Un message qui circule abondamment sur le web ces jours-ci interpelle ceux et celles qui, comme nous, sont bilingues et vivent et travaillent principalement en français au Canada.
"Dans le prochain recensement (le mardi 16 mai 2006), il est important pour les francophones d'indiquer qu'ils parlent le français seulement", indique le message. "Bien que le fait d'être bilingue soit un atout pour les francophones dans la plupart des situations, celle-ci les désavantage. Lorsque les gens se disent bilingues lors du recensement, les gouvernements ont tendance à prendre pour acquis, que les répondants sont 50 %, francophones et 50 % anglophones."
Les auteurs du message en concluent que "pour ne pas que les services offerts aux francophones diminuent, n'oubliez pas d'indiquer que vous parlez le français seulement!"
Les auteurs amènent la précision suivante : "Passez-vous le mot...Ce n'est pas simplement qu'ils ont "tendance" à croire que la moitié des répondants sont bilingues, mais plutôt, que Statistiques Canada ont conclu, de facto, que de tous les répondants, 50% des gens bilingues sont anglophones et 50% sont francophones et donc ils ne financent, pour la culture francophone, que le nombre qui représente la moitié des répondants bilingues, ce qui est incorrect et ce qui réduit également l'obligation financière du Fédéral envers la minorité."
Une hypothèse non vérifiable mais qui porte à réflexion. Vos commentaires sont les bienvenus.
"Dans le prochain recensement (le mardi 16 mai 2006), il est important pour les francophones d'indiquer qu'ils parlent le français seulement", indique le message. "Bien que le fait d'être bilingue soit un atout pour les francophones dans la plupart des situations, celle-ci les désavantage. Lorsque les gens se disent bilingues lors du recensement, les gouvernements ont tendance à prendre pour acquis, que les répondants sont 50 %, francophones et 50 % anglophones."
Les auteurs du message en concluent que "pour ne pas que les services offerts aux francophones diminuent, n'oubliez pas d'indiquer que vous parlez le français seulement!"
Les auteurs amènent la précision suivante : "Passez-vous le mot...Ce n'est pas simplement qu'ils ont "tendance" à croire que la moitié des répondants sont bilingues, mais plutôt, que Statistiques Canada ont conclu, de facto, que de tous les répondants, 50% des gens bilingues sont anglophones et 50% sont francophones et donc ils ne financent, pour la culture francophone, que le nombre qui représente la moitié des répondants bilingues, ce qui est incorrect et ce qui réduit également l'obligation financière du Fédéral envers la minorité."
Une hypothèse non vérifiable mais qui porte à réflexion. Vos commentaires sont les bienvenus.