Lufthansa a annoncé aujourd’hui qu’elle allait conclure son étude à long terme –couronnée de succès – sur le biocarburant, en effectuant le premier vol commercial transatlantique au monde, alimenté en biocarburant, vers les États-Unis. Le jeudi 12 janvier 2012, Lufthansa va faire voler un Boeing 747-400 transportant environ 40 tonnes d’un mélange de biocarburants, de Francfort à l’aéroport international Dulles, à Washington, D.C. Le vol LH418 décollera de Francfort à 13h05 et son arrivée à Washington est prévue à 15h50 heure locale. Rien que sur ce vol, Lufthansa espère réduire les émissions de dioxyde de carbone de 38 tonnes.
Avec son projet innovateur burnFAIR, Lufthansa a été la première compagnie aérienne à utiliser du biocarburant sur des vols commerciaux réguliers, pour essayer d’étudier les effets à long terme du biocarburant sur les moteurs, au niveau entretien, durée, et impact sur l’environnement. Du 15 juillet au 27 décembre 2011, l’un des moteurs de l’Airbus A321 de Lufthansa, effectuant le vol Hambourg-Francfort, a été alimenté par un mélange moitié carburant traditionnel et moitié kérosène biosynthétique. 1187 vols au biocarburant furent effectués en tout, et d’après les calculs initiaux, la consommation totale du mélange biokérosène s’est élevée à 1556 tonnes et les émissions de dioxyde de carbone ont baissé de 1471 tonnes.
“Notre projet burnFAIR a très bien marché, et nous a donné entière satisfaction. Comme nous l’avions prévu, le biocarburant a fait ses preuves sur des vols quotidiens,’’ a confirmé Joachim Buse, Vice-Président de Aviation Biocarburant, chez Lufthansa.
Le kérosène biosynthétique est tout aussi fiable que le carburant traditionnel, mais son impact sur l’environnement est moindre. Grâce à la densité d’énergie plus importante du biocarburant, la consommation de carburant du moteur correspondant est réduite de plus de 1%. De plus, le kérosène biosynthétique ne contient ni souffre ni mélange odorant.
Le principe derrière le biocarburant est basé sur le cycle du carbone, par lequel les plantes retirent le dioxyde de carbone de l’atmosphère par la photosynthèse. Lorsque les moteurs d’avions brûlent le biocarburant, le dioxyde de carbone est relâché dans l’atmosphère à un taux d’environ 50% de moins que les combustibles fossiles traditionnels.
“Pour la prochaine étape, nous nous concentrerons sur la commodité, les réserves, la viabilité et la certification des matériaux bruts. Mais nous devons tout d’abord exploiter ce marché. Cependant, Lufthansa ne continuera ces essais pratiques que si nous pouvons garantir l’approvisionnement en matériaux bruts renouvelables et certifiés,’’ a déclaré Mr. Buse.
Le programme innovateur de biocarburant de Lufthansa fait partie de l’engagement continu de la compagnie à limiter les effets des vols d’avions sur l’environnement, grâce à l’utilisation parcimonieuse des ressources, la participation à la recherche climatique et la diminution de la consommation des combustibles fossiles par des améliorations constantes dans les airs et au sol, parmi d’autres initiatives.
Plus de renseignements sur le projet sont disponibles à: http://www.puresky.de/en/
(source: communiqué de Lufthansa)
Avec son projet innovateur burnFAIR, Lufthansa a été la première compagnie aérienne à utiliser du biocarburant sur des vols commerciaux réguliers, pour essayer d’étudier les effets à long terme du biocarburant sur les moteurs, au niveau entretien, durée, et impact sur l’environnement. Du 15 juillet au 27 décembre 2011, l’un des moteurs de l’Airbus A321 de Lufthansa, effectuant le vol Hambourg-Francfort, a été alimenté par un mélange moitié carburant traditionnel et moitié kérosène biosynthétique. 1187 vols au biocarburant furent effectués en tout, et d’après les calculs initiaux, la consommation totale du mélange biokérosène s’est élevée à 1556 tonnes et les émissions de dioxyde de carbone ont baissé de 1471 tonnes.
“Notre projet burnFAIR a très bien marché, et nous a donné entière satisfaction. Comme nous l’avions prévu, le biocarburant a fait ses preuves sur des vols quotidiens,’’ a confirmé Joachim Buse, Vice-Président de Aviation Biocarburant, chez Lufthansa.
Le kérosène biosynthétique est tout aussi fiable que le carburant traditionnel, mais son impact sur l’environnement est moindre. Grâce à la densité d’énergie plus importante du biocarburant, la consommation de carburant du moteur correspondant est réduite de plus de 1%. De plus, le kérosène biosynthétique ne contient ni souffre ni mélange odorant.
Le principe derrière le biocarburant est basé sur le cycle du carbone, par lequel les plantes retirent le dioxyde de carbone de l’atmosphère par la photosynthèse. Lorsque les moteurs d’avions brûlent le biocarburant, le dioxyde de carbone est relâché dans l’atmosphère à un taux d’environ 50% de moins que les combustibles fossiles traditionnels.
“Pour la prochaine étape, nous nous concentrerons sur la commodité, les réserves, la viabilité et la certification des matériaux bruts. Mais nous devons tout d’abord exploiter ce marché. Cependant, Lufthansa ne continuera ces essais pratiques que si nous pouvons garantir l’approvisionnement en matériaux bruts renouvelables et certifiés,’’ a déclaré Mr. Buse.
Le programme innovateur de biocarburant de Lufthansa fait partie de l’engagement continu de la compagnie à limiter les effets des vols d’avions sur l’environnement, grâce à l’utilisation parcimonieuse des ressources, la participation à la recherche climatique et la diminution de la consommation des combustibles fossiles par des améliorations constantes dans les airs et au sol, parmi d’autres initiatives.
Plus de renseignements sur le projet sont disponibles à: http://www.puresky.de/en/
(source: communiqué de Lufthansa)