Un retraité de l'Idaho propose des séjours bon marché, 5 dollars la nuit et 25 dollars par mois pour la location... d'une caverne. Il n'y a pas de service étage, pas de piscine, pas de four micro-ondes, pas de machine à café, pas de téléviseur, ni même l'électricité mais l'hébergement comprend un matelas et des bûches pour le chauffage, précise Richard Zimmerman, 89 ans, dans ses publicités.
Cet ancien ouvrier du bâtiment, surnommé "Dugout Dick" ("Le Dick des tranchées"), habite lui-même l'une de ces résidences qu'il a passé plusieurs dizaines d'années à creuser à flanc de colline, sur les hauteurs des rapides de Salmon river.
La dizaine de cavités mises en location par Zimmerman sont d'une trentaine de mètres de profondeur, consolidées à l'aide de pierres, de boue et de paille, et étayées par des troncs de sapin.
Le retraité, qui considérait qu'il était grand temps pour lui de passer du labeur aux affaires, a déjà accueilli quelques touristes étrangers, dont un Anglais et un Espagnol. Mais ils ne se sont pas habitués à la vie sous terre, avoue Zimmerman.
"Cela ne convient pas à tout le monde (...) mais je m'attends à ce que l'affaire décolle d'ici peu."
(source Yahoo)
Cet ancien ouvrier du bâtiment, surnommé "Dugout Dick" ("Le Dick des tranchées"), habite lui-même l'une de ces résidences qu'il a passé plusieurs dizaines d'années à creuser à flanc de colline, sur les hauteurs des rapides de Salmon river.
La dizaine de cavités mises en location par Zimmerman sont d'une trentaine de mètres de profondeur, consolidées à l'aide de pierres, de boue et de paille, et étayées par des troncs de sapin.
Le retraité, qui considérait qu'il était grand temps pour lui de passer du labeur aux affaires, a déjà accueilli quelques touristes étrangers, dont un Anglais et un Espagnol. Mais ils ne se sont pas habitués à la vie sous terre, avoue Zimmerman.
"Cela ne convient pas à tout le monde (...) mais je m'attends à ce que l'affaire décolle d'ici peu."
(source Yahoo)