Jeanne vient de passer du statut de tempête tropicale à celui d'Ouragan de catégorie 1. Rejointe au Barcelo de Punta Cana ce matin à 8h30, une touriste montréalaise, Jeanne-Sophie Lavoie, nous indiquait que des vents très violents accompagnés de fortes précipitations ont soufflé cette nuit, de 1 heure à 5 heures, provoquant des infiltrations d'eau dans les chambres.
Confinée à sa chambre d'hôtel, Mme Lavoie indiquait que le sol autour de l'établissement est jonché d'arbres, de tuiles de chaises et tables et débris de toutes sortes. Les infiltrations d'eau auraient été provoquées par la chute d'un arbre sur le toit, pense Mme Lavoie.
L'électricité n'a pas manqué. Selon Mme Lavoie, aucunes informations ou instructions particulières n'ont été données aux résidents de l'hôtel pour annoncer l'arrivée de la tempête.
C'est en interrogeant un employé qui retirait les chaises longues de la plage en fin d'après midi hier que Mme Lavoie s'est fait dire qu'on enlevait les équipements en prévision d'une tempête qui s'en venait. À l'aube, le calme étant revenu, Mme Lavoie a voulu sortir pour voir l'étendue des dégats, mais a reçu l'ordre de retourner à sa chambre et d'y rester jusqu'à nouvel ordre, une directive suggérant que l'accalmie de ce matin pourrait être temporaire. Mme Lavoie n'a constaté aucun signe suggéreant qu'il y ait un climat de panique dans l'hôtel.
voir la trajectoire de Jeanne
infos de l'observatoire des Ouragans à Miami
Confinée à sa chambre d'hôtel, Mme Lavoie indiquait que le sol autour de l'établissement est jonché d'arbres, de tuiles de chaises et tables et débris de toutes sortes. Les infiltrations d'eau auraient été provoquées par la chute d'un arbre sur le toit, pense Mme Lavoie.
L'électricité n'a pas manqué. Selon Mme Lavoie, aucunes informations ou instructions particulières n'ont été données aux résidents de l'hôtel pour annoncer l'arrivée de la tempête.
C'est en interrogeant un employé qui retirait les chaises longues de la plage en fin d'après midi hier que Mme Lavoie s'est fait dire qu'on enlevait les équipements en prévision d'une tempête qui s'en venait. À l'aube, le calme étant revenu, Mme Lavoie a voulu sortir pour voir l'étendue des dégats, mais a reçu l'ordre de retourner à sa chambre et d'y rester jusqu'à nouvel ordre, une directive suggérant que l'accalmie de ce matin pourrait être temporaire. Mme Lavoie n'a constaté aucun signe suggéreant qu'il y ait un climat de panique dans l'hôtel.
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