L'Association du transport aérien du Canada (ATAC)a exprimé aujourd'hui sa profonde déception au sujet de la surtaxe du droit pour la sécurité du transport aérien imposée au public voyageur par le gouvernement fédéral. Les états financiers vérifiés et publiés aujourd'hui par le ministère des Finances affichent un surplus des revenus sur les dépenses de 80 millions de dollars.
"Il est évident que la sécurité aérienne est importante et touche tous les canadiens, qu'ils voyagent par avion ou non, et qu'elle doit être financée en conséquence, non pas uniquement par les passagers", a déclaré Sam Barone, président et chef de la direction de l'ATAC. "Les gouvernements ont retiré de façon constante des surplus des droits pour la sécurité payés par les voyageurs aériens. Nous demandons au gouvernement d'éliminer ce droit et de financer la sécurité de l'aviation à partir des recettes générales, de la même manière qu'il finance toutes les initiatives de sécurité nationale. A tout le moins, il est évident que ce droit doit être réduit immédiatement".
Les états financiers publiés couvrent l'année financière se terminant le 31 mars 2005. Dans son communiqué, le gouvernement du Canada promet que le surplus du droit pour la sécurité du transport aérien diminuera au cours des prochaines années à cause des coûts plus élevés des améliorations apportées à l'infrastructure de la sécurité du transport aérien du Canada.
"Il est évident que le gouvernement peut toujours trouver des façons de dépenser les argents qu'il n'aurait pas dû percevoir en premier lieu, mais cette façon détournée d'aller piger dans les poches du contribuable ne rend pas cette pratique plus justifiée. Cette surimposition est inéquitable vis-à-vis des passagers du Canada et devrait cesser", a conclu M. Barone.
"Il est évident que la sécurité aérienne est importante et touche tous les canadiens, qu'ils voyagent par avion ou non, et qu'elle doit être financée en conséquence, non pas uniquement par les passagers", a déclaré Sam Barone, président et chef de la direction de l'ATAC. "Les gouvernements ont retiré de façon constante des surplus des droits pour la sécurité payés par les voyageurs aériens. Nous demandons au gouvernement d'éliminer ce droit et de financer la sécurité de l'aviation à partir des recettes générales, de la même manière qu'il finance toutes les initiatives de sécurité nationale. A tout le moins, il est évident que ce droit doit être réduit immédiatement".
Les états financiers publiés couvrent l'année financière se terminant le 31 mars 2005. Dans son communiqué, le gouvernement du Canada promet que le surplus du droit pour la sécurité du transport aérien diminuera au cours des prochaines années à cause des coûts plus élevés des améliorations apportées à l'infrastructure de la sécurité du transport aérien du Canada.
"Il est évident que le gouvernement peut toujours trouver des façons de dépenser les argents qu'il n'aurait pas dû percevoir en premier lieu, mais cette façon détournée d'aller piger dans les poches du contribuable ne rend pas cette pratique plus justifiée. Cette surimposition est inéquitable vis-à-vis des passagers du Canada et devrait cesser", a conclu M. Barone.