de travailler mardi soir, les conducteurs du métro parisien (RATP), ainsi que les employés d'Électricité de France (EDF) et de Gaz de France (GDF) sont en grève mercredi.
Un premier coup de semonce des syndicats avait paralysé le réseau de transport français lors d'une première journée de grève, le 18 octobre dernier.
(source Radio Canada)
Ainsi, vers 8 h 30, ce sont environ 360 kilomètres de bouchons, contre 250 kilomètres en jour normal, qui s'étaient formés sur les grandes routes françaises, essentiellement autour de la capitale.
Selon les responsables du métro parisien, seul un métro sur cinq et à peine 15 % des autobus circulaient normalement mercredi matin. Le service dans les banlieues, lui, était pratiquement inexistant.
Cependant, la plupart des éditorialistes français estiment qu'il y a de bonnes chances que le gouvernement Sarkozy puisse s'entendre assez rapidement avec des grévistes qui, selon les derniers sondages, sont loin d'avoir l'appui de la population française.
Déjà, les syndicats ont fait preuve d'ouverture, mardi, en proposant, contrairement à ce qu'ils préconisaient pourtant quelques jours plus tôt, de mener des discussions distinctes sur chacun des « régimes spéciaux », et non plus globalement. Cette proposition a été accueillie favorablement par le ministre du Travail, Xavier Bertrand, qui recevait les syndicats mercredi matin.
Outre les cheminots (SNCF), qui ont cessé de travailler mardi soir, les conducteurs du métro parisien (RATP), ainsi que les employés d'Électricité de France (EDF) et de Gaz de France (GDF) sont en grève mercredi.
Un premier coup de semonce des syndicats avait paralysé le réseau de transport français lors d'une première journée de grève, le 18 octobre dernier.
(source Radio Canada)