Le bagage en cabine parfait mesure 55 cm de longueur, 35 cm de largeur et 20 cm de profondeur, soit; les dimensions maximales pour que dans un vol de 120 places, chaque passager puisse ranger le sien dans le compartiment au dessus de sa tête.
C'est ce qu'affirme Tom Windmuller, vice-président de l' IATA chargé des aéroports, des passagers, du fret et de la sécurité.
Il observe que les compagnies aériennes ont des exigences différentes en terme de bagage en cabine et cela peut générer de la confusion.
"C'est embêtant pour tout le monde", dit-il, jugeant "ridicules" les équipements pour mesurer les bagages installés près des portes d'embarquement.
IATA a consulté Boeing et Airbus pour trouver la taille de bagage optimum et commencé à demander aux industriels de fabriquer des valises conformes à ces critères.
Ces nouveaux bagages, qui devraient être disponibles d'ici la fin de l'année, porteront désormais le label "IATA Cabin OK".
Un label qui ne sera appliqué que sur les nouveaux bagages et pas sur ceux des voyageurs possédant déjà une valise conforme.
Les compagnies aériennes n'auront aucune obligation d'appliquer cette norme mais, selon M. Windmuller, elles se montrent réceptives à cette éventualité.
C'est ce qu'affirme Tom Windmuller, vice-président de l' IATA chargé des aéroports, des passagers, du fret et de la sécurité.
Il observe que les compagnies aériennes ont des exigences différentes en terme de bagage en cabine et cela peut générer de la confusion.
"C'est embêtant pour tout le monde", dit-il, jugeant "ridicules" les équipements pour mesurer les bagages installés près des portes d'embarquement.
IATA a consulté Boeing et Airbus pour trouver la taille de bagage optimum et commencé à demander aux industriels de fabriquer des valises conformes à ces critères.
Ces nouveaux bagages, qui devraient être disponibles d'ici la fin de l'année, porteront désormais le label "IATA Cabin OK".
Un label qui ne sera appliqué que sur les nouveaux bagages et pas sur ceux des voyageurs possédant déjà une valise conforme.
Les compagnies aériennes n'auront aucune obligation d'appliquer cette norme mais, selon M. Windmuller, elles se montrent réceptives à cette éventualité.