Les agences de voyages réceptives et forfaitistes du Québec (ARF-Québec) ont mené pour la première fois une étude d'impact économique portant sur les activités des agences qui desservent cette niche de l'industrie touristique. L'ARF-Québec et son président en révèlent les faits saillants, qui démontrent que les agences de voyages génèrent des retombées économiques considérables pour les gouvernements provincial et fédéral.
L'étude stipule que l'ensemble des opérations des 72 agences de voyages, proposant des forfaits au Québec à des Québécois ou à des touristes étrangers, compte pour 3 200 personnes-années en emplois directs et indirects. De plus, la somme de leurs activités génère une masse salariale totalisant 91 millions de dollars, et des revenus de taxes au gouvernement provincial et fédéral qui s'élèvent à 47,2 millions de dollars annuellement.
"Trop souvent, nous pensons que les agences de voyages ne font qu'envoyer des Québécois à l'étranger. Il faut pourtant savoir qu'une part non-négligeable des agences de voyages du Québec font venir des visiteurs de l'extérieur ou font voyager des Québécois au Québec, accroissant ainsi les revenus touristiques au Québec."
Le président de L'ARF-Québec, M. Pierre D. Tremblay, a commenté en ces termes les résultats de l'étude publiée aujourd'hui par cette jeune association.
"Pour la première fois, nous possédons une démonstration chiffrée incontestable de notre poids économique, car cette étude réalisée en 2009 considère les chiffres de vente de l'Office de la protection des consommateurs (OPC) et est validée par un sondage exhaustif effectué auprès de 30 % des agences réceptives et forfaitistes", a renchéri M. Tremblay.
Toutes ces agences sont détentrices de permis d'agences de voyages émis par l'Office de la protection des consommateurs, et près d'une cinquantaine d'entre elles sont membres de l'ARF-Québec.
Cette étude dévoile également que le chiffre d'affaires total de cette partie de l'industrie est de l'ordre de 859 millions de dollars. Pour notre économie, la part des dépenses en salaire, en achat de prestations pour réaliser les forfaits (hébergement, transport, restauration, etc.), et en dépenses hors forfaits effectuées par les voyageurs, représente une somme de 260 millions de dollars.
L'ARF-Québec est heureuse que le ministère du Tourisme acquière cette étude qui démontre l'importance économique de notre secteur d'activités dans l'industrie touristique québécoise et souhaite poursuivre cette collaboration.
Les données complètes de l'étude seront disponibles dès le 6 novembre 2009 sur le site de l'ARF-Québec : www.arfquebec.com
L'étude stipule que l'ensemble des opérations des 72 agences de voyages, proposant des forfaits au Québec à des Québécois ou à des touristes étrangers, compte pour 3 200 personnes-années en emplois directs et indirects. De plus, la somme de leurs activités génère une masse salariale totalisant 91 millions de dollars, et des revenus de taxes au gouvernement provincial et fédéral qui s'élèvent à 47,2 millions de dollars annuellement.
"Trop souvent, nous pensons que les agences de voyages ne font qu'envoyer des Québécois à l'étranger. Il faut pourtant savoir qu'une part non-négligeable des agences de voyages du Québec font venir des visiteurs de l'extérieur ou font voyager des Québécois au Québec, accroissant ainsi les revenus touristiques au Québec."
Le président de L'ARF-Québec, M. Pierre D. Tremblay, a commenté en ces termes les résultats de l'étude publiée aujourd'hui par cette jeune association.
"Pour la première fois, nous possédons une démonstration chiffrée incontestable de notre poids économique, car cette étude réalisée en 2009 considère les chiffres de vente de l'Office de la protection des consommateurs (OPC) et est validée par un sondage exhaustif effectué auprès de 30 % des agences réceptives et forfaitistes", a renchéri M. Tremblay.
Toutes ces agences sont détentrices de permis d'agences de voyages émis par l'Office de la protection des consommateurs, et près d'une cinquantaine d'entre elles sont membres de l'ARF-Québec.
Cette étude dévoile également que le chiffre d'affaires total de cette partie de l'industrie est de l'ordre de 859 millions de dollars. Pour notre économie, la part des dépenses en salaire, en achat de prestations pour réaliser les forfaits (hébergement, transport, restauration, etc.), et en dépenses hors forfaits effectuées par les voyageurs, représente une somme de 260 millions de dollars.
L'ARF-Québec est heureuse que le ministère du Tourisme acquière cette étude qui démontre l'importance économique de notre secteur d'activités dans l'industrie touristique québécoise et souhaite poursuivre cette collaboration.
Les données complètes de l'étude seront disponibles dès le 6 novembre 2009 sur le site de l'ARF-Québec : www.arfquebec.com