Les autorités canadiennes ont cloué au sol, hier jeudi, le vol Montréal-Mexico de Mexicana. Cette mesure découlait d'une demande par un créancier non-identifié d'obtenir des clarifications quant à la santé financière du transporteur. Un autre vol de Mexicana au départ de Calgary a également été interdit de décollage.
'' La compagnie aérienne considère que les mesures prises par le créancier sont infondées sur le plan juridique et qu'elles sont la conséquence d'une information erronée '', a indiqué Mexicana dans un communiqué.
Selon Radio-Canada, les passagers touchés ont été redirigés sur d'autres vols. Quant au vol Montréal-Mexico de ce matin, il a pu opérer normalement.
Les difficultés financières de Mexicana sont apparues au grand jour plus tôt cette année, lorsque Mexicana n'a pas été en mesure d'effectuer un paiement de 250 millions $. En mai dernier, le transporteur avait indiqué qu'après 2 années de pertes, elle espérait revenir à la rentabilité cette année et qu'elle prévoyait transporter 8% de passagers en plus qu'en 2009. Cette semaine, des représentants du syndicat du personnel naviguant indiquaient que le transporteur envisageait de se placer sous la protection de la loi mexicaine sur les créanciers.
(Avec Radio Canada, Reuters)
'' La compagnie aérienne considère que les mesures prises par le créancier sont infondées sur le plan juridique et qu'elles sont la conséquence d'une information erronée '', a indiqué Mexicana dans un communiqué.
Selon Radio-Canada, les passagers touchés ont été redirigés sur d'autres vols. Quant au vol Montréal-Mexico de ce matin, il a pu opérer normalement.
Les difficultés financières de Mexicana sont apparues au grand jour plus tôt cette année, lorsque Mexicana n'a pas été en mesure d'effectuer un paiement de 250 millions $. En mai dernier, le transporteur avait indiqué qu'après 2 années de pertes, elle espérait revenir à la rentabilité cette année et qu'elle prévoyait transporter 8% de passagers en plus qu'en 2009. Cette semaine, des représentants du syndicat du personnel naviguant indiquaient que le transporteur envisageait de se placer sous la protection de la loi mexicaine sur les créanciers.
(Avec Radio Canada, Reuters)