Le Brésil s'enfonce un peu plus dans le chaos aéroportuaire après le crash de Sao Paulo
Le Brésil continuait de s'enfoncer un peu plus dans le chaos aéroportuaire après l'annulation par la première compagnie du pays de la plupart de ses vols à destination de l'aéroport le plus fréquenté, avec des conséquences dans tout le reste du Brésil où des dizaines de milliers de passagers se retrouvent cloués au sol.
Et ce problème devrait encore s'aggraver après l'annonce par le gouvernement, mardi, de l'annulation des achats de billets pour des vols à destination de l'aéroport de Congonhas où un Airbus A320 de la TAM s'est écrasé la semaine dernière, faisant 199 morts alors que plusieurs experts montrent du doigt une piste trop courte qui pourrait être à l'origine du crash.
Mardi, pour la troisième journée consécutive, plus de la moitié des vols prévus au Brésil ont été soit retardés soit purement et simplement annulés. Selon Infraero, l'organisme de contrôle de l'activité des aéroports brésiliens, quelque 590 vols ont été retardés et 298 annulés.
Pour sa part, la TAM a dérouté ou annulé 90 de ses vols à destination de Congonhas, se retranchant derrière un souci de sécurité. AP
(Avec La Tribune)
Le Brésil continuait de s'enfoncer un peu plus dans le chaos aéroportuaire après l'annulation par la première compagnie du pays de la plupart de ses vols à destination de l'aéroport le plus fréquenté, avec des conséquences dans tout le reste du Brésil où des dizaines de milliers de passagers se retrouvent cloués au sol.
Et ce problème devrait encore s'aggraver après l'annonce par le gouvernement, mardi, de l'annulation des achats de billets pour des vols à destination de l'aéroport de Congonhas où un Airbus A320 de la TAM s'est écrasé la semaine dernière, faisant 199 morts alors que plusieurs experts montrent du doigt une piste trop courte qui pourrait être à l'origine du crash.
Mardi, pour la troisième journée consécutive, plus de la moitié des vols prévus au Brésil ont été soit retardés soit purement et simplement annulés. Selon Infraero, l'organisme de contrôle de l'activité des aéroports brésiliens, quelque 590 vols ont été retardés et 298 annulés.
Pour sa part, la TAM a dérouté ou annulé 90 de ses vols à destination de Congonhas, se retranchant derrière un souci de sécurité. AP
(Avec La Tribune)