Communiqué du CNLA
Mike McNaney, président et directeur général du Conseil national des lignes aériennes du Canada, qui représente les plus grands transporteurs nationaux et internationaux du Canada (Air Canada, Air Transat, Jazz Aviation et WestJet), a fait la déclaration suivante en réponse à l’annonce faite aujourd’hui (30 décembre) par le gouvernement fédéral selon laquelle il prévoit d’exiger rapidement que tous les passagers internationaux arrivant au Canada aient un résultat négatif au test PCR 72 heures avant leur arrivée.
Au cours de la pandémie, l’industrie de l’aviation canadienne a demandé au gouvernement, pendant des mois, d’introduire un régime de tests coordonné et systématique, en collaboration avec l’industrie, afin d’éviter un déploiement précipité et désordonné des exigences en matière de tests.
L’annonce d’aujourd’hui a été faite sans coordination préalable avec l’industrie, et avec de nombreux détails opérationnels et de communication importants qui restent à déterminer. À un niveau plus large, l’annonce ne porte que sur un élément de la voie à suivre : l’utilisation des tests pour aider à mieux protéger la santé publique. Nous sommes convaincus qu’il doit également être utilisé en conjonction avec des mesures visant à réduire les niveaux de quarantaine, comme cela se fait dans tous les pays du monde.
Les grandes compagnies aériennes canadiennes ont investi des millions de dollars pour protéger la santé et la sécurité de nos passagers et de nos employés, et pour protéger la santé publique. En collaboration avec nos partenaires aéroportuaires, le secteur a lancé divers programmes de tests à Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal, partageant toutes les données et les protocoles de tests avec les fonctionnaires fédéraux.
Cette activité, initiée par l’industrie, a été entreprise pour favoriser une approche systématique de la question de la COVID-19. La mise en œuvre de la nouvelle exigence en matière d’essais doit servir de tremplin à une approche plus coordonnée pour atténuer les risques et mettre en œuvre une politique fondée sur la science en ce qui concerne les mesures de quarantaine.
L’industrie fera tout son possible pour mettre en œuvre les nouvelles exigences et veiller à ce que les passagers soient conscients de leurs obligations, mais étant donné le manque de détails et de consultation préalable, il s’agira d’un exercice très difficile, dont le gouvernement ne doit pas sous-estimer la complexité.
(Source : CNLA)
Au cours de la pandémie, l’industrie de l’aviation canadienne a demandé au gouvernement, pendant des mois, d’introduire un régime de tests coordonné et systématique, en collaboration avec l’industrie, afin d’éviter un déploiement précipité et désordonné des exigences en matière de tests.
L’annonce d’aujourd’hui a été faite sans coordination préalable avec l’industrie, et avec de nombreux détails opérationnels et de communication importants qui restent à déterminer. À un niveau plus large, l’annonce ne porte que sur un élément de la voie à suivre : l’utilisation des tests pour aider à mieux protéger la santé publique. Nous sommes convaincus qu’il doit également être utilisé en conjonction avec des mesures visant à réduire les niveaux de quarantaine, comme cela se fait dans tous les pays du monde.
Les grandes compagnies aériennes canadiennes ont investi des millions de dollars pour protéger la santé et la sécurité de nos passagers et de nos employés, et pour protéger la santé publique. En collaboration avec nos partenaires aéroportuaires, le secteur a lancé divers programmes de tests à Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal, partageant toutes les données et les protocoles de tests avec les fonctionnaires fédéraux.
Cette activité, initiée par l’industrie, a été entreprise pour favoriser une approche systématique de la question de la COVID-19. La mise en œuvre de la nouvelle exigence en matière d’essais doit servir de tremplin à une approche plus coordonnée pour atténuer les risques et mettre en œuvre une politique fondée sur la science en ce qui concerne les mesures de quarantaine.
L’industrie fera tout son possible pour mettre en œuvre les nouvelles exigences et veiller à ce que les passagers soient conscients de leurs obligations, mais étant donné le manque de détails et de consultation préalable, il s’agira d’un exercice très difficile, dont le gouvernement ne doit pas sous-estimer la complexité.
(Source : CNLA)