Angkor
Les célèbres temples et palais d’Angkor, au Cambodge, ne figurent plus sur la Liste du patrimoine mondial en péril de l’UNESCO, de même que le Fort Bahla (Oman) et le Parc national des Monts Rwenzori (Ouganda).
La décision a été prise par le Comité du patrimoine mondial, réuni à Suzhou jusqu’au 7 juillet, lors de l’examen de l’état de conservation des sites du patrimoine mondial dont la valeur universelle exceptionnelle est sérieusement menacée. Les 21 membres du Comité se sont félicités des progrès substantiels réalisés dans les trois sites ; ils les ont considérés suffisants pour que ces sites soient retirés de la Liste du patrimoine mondial en péril. Suite à ces modifications, 32 sites figurent aujourd’hui sur cette Liste. Cela représente moins de 5 % des 788 sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Angkor, inscrit en 1992 sur la Liste du patrimoine mondial et sur la Liste du patrimoine mondial en péril, a été retiré de cette dernière par le Comité qui a considéré que la préservation du site était raisonnablement assurée et que les restaurations coordonnées par l’UNESCO depuis 1993 pouvaient être considérées comme « une réussite ». Les fouilles illicites, le pillage et la présence de mines constituaient les menaces principales ayant conduit à l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril de ce remarquable complexe contenant les vestiges des différentes capitales khmers du IXe au XVe siècle.
La décision a été prise par le Comité du patrimoine mondial, réuni à Suzhou jusqu’au 7 juillet, lors de l’examen de l’état de conservation des sites du patrimoine mondial dont la valeur universelle exceptionnelle est sérieusement menacée. Les 21 membres du Comité se sont félicités des progrès substantiels réalisés dans les trois sites ; ils les ont considérés suffisants pour que ces sites soient retirés de la Liste du patrimoine mondial en péril. Suite à ces modifications, 32 sites figurent aujourd’hui sur cette Liste. Cela représente moins de 5 % des 788 sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Angkor, inscrit en 1992 sur la Liste du patrimoine mondial et sur la Liste du patrimoine mondial en péril, a été retiré de cette dernière par le Comité qui a considéré que la préservation du site était raisonnablement assurée et que les restaurations coordonnées par l’UNESCO depuis 1993 pouvaient être considérées comme « une réussite ». Les fouilles illicites, le pillage et la présence de mines constituaient les menaces principales ayant conduit à l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial en péril de ce remarquable complexe contenant les vestiges des différentes capitales khmers du IXe au XVe siècle.
Bahla
L’immense fort en terre de Bahla a été inscrit en 1987 sur la Liste du patrimoine mondial et en 1988 sur la Liste du patrimoine mondial en péril, principalement à cause de plans de développement qui mettaient en danger l’intégrité du site. Des améliorations de gestion et la décision d’Oman de renoncer à utiliser à proximité du site des matériaux et techniques modernes ont permis de retirer le Fort de Bahla de la Liste du patrimoine mondial en péril.
Le parc national du Ruwenzori
Le Parc national ougandais des Monts Rwenzori -une des plus belles régions de type alpin d’Afrique, habitat d’espèces en danger et d’une flore riche et rare - a été inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en 1994. Le manque de ressources et l’insécurité régnant dans ce Parc ont amené à l’inscrire en 1999 sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Le Comité s’est félicité que les autorités aient repris le contrôle du Parc, que la sécurité ait été restaurée et qu’une gestion adéquate ait été rétablie.
Le Président de la 28e session du Comité du patrimoine mondial, Zhang Xinsheng, vice ministre chinois de l’Education et Président de la Commission nationale chinoise pour l’UNESCO, a mené les débats en début de journée. Il a ensuite été remplacé par le vice-président, Omotoso Eluyemi, Directeur général de la Commission Nationale du Nigeria pour les musées et monuments.
Le Président de la 28e session du Comité du patrimoine mondial, Zhang Xinsheng, vice ministre chinois de l’Education et Président de la Commission nationale chinoise pour l’UNESCO, a mené les débats en début de journée. Il a ensuite été remplacé par le vice-président, Omotoso Eluyemi, Directeur général de la Commission Nationale du Nigeria pour les musées et monuments.