Les autorités de la santé des États-Unis, des Caraïbes et européennes préviennent que le virus du chikungunya, désormais en progression dans les Caraïbes, pourrait s'exporter aux États-Unis, au Canada et en Amérique du Sud, rapporte Travel Weekly. De 10 cas confirmés en décembre 2013 à Saint Martin, on est passé au 1er mars à presque 2000 cas recensés à travers les Caraïbes, selon les centres de contrôle sanitaire américain (CDC) et européen (ECDC) qui craignent que des voyageurs infectés introduisent le virus dans leur pays d'origine.
Pour l'instant, les destinations ayant rapporté des cas confirmés sont : St. Maarten/Martin, la Martinique, St. Barthélémy, la Guadeloupe, Anguilla, la Guyane française, Jost Van Dyke aux îles vierges britanniques, St. Kitts et la Dominique.
Bien qu'elle soit rarement mortelle, une infection causée par le chikungunya provoque des douleurs intenses, beaucoup de fièvre, des maux de tête, de la nausée et des démangeaisons . Il n'y a pas de vaccin ni de médicament permettant de prévenir le chikungunya, La maladie n'est pas transmissible entre individus mais, selon les autorités sanitaires, un moustique qui a piqué une personne déjà infectée peut propager la maladie en piquant une autre personne.
Pour combattre la propagation, les experts recommandent des mesures pratiques comme l'élimination des plans d'eau stagnante où les moustiques se reproduisent, l'usage de filets anti-moustiques, le port de chemises à manches longues et de pantalons et l'usage de produits anti-moustiques.
(Avec Travel Weekly)
Pour l'instant, les destinations ayant rapporté des cas confirmés sont : St. Maarten/Martin, la Martinique, St. Barthélémy, la Guadeloupe, Anguilla, la Guyane française, Jost Van Dyke aux îles vierges britanniques, St. Kitts et la Dominique.
Bien qu'elle soit rarement mortelle, une infection causée par le chikungunya provoque des douleurs intenses, beaucoup de fièvre, des maux de tête, de la nausée et des démangeaisons . Il n'y a pas de vaccin ni de médicament permettant de prévenir le chikungunya, La maladie n'est pas transmissible entre individus mais, selon les autorités sanitaires, un moustique qui a piqué une personne déjà infectée peut propager la maladie en piquant une autre personne.
Pour combattre la propagation, les experts recommandent des mesures pratiques comme l'élimination des plans d'eau stagnante où les moustiques se reproduisent, l'usage de filets anti-moustiques, le port de chemises à manches longues et de pantalons et l'usage de produits anti-moustiques.
(Avec Travel Weekly)