Communiqué de l'OMT
Pour resserrer les liens entre le tourisme, la croissance économique et le développement solidaire en Europe, le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, s’est adressé à la Commission des transports et du tourisme du Parlement européen.
Au cours de sa visite au Parlement européen, M. Rifai a souligné que l’Union européenne (UE) pouvait tirer profit de la capacité du tourisme à promouvoir la croissance socioéconomique. Il a rappelé qu’en dépit des défis économiques et géopolitiques, le tourisme international, avec plus de 1,1 milliard de touristes internationaux en 2014, avait continué de croître à un rythme supérieur à la moyenne pour la cinquième année consécutive.
« Je crois que nous avons de nombreuses raisons d’être optimistes sur l’avenir du secteur du tourisme en Europe, la région la plus visitée au monde, et sur son potentiel de croissance économique et de développement » a-t-il affirmé.
István Ujhelyi, Vice-président de la Commission des transports et du tourisme et responsable du groupe de travail sur le tourisme, a relevé quant à lui que le tourisme était l’un des domaines clés des politiques socioéconomiques européennes en raison de sa capacité à créer des emplois durables, l’un des principaux objectifs des États membres mais aussi des institutions européennes. « Nous avons besoin d’actions et de projets politiques plus concrets où le tourisme soit visible de nos jours en tant que secteur au service de la paix » a-t-il ajouté.
Au cours de son discours, M. Rifai a demandé à l’UE de prendre les commandes dans trois volets clés du développement touristique : la lutte contre le changement climatique, moyennant des initiatives en rapport avec la durabilité, la vocation entrepreneuriale et la compétitivité des entreprises, et la facilitation des voyages dont l’impact sur la croissance économique a été démontré.
« L’Europe a déjà bien soutenu le rendement énergétique et l’utilisation des technologies renouvelables. L’OMT se réjouit grandement d’avoir contribué à ces efforts avec le projet Solutions énergétiques pour l’hôtellerie, qui aide les PME à réduire leurs émissions de carbone, et un autre projet actuellement en cours intitulé Hôtels Presque Zéro Énergie » a précisé le Secrétaire général de l’OMT.
La question de la facilitation des voyages a été abordée également par M. Rifai qui a affirmé que « la sécurité doit constituer, et constitue, une priorité pour nous tous ; en effet, malgré les défis actuels, l’Europe peut et doit continuer d’agir comme chef de file dans le domaine de la facilitation des voyages, notamment pour les marchés en expansion de la Chine, du Brésil et de beaucoup d’autres pays d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe de l’Est. Il serait insensé d’investir des millions dans la promotion de l’Europe comme première destination du monde et de fermer ensuite les portes de ce continent au monde. »
À l’occasion de cette visite, M. Rifai a également rencontré Mme Elżbieta Bieńkowska, la Commissaire européenne au marché intérieur, à l’industrie, à l’entrepreneuriat et aux PME ainsi que M. David-Maria Sassoli, Vice-président du Parlement européen, afin de débattre de la coopération entre l’OMT et les institutions européennes.
Au cours de sa visite au Parlement européen, M. Rifai a souligné que l’Union européenne (UE) pouvait tirer profit de la capacité du tourisme à promouvoir la croissance socioéconomique. Il a rappelé qu’en dépit des défis économiques et géopolitiques, le tourisme international, avec plus de 1,1 milliard de touristes internationaux en 2014, avait continué de croître à un rythme supérieur à la moyenne pour la cinquième année consécutive.
« Je crois que nous avons de nombreuses raisons d’être optimistes sur l’avenir du secteur du tourisme en Europe, la région la plus visitée au monde, et sur son potentiel de croissance économique et de développement » a-t-il affirmé.
István Ujhelyi, Vice-président de la Commission des transports et du tourisme et responsable du groupe de travail sur le tourisme, a relevé quant à lui que le tourisme était l’un des domaines clés des politiques socioéconomiques européennes en raison de sa capacité à créer des emplois durables, l’un des principaux objectifs des États membres mais aussi des institutions européennes. « Nous avons besoin d’actions et de projets politiques plus concrets où le tourisme soit visible de nos jours en tant que secteur au service de la paix » a-t-il ajouté.
Au cours de son discours, M. Rifai a demandé à l’UE de prendre les commandes dans trois volets clés du développement touristique : la lutte contre le changement climatique, moyennant des initiatives en rapport avec la durabilité, la vocation entrepreneuriale et la compétitivité des entreprises, et la facilitation des voyages dont l’impact sur la croissance économique a été démontré.
« L’Europe a déjà bien soutenu le rendement énergétique et l’utilisation des technologies renouvelables. L’OMT se réjouit grandement d’avoir contribué à ces efforts avec le projet Solutions énergétiques pour l’hôtellerie, qui aide les PME à réduire leurs émissions de carbone, et un autre projet actuellement en cours intitulé Hôtels Presque Zéro Énergie » a précisé le Secrétaire général de l’OMT.
La question de la facilitation des voyages a été abordée également par M. Rifai qui a affirmé que « la sécurité doit constituer, et constitue, une priorité pour nous tous ; en effet, malgré les défis actuels, l’Europe peut et doit continuer d’agir comme chef de file dans le domaine de la facilitation des voyages, notamment pour les marchés en expansion de la Chine, du Brésil et de beaucoup d’autres pays d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe de l’Est. Il serait insensé d’investir des millions dans la promotion de l’Europe comme première destination du monde et de fermer ensuite les portes de ce continent au monde. »
À l’occasion de cette visite, M. Rifai a également rencontré Mme Elżbieta Bieńkowska, la Commissaire européenne au marché intérieur, à l’industrie, à l’entrepreneuriat et aux PME ainsi que M. David-Maria Sassoli, Vice-président du Parlement européen, afin de débattre de la coopération entre l’OMT et les institutions européennes.