Le Centre du patrimoine mondial de l'UNESCO et la World Air League, une organisation non gouvernementale basée aux Etats-Unis, présenteront le 24 septembre, un partenariat ambitieux visant à promouvoir et sauvegarder le patrimoine mondial. Le partenariat repose sur l'idée que les aérostats peuvent contribuer à un tourisme durable et réduire la pollution et la pression sur l'environnement qui affectent les sites naturels et culturels.
L'événement phare de ce partenariat sera la World Sky Race (Odyssée du ciel) qui se déroulera en 2010. Durant cette course en 16 étapes, des dirigeables et autres aérostats couvriront 48 000 km autour du globe, s'arrêtant sur des sites emblématiques parmi lesquels de nombreux lieux inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, tels que Greenwich (Royaume-Uni), le Colisée de Rome (Italie), les Pyramides de Guizeh (Egypte), le Taj Mahal (Inde) et la cité préhispanique de Teotihuacan (Mexique).
Parmi d'autres arrêts remarquables on peut citer le mont Fuji au Japon, le volcan Kilauea et le cratère de la Tête de Diamant à Hawaii, le Golden Gate Bridge à San Francisco, le Centre spatial Johnson de la Nasa à Houston et la Statue de la Liberté à New York.
Destinée à stimuler la recherche et le développement du transport aérien plus léger que l'air, la course démontrera l'énorme potentiel de ce moyen de transport qui, comparé aux avions à réaction long courrier, peut diminuer la consommation de carburant de 89%. Cela représenterait une diminution significative des émissions de carbone.
Comparés aux transports routiers, les aérostats peuvent réduire la consommation d'énergie et les émissions associées de 75%. Leur utilisation pourrait également diminuer les impacts de l'infrastructure routière et permettre de desservir des zones isolées sans avoir besoin de construire des infrastructures invasives (routes et constructions importantes).
La course sera aussi l'occasion de montrer l'avantage des aérostats en termes d'infrastructures aéroportuaires puisqu'ils peuvent atterrir sur des surfaces pas plus grandes qu'un terrain de football, faisant ainsi appel à beaucoup moins de ressources et ayant beaucoup moins d'impact sur l'environnement que les aéroports utilisés par les avions.
En survolant un grand nombre de sites du patrimoine mondial de l'UNESCO, la World Sky Race aidera à promouvoir le patrimoine et démontrera la contribution potentielle des aérostats au tourisme durable en général et à la réduction de la pression exercée par le tourisme sur les sites du patrimoine mondial en particulier.
L'UNESCO et la World Air League veulent utiliser la course pour développer des activités éducatives et sensibiliser le public aux questions liées au patrimoine mondial et à l'environnement.
D'autres partenaires, parmi lesquels des acteurs clés de l'industrie aéronautique, devraient se joindre au partenariat dont la présentation à l'UNESCO se fera en présence des Délégués permanents de nombreux pays-étapes de la course.
L'événement phare de ce partenariat sera la World Sky Race (Odyssée du ciel) qui se déroulera en 2010. Durant cette course en 16 étapes, des dirigeables et autres aérostats couvriront 48 000 km autour du globe, s'arrêtant sur des sites emblématiques parmi lesquels de nombreux lieux inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, tels que Greenwich (Royaume-Uni), le Colisée de Rome (Italie), les Pyramides de Guizeh (Egypte), le Taj Mahal (Inde) et la cité préhispanique de Teotihuacan (Mexique).
Parmi d'autres arrêts remarquables on peut citer le mont Fuji au Japon, le volcan Kilauea et le cratère de la Tête de Diamant à Hawaii, le Golden Gate Bridge à San Francisco, le Centre spatial Johnson de la Nasa à Houston et la Statue de la Liberté à New York.
Destinée à stimuler la recherche et le développement du transport aérien plus léger que l'air, la course démontrera l'énorme potentiel de ce moyen de transport qui, comparé aux avions à réaction long courrier, peut diminuer la consommation de carburant de 89%. Cela représenterait une diminution significative des émissions de carbone.
Comparés aux transports routiers, les aérostats peuvent réduire la consommation d'énergie et les émissions associées de 75%. Leur utilisation pourrait également diminuer les impacts de l'infrastructure routière et permettre de desservir des zones isolées sans avoir besoin de construire des infrastructures invasives (routes et constructions importantes).
La course sera aussi l'occasion de montrer l'avantage des aérostats en termes d'infrastructures aéroportuaires puisqu'ils peuvent atterrir sur des surfaces pas plus grandes qu'un terrain de football, faisant ainsi appel à beaucoup moins de ressources et ayant beaucoup moins d'impact sur l'environnement que les aéroports utilisés par les avions.
En survolant un grand nombre de sites du patrimoine mondial de l'UNESCO, la World Sky Race aidera à promouvoir le patrimoine et démontrera la contribution potentielle des aérostats au tourisme durable en général et à la réduction de la pression exercée par le tourisme sur les sites du patrimoine mondial en particulier.
L'UNESCO et la World Air League veulent utiliser la course pour développer des activités éducatives et sensibiliser le public aux questions liées au patrimoine mondial et à l'environnement.
D'autres partenaires, parmi lesquels des acteurs clés de l'industrie aéronautique, devraient se joindre au partenariat dont la présentation à l'UNESCO se fera en présence des Délégués permanents de nombreux pays-étapes de la course.